
De violents affrontements ont éclaté, samedi 18 mai 2024, dans la ville de Zawiya, dans l'ouest de la Libye, faisant au moins une personne tuée et six autres blessées. Selon les médias locaux, plusieurs appels au cessez-le-feu ont été lancés pour sauver les familles piégées dans la zone de conflit.
Bien qu’il n'y ait pas d’informations officielles sur les personnes ayant pris part aux violences ou sur les raisons des combats, les autorités sécuritaires n'avaient pas réagi aux affrontements
Dans une déclaration médiatique, le porte-parole des services d'urgence et d'ambulance de Tripoli, Oussama Ali a indiqué que les équipes de secours n'avaient pas réussi à atteindre la zone de conflit et qu'il n'était pas clair si les victimes étaient des civils ou des militaires.
D’autre autre part, la compagnie nationale d'électricité libyenne (GECOL) a déclaré dans un communiqué que les troubles avaient entraîné des coupures d'électricité dans certains quartiers de la ville.
Il convient de noter que la ville de Zawiya, à deux heures de route de Ras Jedir, a été le théâtre d'affrontements armés répétés ayant parfois entraîné la fermeture de la route côtière menant à la frontière avec la Tunisie.
S.H
Avec une Algérie sous la coupe d'une junte militaire et d'une Libye fragmentée et à feu et à sang, que reste il de la nouvelle lubie carthaginoise ?
Cette déclaration se fit dans un contexte insolite non pas parce que la demoiselle effarouchée venait juste de recevoir plusieurs tournioles d'un membre hirsute du parti Etahrir, mais que le gugus en question venait tout juste de remplacer l'humble drapeau Tunisien par son drapeau noir sur le bâtiment principal de ladite Université.
Il est vrai que les jeunes générations de la révolution Tunisienne contrastent quelque part avec celles de Mai 68.
Et les circonstances peuvent être perçues comme étant atténuantes.
Mai 68 avait comme ministre de l'?ducation du gouvernement De Gaulle l'écrivain Alain Peyrefitte, Enarque et qui deviendra membre de l'Académie Française.
En contraste, le ministre de l'?ducation Tunisien de cette sombre époque était Salem Labiadh membre du gouvernement de Hamadi Jebali et qui plus tard deviendra député à l'Assemblée des représentants du peuple de la circonscription de Médenine.
Une subtile différence.
« Ce siècle est grand et fort. Un noble instinct le mène » écrivait Victor Hugo à son époque.
Peut-on écrire de même après la révolution Tunisienne en lisant ses pionniers et poètes ?
Qui sont Meherzia Laabidi, Mabrouka popom, Mustapha Ben Jaafar, Rached Ghannouchi ?
Ou sont leurs '?uvres, que fut leur verve ?
Marzouki ce maitre de la néologie Arabe mérite-t-il l'Académie Française pour son mot « Safirat » qui désigne des femmes impies ayant déserté le hijab pour des sous-vêtements de genre string ?
Désespérément en la révolution Tunisienne je recherche un parfum de Mai 68 mais les slogans ne sont pas les mêmes.
La Sorbonne de Mai 68 a vu naitre des slogans qui tardèrent à s'estomper avec le temps comme « Soyez réalistes, demandez l'impossible. »
Les plus grands intellos de la révolution Tunisienne ont longtemps écrit en voyant leur pays devenir l'Afghanistan « on ne fait pas une omelette sans casser d'?ufs ».
A Nanterre, les étudiants de Mai 68 crièrent « Ne me libère pas, je m'en charge. »
A Sidi Bouzid et a la Kasbah les gueux de la révolution Tunisienne ont crié « digage » après avoir pillé tous les supermarchés et brulé 80 banques.
Ce soir je sirote comme a l'habitude mon Johny Walker dans ma vétuste villa coloniale du Bardo.
En pensant au Mai 68 Tunisien, trotte en mon esprit ce que Ambrose Bierce écrivit avant de disparaitre en pleine révolution Mexicaine :
« Une des grandes escroqueries de notre époque, c'est d'avoir fait croire à l'homme de la rue qu'il avait quelque chose à dire.'?'
JOHN WAYNE
Je prends pour responsables les deux peuples Tunisiens et Lybien hypocrite dont l'intelligence n'existe que dans leurs '?' avec un crâne bouché de béton périmé !