
Une manifestation de soutien au président de la République, Kaïs Saïed, a débuté ce matin, jeudi 1er mai 2025, devant le Théâtre municipal de Tunis.
(Photos : Sofiene Ghoubantini, prises entre 10h30 et 10h45)
Le rassemblement a démarré vers 9 heures environ. Les manifestants ont exprimé leur appui au chef de l’État, tout en appelant à la mise en œuvre intégrale de son projet politique.
Des slogans critiques à l’égard de l’Assemblée des représentants du peuple ont également été scandés. Les participants ont reproché au Parlement son manque d’alignement sur la feuille de route présidentielle, qu’ils estiment être la seule garante de la souveraineté populaire.
Parmi les slogans scandés, on pouvait entendre notamment : « Non à l’ingérence étrangère en Tunisie », « Le peuple veut la construction et l’édification », « Soutien au pouvoir et à la souveraineté »...
Les manifestants ont continué d’affluer jusqu’à 13 heures, moment où leur nombre a augmenté, atteignant quelques centaines. Des drapeaux tunisiens étaient brandis aux côtés de portraits du chef de l’État.
Cette mobilisation intervient en parallèle d’une autre manifestation organisée le même jour, au départ du Tribunal administratif, en soutien à l’avocat et ancien magistrat Ahmed Souab. Cette dernière, qui se dirige vers l’avenue Habib Bourguiba, rassemble des citoyens et des militants dénonçant les atteintes aux libertés et à l’indépendance de la justice.
Au centre de Tunis, une présence sécuritaire renforcée est visible en plusieurs points de l’avenue Habib Bourguiba, notamment aux intersections avec les rues de Marseille et de Paris. Les rues secondaires menant à l’avenue sont fermées, et un important dispositif sécuritaire est également déployé au niveau de l’esplanade faisant face au Théâtre municipal, afin de maintenir une distance entre les manifestants des deux camps.
R.B.H
Crédit vidéo : Diwan FM
Ne comparons pas l'incomparable.
Les patriotes n'ont rien à se prouver pour illustrer leur totale confiance envers leur intègre et patriote président sans peur ni reproche, Kaissoune.
Conclusion : Les chiens aboient, la caravane passe.
Bête et têtu jusqu'à la mort, ça doit être ça ta devise.
Une maigre poignée de péKins.
Le supplice chinois touche à sa fin...
et résigné ... Il va droit à sa perte.

