Plusieurs associations et organisations ont rendu public un communiqué conjoint, mardi 9 novembre 2021, pour condamner la répression policière des manifestations observées, la veille, dans la ville d’Agareb, au gouvernorat de Sfax, rejetant les solutions sécuritaires pour le traitement des problèmes purement sociaux.
Les associations signataires ont vivement dénoncé le décès d’Abderrazek Lachehab "survenu des suites de l’utilisation excessive du gaz lacrymogène", estimant qu’il n’était pas possible de rester sans voix face à ce crime abominable.
Dans ce contexte, les signataires ont appelé à l’ouverture d’une enquête pour révéler les véritables causes du décès du jeune homme, rejetant la version délivrée par le ministère de l’Intérieur selon laquelle Abderrazk Lachehab serait mort de cause naturelle.
Les associations ont fait porter la responsabilité de la dégradation de la situation à la présidence de la République ainsi qu’au ministère de la Santé.
Parmi les associations signataires, on citera entre autres, le Syndicat national des journalistes, l’Association des magistrats, l’Association des femmes démocrates, l’Organisation contre la torture, Al Bawsala, Damj, Wachm, FTDES, UGET, ...
Rappelons que plusieurs habitants de la ville de Agareb ont protesté, contre la décision prise par le ministère de l'Environnement concernant la reprise d'activité de la décharge de Agareb dans le gouvernorat de Sfax.
Révoltés par cette décision prise par le gouvernement et exaspérés par la situation environnementale dramatique dans la ville, les habitants ont manifesté leur colère dans la rue. Cependant, un grand dispositif sécuritaire a été mis en place pour les disperser. Des affrontements assez violents ont éclaté, et les forces de l’ordre ont usé du gaz lacrymogène pour disperser les manifestants.
Au cours de ces évènements, le jeune Abderrazzek Lachehab est décédé. Selon des membres de sa famille et des témoins oculaires, le décès du jeune homme est dû à un jet de bombe à lacrymogène. Une version que le ministère de l’Intérieur a démentie assurant que le jeune homme est décédé des suites d’un « soudain malaise survenu à son domicile qui se situe à 6 km du lieu des manifestations ». Par ailleurs, le rapport préliminaire de l'autopsie tend vers une mort naturelle.
S.H
Donc arrêtez de parler :
- d'associations humanitaires.
Et de :
- de porter plaintes à la justice.
Et de :
- de révolution de cirque destinée seulement à la colonisation interne de Tunis par les partisans sudistes de ghanouchi et des recrutements anarchiques (pour la forme ;rien que pour le salaire) dans la fonction publique à Tunis par centaines de milliers et ce lors troïka entre 2011 et 2015 s'agissant de la période des escroqueries, par nahdha, des milliers de milliards, qu'il faut les restituer actuellement avant même d'annuler les résultats des élections de 2015 et de 2019 pleines de corruptions et de manigances.
Benjamin Netanyahou avait a l'époque interdit en Israël tout financements d'association par des institutions étrangères. Direct ou indirect (par un tiers).
Faisons la même chose.
Et là vous verrez plus d'associations.
La vie des rumeurs mourra dans l'?uf.
C'est ce qui pourrit les sociétés occidentales. Et c'est ce qui pourrit nos vies en Tunisie.
Chacun veut des droits. L'individualisme dans son plus grand apanage.