La situation hydrique en Tunisie demeure préoccupante et ne cesse de s’aggraver malgré les récentes précipitations et inondations. Ainsi et selon un rapport de l’Observatoire national de l'agriculture (Onagri) daté du 23 octobre 2024, le taux de remplissage des barrages est reparti à la baisse pour se situer à 20,8%, alors qu’il était remonté à 23,3%, il y a environ un mois et demi.
Le taux de remplissage des barrages les plus importants est resté pratiquement le même qu'il y a quinze jours repassant sous la barre des 50%. Il oscille actuellement entre 7% à 42% (au lieu de 3% à 54% il y a quelques semaines).
Les réserves d’eau dans les barrages tunisiens sont en baisse de 86,97 millions de m3 (-58,07%) par rapport à la moyenne saisonnière de la période, ayant atteint 62,78 millions de m3 contre 149,75 millions de m3.
Par rapport à la moyenne des trois dernières années, les réserves d’eau sont en diminution de -130,26 millions de m3 (-3,39%). Elles se situent à 489,04 millions de m3 contre 619,29 millions de m3 la moyenne des trois années.
I.N.
C'est pour tromper l'opinion publique tunisienne, comme si l'eau potable de la SONEDE, leur venait des barrages d'eau. Une ruse talmudique pour hausser les prix de l'eau de robinet en Tunisie, afin que la population tunisienne s'écrase entre l'enclume de la SONEDE et le marteau des entreprises d'embouteillage d'eau, qui nous poussent comme des champignons sauvages avec leurs eaux "minérale", qu'ils pompent des sondages à égalité avec la SONEDE.
Allah yèhlik Ass-hab el-charr.
Toute l'eau a ruisselé jusqu'aux sebkhas et vers la mer.
Par contre, la nappe phréatique de ces régions devrait voir son niveau augmenter.
Pour remplir les barrages du nord, il faudra avoir plusieurs semaines de pluie pour combler le déficit, et non pas 48 heures.
L'hypothèse que Dieu qui fait pleuvoir loin des bassins versants soit un vilain sioniste , ou qu'il veuille nous punir d'avoir élu un charlatan etant totalement exclue .
Dès qu'il a ouvert la bouche, tous mes espoirs furent balayés d'un coup de boutades qui me fit rappeler, ma mémoire étant comme susmentionnée devenue -peut-être bien par besoin et mécanisme d'autoprotection - courte, que notre vertueux bonhomme a fait il y a quelques mois l'objet d'une petite inscription sur l'une des pages de mon livre d'or ou cahier de doléances à vous de choisir..
C'était lors d'une réponse portant sur la question de la croissance économique en Tunisie. Faisant allusion à son entretien avec le premier ministre de l'époque, cheffissime du gouvernement, M. Hachani, qui lui affirmait que selon ses prévisions, on ferait 3 point de croissance en 2024. Notre Confucius, avec cette fierté qu'on ne trouve que chez nous, tunisiens heureux, nous racontais, certes avec fidélité, sa réponse au généralissime cherissime qu'on n'a retenu de son passage à Dar el-Bey que le qualificatif azizi, et qui se résumait en ces mots en arabe : "wenti sid Ahmed chkoun 9allek ken yaati Rabbi khirou, on aura si Dieu le veux, 5% de croissance". Voici ma foi des mots dignes d'être inscrits en or massif, du fatalisme enveloppé d'une fine couche de spiritualité tartuffarde ! Quelle élégance !
La bourde récente, là où j'ai zappé la chaîne et sacrifié mon émission préférée, ce n'est moins qu'une affirmation aussi légendaire que celle d'il y a quelques mois. Avec cette fierté habituelle, il nous expliquait que le mot "traître" est un mot courant et récurrent dans tous les discours, y compris, présidentiel, et de surcroît d'investiture !
Notre bonhomme était à un moment donné ministre.
Vous faites comment pour fabriquer des produits pareils ? ça me dépasse vraiment !
"Ybarek fi trabek ya Tounes, ech tkarkeb w ech tjib!"
Vous n'avez eu l'idée de nous expliquer les raisons car le commun des mortels que nous sommes n'arrive pas à assimiler ses informations ni l'admettre tant les précipitations sont plutot bonne ce mois ci et ont touchées pas mal de région
Svp trouvez nous une explication auprès des experts d'onagri
soit, comme il a déjà été signalé sur ce site auparavant, il y a de multiples dégradations des barrages avec fuites
soit, il s'agit d'ânonner la doctrine du changement climatique du nouvel ordre mondial avec sa sécheresse, baisse de productivité des cultures, production de co2 et obligation de se fournir en eau et produits alimentaires aux usines agréées par cet ordre , dont les usines Nestlé et de Bill Gates notamment.