Je suis d'accord avec la rédaction ci-dessous de Léon

Grrrrr c'est tiré par les cheveux

D'habitude dans toutes les photos distribuées par la TAP ou par le service com du Chef du Gouvernement, et quelque soit l'invité reçu, on voit YC assis les jambes croisées l'une sur l'autre, (signe symbolisant selon certains spécialistes com la confiance en soi et la maitrise de la personne en face pour ne pas dire sa domination)..Ce n'est pas le cas avec M.Meddeb..M. Chahed a-t-il soudain découvert les vertus de la modestie ou bien est il entrain de se montrer humble et de faire les yeux doux au public du plus grand club Tunisien à la veille d'un match crucial? Rien de méchant...

Le mièvre a encore frappé mais comme toujours personne n'est dupe. Son cheval de bataille , aujourd'hui , c'est le foot; l'Espérance de Tunis l'équipe la plus populaire de Tunisie lui sert de tremplin pour engranger des électeurs; alors, il se trouve le moyen le plus direct, inviter son président à Carthage.
Comment peut-il tomber aussi bas!!!

Quand le pays est sur les rotules on s'occupe d'autre chose que de foot, monsieur le dernier ministre du Bey!
Cette plaie appelée football, et par laquelle Satan s'est introduit dans toutes les maisons tunisiennes, pour détruire familles, tissus social, tissus régional, et enfin de compte pour détruire tout un pays, n'aura pas fini de faire des siennes.
J'avais vu durant l'exercice 2008, une forte montée du régionalisme en Tunisie, et j'avais dit à tout mon entourage que tout cela finira par une guerre civile. Mais Dieu merci, il n'y eut que cette mobilisation du peuple haineux aux côtés des atlantistes et d'Al Jazeera qui eut lieu. Cette mobilisation de haine, que certains s'évertuent à appeler "révolution", et qui allait sonner le glas de l'état un 14 maudit, pour détruire le pays. Nous aurons quand même échappé de peu à une guerre civile.
Ce grand peuple (sic!) qui, huit années après la catastrophe du 14 janvier, n'arrive toujours pas à organiser un match de foot avec deux publics différents. Huit années avec public unique et limité? Huit années!! Vous réalisez? Ou bien vous voulez un dessin? Connaissez-vous un seul pays du monde où la présence de deux publics dans un même stade aboutit sur des tueries? Et ce, pendant huit années?
Je ne délirai pas lorsque je vous disais que ce qui a motivé, du moins dans leur subconscient, les foules à descendre demander la destitution de Ben Ali, était le foot. Certaines vérités sont très difficiles à percevoir, tellement elles sont proches de nos yeux. Lorsque je qualifiais vos intellectuels de viragistes de stades, je savais ce que je disais.
Dans leur tête tout était mélangé: Une haine régionaliste due à leur sport favori, l'appartenance à telle ou telle région, et cet apprentissage destructif des mouvements de foules dans les stades. Le fanatisme qui s'est introduit dans toutes les demeures de tunisiens n'est ni politique, ni religieux; il est footballistique. Regardez qui sont vos élus et vos ministres. Regardez comment la haine des stades est toujours justifiée par les présidents des clubs. Regardez comment les propos haineux et régionalistes dans les stades sont autorisés. Regardez comment, plus votre équipe est injuste, plus vous l'appuyez. Mais vous n'êtes pas un peuple; et encore moins un peuple sportif. Vous êtes l'antithèse de l'esprit sportif, aussi bien que vos islamistes sont la pure négation de l'Islam.
Bref, vous, vos intellectuels, vos dirigeants post-merdolutionnaires, vos penseurs (de la dernière heure), êtes la borne inférieure de ce que peut créer l'humanité en termes de patriotisme.
Si Dieu me donne le pouvoir (chose que je n'espère pas, pour de ne pas salir mes mains par les traitres que vous êtes), vous verrez ce que je ferai du foot et de vos publics. C'est peut-être par là que le pied de biche doit prendre son point d'appui afin de "changer" les esprits comme le veut le célèbre verset du Coran que vous répétez tous comme des perroquets (Lé youghayirou 'Allahou mé biqawmin 7atta youghayirou mé bi-anfousihim), mais que vous êtes incapables d'appliquer pour vous-mêmes (mais toujours pour les autres).
Le Patriote que je suis, me conchie sur vos équipes, sur vos stades, et sur vos succès. D'ailleurs, du temps où les tunisiens étaient encore patriotes, c'est-à-dire du temps où l'équipe nationale était plus importante que leurs équipes locales, une équipe constituées essentiellement d'amateurs avait fait des miracles en coupe du monde. Ce fut en 78, du temps où les haineux n'étaient pas encore sortis de leurs terriers.

VIVE LA TUNISIE,

LEON, MIN JOUNDI TOUNIS AL AWFIYA;

Résistant contre le peuple de la trahison collective et leurs manipulateurs.

VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.

A l'image du pays