
Le président du mouvement New Carthage, Nizar Chaâri a annoncé sa démission de toutes les fonctions qu'il occupait au sein d'organisations ou de structures appartenant à la société civile. Il a indiqué qu'il était encore le président du mouvement New Carthage et qu'il comptait se présenter à la prochaine élection présidentielle. Il a affirmé qu'il ne se présentera pas aux élections législatives anticipées du 17 décembre 2022. Il a rappelé que le mouvement New Carthage n'était pas un parti politique.
Invité le 10 octobre 2022 par Wassim Ben Larbi sur les ondes de la radio Express FM, Nizar Chaâri a assimilé sa candidature à la présidence à la création d'une start-up. Il a expliqué que ceci nécessitera la participation de plusieurs acteurs afin de développer le projet. Il a expliqué que l'annonce de sa candidature a eu lieu lors de l'émission "Labess" sur la chaîne Attessia afin de communiquer l'information à la majorité des citoyens. Chaâri a estimé que la Tunisie s'apprêtait à entrer dans une phase encore plus compliquée et que l'amélioration de la situation du pays nécessitait une union et une vision claire. Il a déploré les divisions entre les Tunisiens. Il a souligné l'importance de la création d'un nouveau projet politique mettant fin à cela estimant qu'il était temps d'intervenir.
Nizar Chaâri a affirmé qu'il avait une expérience politique et qu'il l'avait acquise lors des années passées au sein de la jeunesse du Rassemblement constitutionnel démocratique (RCD). Il a affirmé qu'il était connu auprès des adhérents du RCD et qu'il avait participé à plusieurs élections. « Le système me connaît bien », a-t-il ajouté en faisant référence aux anciens membres du RCD. Il s'est considéré comme étant destourien, mais que le RCD dans sa conception de 2010 devait évoluer. Il a profité de l'occasion pour saluer les efforts fournis par Abir Moussi et qu'elle pouvait intégrer son projet à n'importe quel moment.
Le président du mouvement New Carthage a considéré que la nouvelle constitution n'a toujours pas été appliquée. Il a estimé que la phase actuelle et l'application de la nouvelle constitution n'allaient pas se maintenir. Il a déploré la révision du projet de la constitution durant la campagne référendaire et l'annonce de la révision du décret électoral après sa promulgation. Il a estimé que ceci résultait de l'absence d'une équipe de spécialistes au sein de la présidence de la République et la prise de décision de façon unilatérale.
S.G

L'exemple même des personnes merdiques, lourds,
L'exemple même des tètes à claque ....
La vrai , pas la poubelle de l'histoire.
Que ces RCD-Khmèj se déchirent jusqu'à la mort, je m'en fous !
Elle a pour concurrent un vrai raton RCDiste / Bourguibiste (Jifè !).
Le passage du statut d'opportuniste à celui de récupérateur n'a jamais grandi personne.
Bonne poursuite!
Léon, min joundi Tounis al Awfiya.
Résistant qui le dit haut et fort depuis bientôt 12 ans,
Verset 112 de la sourate des abeilles
A partir de 2011 une deuxième bande de malfrats crapuleux a atterit dans ce pays pour voler ses richesses et affamé sa population..
Le peuple vous a vomi le rcd = pdl , a aussi vomi cette secte criminelle et a gerbé cette classe politique mafieuse corrompue ,traître et surtout incompétente...
DEGAGEZ...
Qui a oublié les débuts de la Zalèma moussi, après la Révolution tunisienne du 14 janvier 2011, par ses supplices pour le défunt dictateur déchu Bourguiba, dans l'idée de s'acquérir son portefeuille électoral, mais lorsqu'elle l'a trouvé vide, elle a retourné sa veste du côté du portefeuille électoral de l'autre défunt dictateur déchu Ben Ali, à peine qu'elle ait vu Hamed Karoui fonder ce parti destourien PD, avec Abderrahim Zouari en mai 2013, pour se présenter après leur débâcle électoral de 2014, à se faire élire présidente de ce même parti RCDiste, en août 2016, à l'occasion de son congrès constitutif?
Ce comique Nizar Chaâra, pense reprendre le même scénario en adéquation avec la même chronique de sa soueur consanguine, la Zalèma moussi. Il a commencé par son adulation de Kaïs Saïed, lui ayant léché ses bottes comme le font les chiens affamés, pour s'acquérir le portefeuille électoral de ses «Haftérichs». Maintenant qu'il lui a constaté sa faillite, il retourne sa veste contre Kaïs Saïed, pour se rapprocher des Azlèms RCDistes, prenant au sérieux les mensonges des sondages de «allo Guidma» et de «allo Harold», qui gonflent la grenouille moussi, dans l'idée de la faire aussi grosse qu'une chèvre barbue.
Cet arriviste Nizar Chaâra, se voit déjà «président de la république», tellement le scénario de Kaïs Saïed en raffole tous les vauriens arrivistes du néant, avides de pouvoir et d'intérêts personnels.
Allah yèhlik Ass-hab el-charr.
A la révolution, il se refait évidemment une santé en devenant un lécheur d'islamistes (comme une bonne partie de la pègre rcdiste), ce qui ne l'empêche pas de ne réaliser absolument rien, car qui peut dire à quoi a servi M. Chaari durant toutes ces années ?
C'est le cas typique du maniganceur qui se croit "fé3el" dans les coulisses, alors qu'il ne fait que comploter pour des miettes, freinant ainsi la transition démocratique (car les propres et les honnêtes quittent le jeu quand ils voient de pareils visages).
Enfin, rien d'étonnant, il a essayé d'occuper le poste de lécheur en chef de KS (cette pathétique lettre publiée sur son FB où il envoie son CV à Saïed pour qu'il le nomme chef de gouvernement hahaha), puis en postant une photo de sa "cyber-armée" (style jeunesse nazie) en offrant ses services de propagande au pouvoir en place.
Aujourd'hui, une énième tentative : faire la tournée des plateaux en se présentant comme candidat. Mais que ceux qui lisent ce commentaire ne soient pas dupes. Nizar Chaari sait très bien qu'il est un Zéro virgule, mais il utilise ces tournées pour se donner une image d'importance et huiler son futur "travail" de lobbyiste en coulisses (toujours dans le même espoir : récolter des miettes de dinars).