
Depuis la fuite concernant la composition du futur gouvernement Fakhfakh, le dirigeant Attayar Mohamed Hamdi qui serait concerné par le ministère de l’Education, fait l’objet d’une campagne de dénigrement sur les réseaux sociaux.
Les détracteurs de Mohamed Hamdi considèrent, dans ce sens, qu’il n’a ni l’étoffe, ni les compétences nécessaires pour occuper ce poste. Certains vont même jusqu’à publier son CV sur les réseaux pour justifier leurs attaques.
Face à cette campagne de dénigrement menée contre M. Hamdi, d’autres internautes et personnalités ont pris la défense du dirigeant Attayar, mettant en avant son intégrité ainsi que son parcours de militantisme. Certains vont jusqu’à estimer que les attaques sont motivées par des raisons régionalistes et voire même racistes.
S.H
C'est le partage de la "ghanima", en quoi vous êtes surpris ?
Sahha, et au suivant!
BON TRAVAIL ET BON COURAGE .L'ECOLE PUBLIQUE A BESOIN D'HOMMES SERIEUX COMME TOI .SURTOUT NE TRANSFORME PAS LES CLASSES EN MINI MOQUEES .
Hamdi va l'entrrer.
Unilingue d'arabe.
Aucun charisme
Aucune compétence
Arabiste
A souvent fleurté avec6Nahdha (comme Abbou)
Voilà le CV à qui on va confier 2 Millions de jeunes
Pauvre Tunisie
Un ministre est un politique, il a la charge de choisir, décider et faire exécuter.
Les prétendants islamistes et autres à certains ministères, ou l'homme qui dirige l'ARP ont-ils des compétences idoines ?
l' éducation, à part l'actionnisme et la médiocrité, peuvent faire. Donnez maintenant la chance à un autre parti politique..
Bonne route M. Mohamed Hamdi ..
Karakouz vraiment Karakouz
'? ma connaissance, le premier budget de l'?tat tunisien, c'est celui de l'éducation, c'est vous dire son importance !
Par conséquent ce grand ministère exige un CV en béton, et plus précisément quelqu'un qui maîtrisait tous les étages et branches de l'enseignement, de la maternelle et jusqu'aux grandes écoles, chose qui n'est pas donnée à tout le monde, à méditer, et longuement, avant de se fourrer le doigt dans l'?il ! ! !
Mr Hamdi arrive au pouvoir sans la moindre expérience et sans la moindre préparation adéquate le prédisposant a un tel poste.
En effet , Quatre qualités sont nécessaires mais non suffisantes pour être « un bon ministre de l'?ducation »,que Mr Hamdi n' a absolument pas , à savoir le respect, la conviction, la résilience et la réforme.
1/ Savoir inspirer confiance et respect parce que chaque décision a un impact sur les générations à venir. Pour cela il faudra avoir des relations faciles non seulement au sein du gouvernement et plus largement a l'échelle internationale . Pour se faire, ils doit être , ouverts aux dialogues, un excellent diplomate .
2/'?tre convaincu et convaincant à et ne jamais baser ses décisions sur des croyances personnelles. Toute décision doit s'appuyer sur des faits scientifiques : « le ministre doit prendre des décisions fondées sur des faits et des preuves, il ne faut pas réformer sur de simples croyances politiques mais baser sa réflexion sur des éléments objectifs et scientifiques.
Pour établir la confiance, le ministre devra également sortir de son bureau, visiter des écoles et être à l'écoute des enseignants, notamment aller dans des lieux reculés et défavorisés. Il sera ainsi mieux à même de comprendre comment les écoles mettent en '?uvre les politiques et les défis auxquels les enseignants doivent faire face. Ces rencontres donneront au ministre l'énergie et l'enthousiasme de se battre encore plus fort pour que l'éducation, en dépit des affaires politiciennes et/ou sujets d'actualités « brûlants », reste à l'agenda du gouvernement. Celle-ci ayant tendance à être jugée sans intérêt et reléguée à l'arrière-plan tant les résultats des politiques mises en '?uvres en éducation ne sont jamais immédiatement visibles et donc peu rentables électoralement.
Résilience et réforme
'?tre leadership, , et avoir la capacité, face à des crises systémiques, de se remettre en cause, de repenser complètement le système éducatif en place et de faire appel au besoin à la communauté internationale. Un bon ministre de l'?ducation devra donc avoir une bonne clarté de vision, du courage, de l'énergie.
Pour améliorer le système éducatif, des réformes sont nécessaires mais il ne pourra pas l'impulser seul car il ne sait pas comment impliquer le corps enseignant .
En effet Son principal allié devrait être les enseignants
Mais Hamdi est incapable de nouer une relation particulière avec les enseignants et en faire des ambassadeurs de la réforme qui doit venir de la base et pour les élèves qu'il est incapable de les y associer afin qu'elle réussisse. Il n'a aucune initiative pour revaloriser le métier d'enseignant. Comme il est intellectuellement borné , il ne va jamais leur donner liberté et autonomie, et considérer l'expertise et l'expérience des enseignants pour construire le système et faire émerger de nouvelles idées. des enseignants, ainsi que la recherche et l'innovation. Il a tendance a soumettre les enseignants à un système de contrôle centralisé, d'où un manque de respect pour les enseignants qui vont se sentir en prime dévalorisés.
Il va gérer l'école comme son entreprise, il dictera a tous comment faire.
Il sera incapable de mettre en place un système d'évaluation des politiques et si besoin des réformes car il est incapable de développer une culture de la reddition des comptes en éducation, qui sera sans aucun doute des plus utiles à ses successeurs. Mais son logiciel intellectuel est loin de comprendre tous cela .
Mettre un terme à la crise de l'éducation en Tunisie
Nécessitent donc Respect, conviction, résilience et réforme'?'Autant de qualités qui seront plus que nécessaires a n'importe quel postulant a ce poste. Mais inexistants chez Hamdi
Les capacités à repenser/améliorer le système éducatif nécessitent de faire preuve de courage et de conviction pour baser l'ensemble des décisions sur des données scientifiques et avoir surtout l'humilité d'écouter les enseignants.
Mais cela n'existe nullement chez Hamdi alors comment peut on espérer quoi que ce soit de ce pseudo nationaliste fermé sur une seule langue et sans la moindre expérience dans ce domaine.
L'expérience est une école en soi, tout comme le militantisme puisqu'on y apprend à ferrailleur avec du concret, ce qui concerne la vie des gens.
Les militants politiques et syndicaux sont nombreux qui ont exercé des fonctions ministérielles avec brio. Les technocrates ont le travers de bien souvent sortir du même moule et pensent dans les mêmes schèmes idéologiques.
La compétence est attestée par autrui dans un cadre institutionnel ou autre, ce qui fait que nul ne peut s'autoproclamer compétent et l'expérience reste le meilleur arbitre puisqu'elle sanctionne sur la base des faits, de la réalité partagée.
D'où il peut être soutenu que ce monsieur, bien qu'ayant milité ou à raison de son expérience militante peut être un bon ministre. Le sens de l'engagement et/ou de l'implication l'y aidera pour choisir et décider, les questions techniques seront assurées par les hauts fonctionnaires sous sa responsabilité comme de coutume en pareil cas.
apprendre a ce presenter correctement
Pauvre pays
Ce qu'il faut c'est un/une ministre qui a des couilles pour imposer le changement et faire respecter la loi.
Il faut un stratège pour nos enfants, et non pas un militant, en quoi il a milité, il faut une tête pensante des programmes scolaires et tout le système éducatif.
Arrêtez le massacre de l'avenir des gosses
Basta de politique, si le parti a qui on offre le ministere na pas de qualité adéquat, ce n'est pas a la population de payer encore le prix.
Quel massacre
Encore SOYONS SERIEUX SVP.
il n'a rien d'un ministre franchement !!!
ya 7asra 3al les ministres d'avant ; eeeuuuh n
Personne ne peut mettre en doute votre intégrité et votre militantisme.
Cependant vous êtes loin de faire l unanimité quand a vos capacités d'occuper le poste de ministre de l education.De grâce retirez vous pour laisser ce gouvernement passer
Vous pouvez rendre de très grands services ailleurs et surtout dans votre parti

