
Fidèle à son approche provocatrice et populiste, le président des États-Unis d'Amérique, Donald Trump, a publié une vidéo pour faire la propagande de son fameux projet de transformation de la bande de Gaza en destination touristique.
Publiée le 26 février 2025, cette vidéo générée par IA montre ce qui semble être la ville de Gaza en ruine, évidemment sans préciser qu'il s'agit du résultat des bombardements de civils par Israël avec l’aide de son allié : les États-Unis. Les premiers plans présentent des civils, des enfants et des combattants traversant un tunnel, passant ainsi de cette réalité à une autre.
Par la suite, la vidéo devient un véritable spot publicitaire pour le projet de Donald Trump, puisqu'on n’y voit que de magnifiques restaurants, des gratte-ciels à perte de vue, de belles plages, de grandes avenues ornées de lumières et de décorations, des voitures de luxe, des enseignes majestueuses, ou encore des statues en or du président des États-Unis.
Les dernières images de la vidéo montrent des représentations d’Elon Musk, de billets de banque jetés en l'air, ainsi que Donald Trump et le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu sirotant des cocktails sous le soleil de Gaza.
Ce qui est encore plus surprenant que ces images est sans doute la chanson accompagnant la vidéo. Probablement créée par IA, elle évoque la fin des tunnels – en référence au Hamas et à la résistance palestinienne – et l’entrée dans un âge d’or avec l'arrivée de la "Gaza de Trump".
Face à ce chef-d’œuvre de cynisme, l’indignation a été immédiate. Beaucoup ont qualifié la vidéo d’abjecte, de propagande coloniale grotesque, de crachat sur les ruines encore fumantes de Gaza. D’autres, se sont contentés de la juger « déplacée ». Comme toujours, les défenseurs de Trump, eux, y ont vu une vision ambitieuse pour l’avenir – après tout, quoi de mieux qu’un génocide suivi d’un projet immobilier ?
S.G

Montrer de l'or, des billets...
Comme un bon clip de rap...
La classe internationale.. comme le disait Thierry Lhermitte dans le dîner de con...
Si j'osais, j'inviterai le canard pour mercredi soir...
A l'époque de Louis XIV, l'émigration forcée des "indésirables" dans les territoires d'outre-mer s'imposa comme la réponse au double problème que rencontrait l'?tat royal. D'un côté, on voulait débarrasser la métropole des mendiants, des criminels et des vagabonds. D'un autre côté, il fallait trouver le moyen de peupler les colonies, car l'aventure coloniale ne tentait guère les Français. Cette politique pénale connut une recrudescence à partir de 1718 sous l'impulsion d'un aventurier de la finance : John Law.
John Law fut le semblable génétique de l'actuel Donald Trump. Il prit également des mesures pour impulser un important courant d'émigration para-pénale. La déportation vers la Louisiane fut présentée comme la solution idéale pour les familles désireuses de se débarrasser de leurs mauvais sujets. Ce fut même, parfois, un moyen d'écarter un parent dont la part d'héritage était convoité. Face aux résistances que provoqua cette politique d'émigration forcée, les autorités engagèrent des énergumènes qu'on appelait les "bandouliers du Mississipi". De là nous vient l'actuel président américain avide et insatiable de profit personnel, jusqu'à vouloir s'emparer de Gaza et bâtir son empire sur les cadavres des femmes, des enfants, des vieillards, des malades et de l'ensemble du peuple palestinien. Néanmoins, ce porte toupet Donald Trump, oublie qu'il se trouve à Gaza en Arabie du Prophète Mohamed (sws) et non pas aux Amériques des Apaches et des Sioux.
Nous allons voir en ces deux criminels contre l'humanité, Donald Trump et Elon Musk, un autre Verset Coranique en rapport direct avec les juifs génocidaires de Gaza occupants de la Palestine. Si Joe Biden devrait déjà être immobilisé dans un coin pour les Alzheimer, ce Donald Trump, va finir en momie dans les musées et cet Elon Musk, va se perdre en poussière au-dessus des Océans.
Allahou Akbar.

