Le président de la République a une nouvelle idée et il l’a partagée, hier, avec sa cheffe du gouvernement, il veut appliquer une nouvelle taxe sur les riches. Business News vous démontre par a+b pourquoi c’est une mauvaise idée.
C’était au cours d’un déjeuner de presse, en 2014, avec le candidat à la présidentielle Hamma Hammami, actuel secrétaire général du Parti des travailleurs (ex parti communiste), Business News attire l’attention sur le fait que la taxation des riches est une mauvaise idée, que ce genre d’idées a déjà démontré ses limites et ses dangers et que le communisme a vécu. Hamma Hammami répond du tac au tac : « mais bien sûr que je le sais. Ma priorité est de créer davantage de richesse pour la distribuer ensuite. Or maintenant, il n’y a que la pauvreté qu’on peut distribuer ».
Neuf ans après, le président de la République remet l’idée sur le tapis occultant, d’un coup, des décennies d’expériences échouées dans l’ensemble des pays communistes et/ou gouvernés par l’extrême gauche.
Il n’y a pas que l’extrême gauche qui a expérimenté cette idée de taxer iniquement les riches, il y a aussi des gouvernements de gauche dans de grands pays qui ont tenté cela. La France par exemple sous la gouvernance de la gauche du temps du Parti socialiste. Qu’est-ce que cela a donné ? La fuite des capitaux et l’émigration des riches vers des cieux plus cléments, notamment la Suisse, Monaco, le Luxembourg, la Belgique, les Pays-Bas et certains pays à fiscalité avantageuse en Europe, ainsi que des destinations plus éloignées comme les États-Unis, les Émirats arabes unis et d'autres juridictions offrant des avantages fiscaux.
Parmi les célébrités de ces expatriés fiscaux, il y a l’acteur français Gérard Depardieu qui a pris la nationalité russe en 2013 pour échapper aux impôts français, notamment à l'impôt sur la fortune ; le chanteur Johnny Hallyday, décédé en 2017, parti en Suisse puis à Los Angeles, aux États-Unis, où il bénéficiait de conditions fiscales plus favorables ; et le chanteur Florent Pagny qui a annoncé en 2006 qu'il quittait la France pour s'installer en Patagonie, en Argentine, en partie pour des raisons fiscales.
Ce que Kaïs Saïed refuse d’intégrer, c’est que quelle que soit l’idée qu’il va ramener, elle a déjà été expérimentée ailleurs dans le monde. Il a beau dire qu’il faut explorer de nouvelles pistes, il n’y en a point. Tout a été expérimenté, ailleurs, absolument tout.
Et ce qu’il doit savoir, c’est que le problème tunisien n’est pas dans la redistribution des richesses mais dans sa création, on ne peut rien redistribuer si on ne produit rien. Or la Tunisie produit très peu et ce en raison d’un climat d’affaires nauséabond. Ceci lui a été bien expliqué par les universitaires qu’il a reçus mercredi dernier et c’est exactement ce qu’a dit Hamma Hammami en 2014. C’est dire que même l’extrême gauche tunisienne est plus à droite que Kaïs Saïed. Plus sensée et réaliste aussi.
Ce n’est pas la première fois que le président de la République stigmatise les riches. On se rappelle encore quand il a dit qu’on ne le verra jamais à côté des nantis ou encore quand il s’en est pris à ceux qui achètent des aliments importés pour leurs animaux et des cosmétiques de marque.
Le président de la République clive une nouvelle fois les Tunisiens, comme si les riches ne sont pas des citoyens à part entière.
Plutôt que d’interroger les riches comment ils sont devenus riches et les inciter à investir davantage pour créer de la richesse, de la croissance et de l’emploi, il veut voler le produit de leur labeur pour le donner à ceux qui ne travaillent pas ou/et ceux qui ont fait de mauvais choix pour leur vie. En clair, il va punir les gens qui réussissent.
Outre cette injustice, l’idée de Kaïs Saïed va ménager, une nouvelle fois, le marché parallèle et la contrebande, éternels dispensés de la participation collective.
Quelle est la conséquence de cela ? Ceux qui produisent de la richesse vont cesser d’en produire, frauder le fisc ou, pire, vont partir à l’étranger.
Trop d’impôt tue l’impôt, c’est une règle prouvée partout dans le monde et depuis des décennies. Visiblement, Kaïs Saïed l’ignore.
Déjà, au vu des taxes et impôts actuels, l’investisseur tunisien offre quasiment la moitié de ses revenus à l’État. La démonstration est simple. Il paie 25% d’impôt sur le bénéfice, 10% d’impôt sur les dividendes et 19% de taxes. Tout cela sans parler des taxes sur la consommation bien cachées dans les prix. En clair, l’investisseur tunisien travaille de janvier à juin pour l’Etat et ne commence à travailler pour lui et sa famille qu’à partir du mois de juillet. En taxant davantage les riches, il risque de n’avoir que la pauvreté à distribuer.
Dans les faits, en supposant que Najla Bouden va appliquer la « nouvelle » idée de Kaïs Saïed, comment va-t-elle procéder ? Comment identifier les riches ?
Si elle va les désigner par le revenu, elle va créer de nouvelles injustices. Exemple, deux salariés d’une même entreprise qui touchent, tous les deux, deux mille dinars par mois. Théoriquement, ils peuvent être classés parmi les riches. Sauf que l’un est célibataire vivant encore chez ses parents et l’autre est père de famille dont l’épouse ne travaille pas et les enfants scolarisés. Si Kaïs Saïed va imposer une taxe sur ces deux salariés, il va appauvrir davantage le père de famille.
Si Najla Bouden va imposer le patrimoine (soit l’impôt sur la fortune), elle va devoir sanctionner des centaines de milliers de personnes, propriétaires de leur logement certes, mais qui sont étranglés par les crédits bancaires souscrits pour bâtir ce logement. Elle découragera, du coup, les jeunes ambitieux d’avoir leur propre logement et va porter un coup fatal sur l’ensemble du secteur immobilier.
Avec sa pseudo-idée neuve, Kaïs Saïed fait une nouvelle fois du populisme. Il pense qu’il y a beaucoup de riches en Tunisie qu’il peut taxer, alors que la Tunisie n’en a pas vraiment. Très peu, voire pas du tout, de milliardaires (en dinars), alors qu’ils se comptent par milliers en Europe, en Asie et aux Amériques.
N’ayant pas voyagé dans les quatre coins du monde, il n’a aucune idée de ce que sont vraiment les riches qu’on voit à bord de Bugatti et Ferrari à Monaco, Beverly Hills, Paris, New York, Pékin, Singapour, etc.
Refusant de voir les expériences malheureuses des autres pays, ces sept dernières décennies, il reste collé aux théories communistes de l’après-guerre croyant sincèrement qu’elles sont salvatrices.
Une nouvelle fois, Kaïs Saïed pêche par ignorance et inculture. Pire, il y a de la jalousie envers ces Tunisiens qui ont réussi dans leur vie. Le plus dangereux est que son populisme risque de mener à une révolte des pauvres contre les pseudo-riches.
Plutôt que d’attraper le taureau par les cornes en modernisant le code de l’investissement, en écoutant les investisseurs et en réformant la kafkaïenne administration tunisienne, Kaïs Saïed choisit le clivage des Tunisiens et les mauvaises idées faciles.
Raouf Ben Hédi
Business News a fait appel à l’intelligence artificielle pour montrer quels sont les avantages et les inconvénients de la taxation des riches. Voici les résultats :
L’aspect positif de l’idée de Kaïs Saïed.
Réduction des inégalités : L'augmentation des taxes sur les riches et la redistribution aux pauvres peuvent contribuer à réduire les écarts de richesse et les inégalités économiques. En dirigeant une partie des revenus des personnes les plus fortunées vers des programmes sociaux, tels que l'éducation, les soins de santé et les filets de sécurité sociale, on peut améliorer les conditions de vie des personnes défavorisées et leur donner une chance plus équitable de réussir.
Stimulation de la demande et de la croissance économique : Les personnes à faible revenu ont tendance à consommer une plus grande partie de leurs revenus, ce qui signifie que lorsque l'argent est redistribué vers elles, cela stimule la demande globale dans l'économie. Cette augmentation de la demande peut à son tour favoriser la croissance économique et créer des emplois.
Renforcement de la cohésion sociale : Lorsque les inégalités économiques sont importantes, cela peut créer des tensions sociales et miner la cohésion au sein d'une société. En augmentant les taxes sur les riches et en utilisant les recettes pour soutenir les moins fortunés, on peut contribuer à renforcer le tissu social et à favoriser la solidarité entre les différentes couches de la population.
Rétablissement de l'équité fiscale : Certains soutiennent que les riches devraient contribuer davantage en raison de leur capacité financière supérieure. L'augmentation des taxes sur les hauts revenus peut être considérée comme une mesure de justice fiscale visant à rétablir un équilibre et à garantir que tous les citoyens contribuent de manière équitable au fonctionnement de l'État et aux dépenses publiques.
Investissement dans le capital humain : En utilisant les recettes fiscales provenant des riches pour investir dans l'éducation et la formation des personnes défavorisées, on peut renforcer le capital humain de la société. Cela peut aider à briser le cycle de la pauvreté en donnant aux individus les compétences et les opportunités nécessaires pour améliorer leurs perspectives d'emploi et leur mobilité sociale.
L’aspect négatif de l’idée de Kaïs Saïed
Découragement de l'investissement et de l'entrepreneuriat : Une augmentation significative des impôts sur les riches peut décourager les personnes fortunées à investir leur argent dans de nouvelles entreprises, des projets d'innovation ou des initiatives économiques. Les riches sont souvent des investisseurs clés dans l'économie, et lorsque leur capacité à générer des rendements sur leurs investissements est réduite par des impôts plus élevés, cela peut ralentir la croissance économique et limiter les opportunités d'emploi pour tous.
Effets sur les petites entreprises : Beaucoup de petites entreprises sont des entreprises individuelles ou des entreprises familiales dont les propriétaires sont considérés comme riches selon les critères fiscaux. Augmenter les taxes sur les revenus élevés peut mettre en péril la viabilité économique de ces entreprises, réduisant ainsi les opportunités d'emploi et nuisant à la diversité économique.
Fuite des talents et de l'expertise : Des taux d'imposition élevés peuvent inciter les personnes hautement qualifiées à quitter le pays ou à chercher des opportunités ailleurs, où les charges fiscales sont moins lourdes. Cela peut entraîner une perte de compétences et de talents, ce qui peut avoir un impact négatif sur l'innovation, la productivité et la compétitivité économique globale.
Effets sur l'épargne et l'investissement à long terme : L'augmentation des impôts sur les riches peut réduire leur capacité à épargner et à investir à long terme. Ces investissements à long terme, tels que l'achat d'obligations d'État ou le financement de projets d'infrastructure, sont souvent des moteurs clés pour la croissance économique et le développement durable.
Distorsions économiques et évasion fiscale : Lorsque les taux d'imposition sont trop élevés, il peut y avoir une incitation plus forte à utiliser des stratégies d'évasion fiscale ou des mécanismes d'optimisation fiscale légale pour réduire la charge fiscale. Cela peut entraîner une diminution des recettes fiscales réellement perçues, contrecarrant ainsi l'objectif de redistribution des richesses.
Démotivation et réduction de la productivité : Des taux d'imposition plus élevés sur les revenus élevés peuvent décourager l'effort individuel et la motivation pour réussir. Certains soutiennent que cela peut créer un sentiment d'injustice et réduire l'incitation à travailler dur, ce qui peut finalement entraîner une baisse de la productivité globale de l'économie.
1. vous oubliez: le dinar ne vaut rien à l'étranger. donc pas de fuite de capitaux.
Exemple: le riche vend sa belle villa. les dinars restent en TN, mème s'il fait compensation ( hawala), les DT non convertibles , restent en TN.
2. en France, un gros porc sioniste, peut partir à l'étranger avec ses miliards. ( je cite pas le nom).
les euros sont convertibles. il y a fuite de capitaux. il ne paie plus d'impots en France !!
la France encourage la fuite de capitaux. demandez à Micron et son célèbre ami sioniste.
3. et aux USA ?
il continuera à payer de lourds impots, mème s'il s'installe dans un paradis fiscal, eg. Monaco.
le fisc US le retrouve mème caché dans un poisson, car il doit continuer à remplir sa déclaration d'impots, comme s'il vit aux US. le changement de résidance ne sert à rien.
Une dizaine par jour, et c'est le minimum !
Qui a financé vos études ? L'état tunisien,pourquoi crachez vous dans la soupe ?
Quittez le pays si ça vous arrange vous demeurerez des fugitifs des ingrats.
Kais Saïed, doit vous taxer au plus fort.
Ayez un petit peu de pudeur.
Néanmoins, je vous accorde cette mise au clair de la situation dans le pays, et c'est en votre honneur, pour cette reconnaissance, à la mère patrie.
Grand nombre comme vous Docteur,reconnaissance, et amour à cette chère Tunisie, hélas beaucoup, beaucoup parmi vos collègues ont fait fausse route des ingrats, et cupides par excellence.
Le serment d'Hippocrate, mis en sourdine et même déchiré, piétiné,jeté aux oubliettes.
Oui ces messieurs n'ont ils pas un devoir urgent à venir en aide à cette maman, martyrisée malmenée par des enfants illégitimes soudoyés par des ennemis extérieurs.
Ce qu'il fallait faire, rénover le système, il est devenu obsolète, ces médecins qui fuient le pays après avoir bénéficié, de l'état, leurs études étaient payées par les contribuables tunisiens, et lors de la cueillette de fruits, personne ne répond à l'appel ! ! ! ! !
cordialement Docteur.
Maintenant qu'il est président à cause d'un bien fâcheux concours de circonstances, le monsieur essaye d'utiliser la même stratégie opportuniste. Au lieu d'encourager le travail, il essaie de voler l'argent de ceux qui produisent de la richesse dans ce pays.
Lokma el barda et les hafterichs sont bien gardés. Enfin, c'est ce qu'il croit.
S'il taxe les riches... Ce sera le début de la nakba des riches tunisien ou autres.
Les investisseurs diront bye-bye...,
Vit il sur la même planète que tout le monde? J'ai jamais vu une politique aussi chaotique. On a l'impression d'avoir Joe Biden aux commandes.
Cette interdiction est l'équivalent de la taxation des riches. Ces éminents professeurs ont étudié et travaillé pour la science, la patrie, la noblesse de la médecine et aussi pour le gain matériel. Il est normal et prévisible qu'ils quitteront le secteur public lorsqu'on les empêche de récolter les fruits de leurs réussites. C'est aussi pourquoi, sur 1000 médecins Tunisiens diplomés chaque année, environ 900 d'entre eux travailleront à l'étranger.
les diplomes étrangers y sont pas valables. inutile d'aller faire tes études en Ukraine, Russie .... çà ne marche pas.
Qui sont le plus grand nombre de millionaires en Dollars americains en Afrique, plus nombreux que leur collegues au Nigeria et en Afrique du Sud. Nos riches qui se sont enrichis non a la sueur de leur front, mais en corrompant les politiciens corrompus qui leur ont octroye, monopoles, previleges injustes et qui leur ont permis d accumuler des richesses illegitimes, et appauvrir encore plus, les pauvres et la classe moyenne. Alors que les riches de beaucoup d autre pays creent des fondations pour financer des projets
d aide economiques, sociales, educatives, culturelles etc , nos rapaces et voraces riches, accumulent les richesses illegitimes en faisant tout pour ne payer aucun impots a
l etat, qui n a plus les moyens d importer la nourriture des pauvres Nos riches possedent 80% des richesses du pays et les pauvres 80% des poubelles de la nations pour se nourir. . Dites ce que vous voulez, mais pour le bien meme de nos suicidaires riches, dans l interet de la paix sociale et de la stabilite du pays, Kaeies Saeid n a aucun autre
choix que d obliger nos riches a cesser
d accumuler encore plus de richesses douteuses, a travers entre autre les subventions absurdes de l essence
de leur voitures de luxe, du pain qu ils jettent a la poubelle, du sucre, du cafe etc, et ce a travers leur formidables evasions fiscales.
S il veut etre reelu en 2024, Kaeies a Saeied doit mettre fin a ces inegalites economique entre riches et pauvres, eliminer
l economie de rente de nos riches et aider a creer une nouvelle classe
d entrepreneurs et
d investisseurs qui creent la richesse a travers labeur et efforts, et non en
s enrichissant i justement sur le dos du peuple. Alors, que nos parasitaires riches s autoreforment car le temps de
l argent facile a travers la corruption des politiciens et de
l etatique, des monopoles, de
l economie de rente est entrain de fondre..
1/ Il s'agit d'une taxe à appliquer à certains consommateurs et non un impôt sur le revenu. Cette taxe peut, à la limite, être appliquée de manière proportionnée
2/ Comparer cette proposition à un impôt sur la fortune qui ferait fuir les riches est, au minimum, une absurdité et au maximum de la malhonnêteté intellectuelle. En effet si, par exemple, vous appliquez une taxe de quelques centaines de dinars par an, pour compenser en partie les subventions publiques sur vos consommations de carburant, sur une voiture particulière de 8CV (que vous est prélevée lors du paiement de la vignette) est ce que cela fait fuir à l'étranger le propriétaire de cette voiture ? C'est ridicule de penser cela
3/ Avec cette proposition, qui n'a rien à voir avec un impôt sur la fortune, le schéma (copié bêtement sur ce qui se passe à l'étranger) de fuite des riches à l'étranger est totalement erroné
4/ Cette taxe est applicable aux consommateurs quels qu'ils soient (riches, contrebandiers, adeptes du marché parallèle, blanchisseurs d'argent, etc.) elle est de ce point de vue égalitaire et elle n'a pas de relation directe avec le revenu et donc avec l'impôt applicable à celui ci. Les gens à revenu limité qui ne consomment pas certains produits ne sont pas concernés
5/ Pourquoi voulez vous que les consommateurs tunisiens qui possèdent certains biens ne payent pas les consommations de ces biens à leur juste prix comme cela se passe dans la quasi majorité des pays du monde ?
6/ En Tunisie, externaliser les consommations et les charges, que l'on doit
normalement supporter, sur le dos de la communauté est un sport national.
Le jour ou chaque consommateur ou usager d'un service est amené à payer un prix juste pour la prestation ou la fourniture reçue, l'économie du pays ira mieux. Evidemment cela suppose qu'un système de soutien soit offert aux plus démunis et à ceux qui en ont besoin
Donc cher R.B.H. révisez vos idées sur la taxe de compensation, vous n'y êtes pas du tout !! Ne montez pas sur vos grands chevaux sans étudier sereinement et objectivement les questions que vous traitez
pour aller où ? le dinar n'étant pas convertible.
l'euro, oui. en France oui, çà fait fuire les riches.
--> voir le lien:
https://www.meteo.tn/fr/pluviometries?page=1
http://www.onagri.nat.tn/barrages
tout ce qui est bleu sur la carte, du lien Web ci-dessus, a connu une forte pluviométrie, et ça contenue sans faire de dégâts...
Ritz Schäffer, Président de la Bavière après la Seconde Guerre mondiale, était convaincu qu'il fallait redistribuer les richesses à l'heure zéro dans une Allemagne dévastée par la guerre. Le politicien de la CSU ne s'est pas fait d'amis avec l'idée d'impôts spéciaux.
Et ainsi, la jeune République Fédérale d'après guerre a connu la plus grande action de redistribution jamais réalisée dans une économie libre de marché. Des milliards provenant entre autre des impôts sur la fortune ont été prélevés et versés à des millions de personnes démunies. Le 1er septembre 1952, la loi sur la répartition de charge (Lastverteilung) est entrée en vigueur.
L'idée n'a apparemment pas perdu beaucoup de sa force de rayonnement sociopolitique. En effet, lors du débat sur la manière dont l'Etat allemand devait faire face aux coûts élevés de la Pandémie Corona, la demande d'un nouvel impôt spécial sur le modèle historique de la répartition de charge a également fait son apparition.
Schäffer voulait construire une nouvelle société allemande socialement solidaire : "Il est naturel de penser que celui qui a subi des dommages patrimoniaux pendant la guerre se tourne vers celui qui a conservé sa fortune pendant la guerre", expliquait le ministre.
La souffrance, la misère et le désespoir étaient omniprésents. Immédiatement après la fin de la guerre, le pays comptait 15 millions de personnes qui ne possédaient souvent pas grand-chose de plus que leurs vêtements usés: Victimes des bombardements (souvent exagérés et inutiles après la capitulation de L'Allemagne).
En tout, dix-huit millions de personnes, soit plus d'un tiers de la population de la République fédérale d'Allemagne à l'époque, avaient droit à des versements d'argent gratuit au nom de la répartition de charge.
-->
De même, la répartition de charge est aujourd'hui une obligation en Tunisie, au nom d'une nouvelle société tunisienne socialement solidaire durant une situation socio-économique très difficile à la suite de la pandémie du virus corona et de la guerre en Ukraine.
Bonne soirée
Après ont parlera des riches qui eux contribue à faire marcher le pays économiquement parlant.
L'impôt allemand sur la fortune revenait aux Länder. Le taux d'imposition était, à partir de 1995 (au-delà d'un abattement de 61.355 Euros par membre de la famille), de 1 % par an pour les personnes physiques, mais de 0,5 % s'il s'agissait de biens agricoles, forestiers ou d'exploitation, et de 0,6 % pour les sociétés.
La taxation sur les riches st une tentative désespérée par temps de faillite généralisée.
Tous les moyens sont bons; l'essentiel est de ne pas couler corps et biens
Le bétail embarqué a bord ne se doute pas pour l'instant de l'imminence du naufrage; il lui reste encore assez de foin a mâchouiller pour ne pas être alarmé par le roulis
La meilleure solution consiste à saisir les biens de tout les criminels islamistes et leur alliés et qui se sont fait enrichir à la vitesse d'un avion supersonique c'est plus juste de saisir tout l'argent des caisses de l'état spoliés par des criminels de la sorte .
en fait convertibe en devises envoyées par les émigrés.
Vous remplacez tous vos articles rédigés par vos journalistes par des articles pondus par l'intelligence artificielle sur tel ou tel sujet sociétal et vous serez plus objectifs, plus précis, moins colporteurs de fake news et certainement plus intéressants pour vos lecteurs par l'édition d'articles donnant matière à reflexion.
D'autant plus que vous y gagnerez car il y aura beaucoup moins de monde à payer en fin de mois....
L' argent est là et si vous ne le récupérez pas auprès des riches et surtout les oligarches, il en sera encore moins pour ceux qui souffrent vraiment de la crise.
La demande d'un impôt foncier unique sur tous les actifs supérieurs à un million de TDN par exemple et une réintroduction de l'impôt sur la fortune ordinaire sur tous les actifs supérieurs à un million de TND.
Un prélèvement sur la richesse ne submergerait personne des super riches surtout de la dictature de Bourguiba et Ben Ali et il y aurait bien sûr des exemptions pour les actifs commerciaux. Mais ici aussi, si l'état n'avait pas sauvé l' économie et le tourisme avec ses moyens, de nombreuses entreprises n'auraient pas survécu. Il est donc temps pour un pour cent des super-riches de redonner quelque chose à la société.
Il faut différencier la richesse gagnée par un travail honnête et la responsabilité des entreprises doit être évaluée par rapport à la richesse des spéculateurs.
Regardez la bourse, les banques, les assurances, les spéculateurs et les sauterelles!
Bon vent!
ces riches ne paient ni impots ni zaqat.
les riches DOIVENT payer jusqu'à 40 % d'impots, pour financer le SOCIAL.
çà s'appelle: REDISTRIBUTION, JUSTIFE SOCIALE.