
L'ancien député, ancien ministre et actuel président du parti, Saout Al Joumhouria, Ali Hafsi, est revenu, jeudi 6 octobre 2022, sur la crise d’avant le 25 juillet 2021 et ces échanges avec l’ancien chef de gouvernement Hichem Mechichi ainsi que sur ses relations tendues avec le président de la République.
Au micro de Zina Zidi dans l'émission Studio Shems sur Shems Fm, Ali Hafsi a tenu à préciser le respect mutuel qui le lie à M. Mechichi.
Le politicien a aussi spécifié qu’il a été « parmi les personnes qui ont conseillé l’ancien chef de gouvernement de consulter le chef de l’Etat, surtout lorsque la situation s’est détériorée, suite à la pandémie Covid-19 et au blocage politique ».
« Le secrétaire général du gouvernement Walid Dhabi et moi-même, avons demandé à Hichem Mechichi de retourner dans le giron du président de la République », a-t-il affirmé, en expliquant qu’il a voulu faire un effort pour rapprocher les points de vue.
« J’ai demandé à M. Mechichi d'aller vers le président mais avec une solution et des concessions, notamment en lui offrant la possibilité de changer les ministres qui n’ont pas reçu son aval », a-t-il indiqué.
Ali Hafsi a aussi assuré qu’avec les membres de la délégation, lors d’une visite au Qatar, ils ont demandé au chef du gouvernement de faire un discours pour avouer la vérité au peuple, surtout avec les multiples menaces de retrait de confiance de la part du parlement outre le fait d’aller vers le président de la République pour lui soumettre sa démission n’étant plus capable d’avancer.
Et d’ajouter : « J’ai réitéré cette demande à Hichem Mechichi le 23 juillet 2021 afin qu’il soumette sa démission au chef de l’Etat et cela pour l’intérêt de la Tunisie ».
L’ancien ministre a avoué qu’« à un moment donné, le chef du gouvernement est devenu un otage de la situation, surtout qu’il devait rendre des comptes permanents au parlement et même hors de ses soutiens ». Pour lui, « l’homme vivait un cauchemar et le parlement est derrière sa chute ».
Interrogé par l’animatrice s’il a participé à l'installation de M. Mechichi au Qatar, M. Hafsi a rétorqué que non. Il a admis avoir rencontré l’homme au Qatar à deux reprises et avoir parlé avec lui. Il a expliqué que Mechichi a exprimé des remords sur de nombreuses questions, mais sans donner de plus amples détails. Ali Hafsi a dit fait que Hichem Mechichi pensait à démissionner le 23 juillet 2021, mais qu'il a été pris de court.
S’agissant du communiqué publié à l’issue de son limogeage et alors que certains affirmaient qu’il s’était fait sous la contrainte et les menaces, l’ancien ministre a souligné que les rumeurs sont fausses et que l’ancien chef de gouvernement a réagi de sa propre initiative et sans contraintes.
I.N



Allah yèhlik Ass-hab el-charr.
Je ne crois pas en cet individu ni en tous ceux qui sont dans son sillage.
Ils étaient tous, bien conscients de tous leurs actes. Le pouvoir leur a donné des ailes.
mchichi crut être devenu Dieu.
Anonyme la veille, il devint du jour au lendemain, 1er ministre d'un pays fort malade, parasité par d'insatiables vampires.
Il perdit les pédales et dériva aussitôt dans les méandres de la folie des grandeurs
Manque de pot et comme pour tous les précédents consanguins dans son cas, Rabi soubhanou wé taala, l'enfonça subitement sous terre.
Cet être n'est ni sincère, ni crédible.
Il fait désormais partie des résidents permanents de la poubelle de l'histoire avec ces complices, et cela, à jamais.
Sans trop chercher à l'accuser en son absence, il était comme une marionnette entre les mains de la secte et dérivés.
Accepter de recevoir les bandits de Markhouf et se permettre leurs accorder un visa, ( les mauvaises fréquentations de Méchichi, selon un article de B.N à l'époque ) , sa passivité devant l'affaire de l'aéroport ( sous les directives du gourou ) , devant l'affaire du gosse dénudé à Sedjoumi, son oppression et ses barbelés à l'égard des manifestants au Bardo, pour permettre un passage en force des débutés de la secte et ses sbires., La gestion catastrophique du covid... Tant de gaffes qui l'ont affaibli encore, le bras de fer avec le président ne l'a pas servi non plus. Il n'était pas gâté.
Il était dans une situation assez délicate, entre le marteau et l'enclume, une énorme pression
Et son manque d'expérience, ses méconnaissances des rouages de l'état, ( malgré ses précédents fonctions ) , n'ont pas facilité la tâche.
Mais j'aurais préféré que Mechichi s'explique de lui-même de sa vive voix, et non par personne interposée, il est devant une obligation morale, historique.
Il ne s'agit pas d'une personne corrompue et n'a aucune accusation à son encontre.
Il avait pris les reines dans une période critique, est-ce une victime ou responsable ?
Il a laissé derrière lui énormément d'interrogations.
Le peuple a besoin de solutions pour sa survie.
Les mois prochains seront décisifs à différents égards.
Sil ya un qui va rendre des comptes c'est cette énergumène, limite illettrée moussi la tordue.
Abir la boniche de abir la fourbe,mets le bien dans ta petite cervelle de moineau, kaiess said sera là jusqu'à 2029...après 2029 un autre vrai patriote qui le remplacera... jamais le rcd ne reprendra le pouvoir dans ce pays....plus jamais les escrocs du rcd et ses déchets, plus jamais la secte maléfique et son gourou, plus jamais cette classe politique mafieuse ,corrompue et incompétente qui a sévit dans le pays depuis 2011....
Vous êtes cuits ,déjà enterrés bande de cafards.
Pourquoi pas une interview entre M. Hichem Mechichi et M. Nizar Bahloul ? ou M. Mechechi est-il devenu muet ?