
L’ancien ministre de l’Emploi et figure de la scène politique tunisienne, Faouzi Ben Abderrahmen, a vivement critiqué les résultats du dernier recensement national publié par l’Institut national de la Statistique (INS), en particulier le taux d’analphabétisme qui s’élève à 17%.
Dans une publication Facebook du samedi 17 mai 2025, il a qualifié ce chiffre de « scandaleux », estimant qu’un tel niveau d’analphabétisme est inacceptable après 70 ans de l'Indépendance.
Mais pour Faouzi Ben Abderrahmen, le véritable drame ne se limite pas à cette statistique officielle. Il pointe du doigt une réalité plus profonde et insidieuse : l’analphabétisme cognitif ou informationnel. Selon lui, il s’agit de l’incapacité d’une large partie de la population à utiliser les outils modernes de connaissance, à naviguer dans les médias contemporains ou encore à maîtriser d’autres langues pour accéder à l’information. Il estime que ce type d’illettrisme concerne « plus des deux tiers de la population… voire davantage ».
L’ancien ministre déplore également l’absence, dans les enquêtes de l’INS, d’indicateurs permettant d’évaluer le nombre de personnes capables de lire régulièrement des livres – qu’ils soient en version papier ou numérique – ou encore de faire preuve d’un esprit critique leur permettant de distinguer le vrai du faux. « C’est pourtant cette catégorie qui fait la différence dans une société éclairée », suggère-t-il avec regret.
En filigrane, Faouzi Ben Abderrahmen invite à une réflexion de fond sur l’état réel de la culture, de l’éducation et de l’accès à l’information en Tunisie, au-delà des seuls indicateurs chiffrés officiels.
S.G

Kaissoune a hérité de la génération des gardiens d'étables et d'écuries, avec en prime, un tsunami de consanguins issus d'un exode rural sans precedent !!!
Réguler toutes ces discordances, ne sera pas un jeu d'enfant !!
Aussi excessif qu'il puisse paraître ce terme me paraît pertinent
Le degré d'inculture arrogante et d'incivilité décomplexée et heureuse auquel je me confronte chaque jour dans ma profession, parfois a de hauts niveaux de responsabilité, me donne sans cesse l'impression que la Tunisie n'existe plus
Et qu'à la place il y a un gigantesque campement de bédouins grouillant d'insignifiance et de vacuite
Une tragi-comédie sans avenir que ne méritait pourtant pas la Tunisie
Votre premier commentaire est excellent.
Le national socialisme à ruiné les cerveaux.
A force de vouloir un monde égalitaire absolu, le national socialisme à tiré tout le monde vers le bas .
D'où mon désintérêt total pour ce pays, que je considérais comme le mien.
Par contre, 90 % de dégénérés,c'est totalement acquis.
Il est impératif que les autorités tunisiennes élaborent des stratégies adaptées, qu'il s'agisse de politiques de soutien à la natalité, de réduction des inégalités régionales ou d'amélioration de l'accès à l'éducation pour tous. L'avenir de la Tunisie dépendra de la manière dont ces défis seront relevés.
Si certaines très rares territoires comme Monastir ou le continuum Manar Menzah Ennasr peuvent être encore considérés comme des sanctuaires de civilité l'écrasante majorité du territoire tunisien est soumis à une abominable clochardisation qui s'apprehende quasi matériellement :
Zombies bédouins affalés tels des cafards dans les cafés restes de bancs publics trottoirs etc
L'accaparement de l'espace public par des hordes de clochards parasites et sans vergogne s'observe partout
Déni constant perpétuel de l'Etat de Droit sous toutes ses formes au profit de bandes criminalisees
Multiplication pathologique des incivilites sur route rodéos de délinquants
Prégnance ahurissante des débilités de Tiktok et autres Instagram
C'est a un effondrement généralisé radical et silencieux a quoi on assiste
Effondrement radical et difficilement réversible qu'aucune politique publique ne pourra stopper a court et moyen termes
d'une société du travail du savoir du respect du droit et du mérite est radicalement entravé
De la part la faute de Bourguiba lui même et de sa smala
Et de part la faute des effets conjugués et interrelies de la dictature policière et du nivellement atroce de nos valeurs sociétales, et en particulier de la criminalisation des mécanismes de régulation socio-économique du Pays
C'est un cauchemar sans fin un processus d'annihilation de la Tunisie qui semble sans retour
Nous ne sommes pas conscient du niveau
d'ignorance et de barbarie latente qui fragilise de manière durable ce pays
dictature policière