
L’information relayée mardi 23 février 2021 et selon laquelle une saisie-arrêt a été opérée sur les comptes de la Télévision nationale a fait couler beaucoup d’encre, surtout en l’absence de réaction officielle de l'établissement.
En effet, certains ont affirmé qu’un verdict a été émis par les instances judiciaires contre la Télévision tunisienne l’obligeant à payer une dette de 2,2 millions de dinars pour un fournisseur étranger. Ce qui a provoqué l’ire et la désapprobation du grand public face à la situation de ce média financé par les deniers publics.
Contacté par Business News, le directeur de la communication au sein de la Télévision tunisienne, Elyes Jarraya n’a ni confirmé, ni infirmé l’information et s’est contenté d’expliquer que jusqu’à midi ce mardi, rien n’est parvenu au bureau des affaires juridiques au sein de l’institution qui confirmerait cette information, demeurant ainsi selon lui non-officielle.
M. Jarraya a, en outre, soutenu qu’il s’agit de procédures juridiques normales et qu’on peut réclamer de la part du pouvoir judiciaire une saisie-arrêt sur n’importe quelle entreprise, surtout que la situation de nombreuses institutions publiques est difficile, à l'instar de la Télévision nationale.
personnellement depuis ce problème de remaniement mon rendement a beaucoup baissé et chaque matin je me réveille dans l'espoir d'entendre que notre président va avoir un peu de conscience et arrêter son entêtement qui détruit notre pays de jour en jour!
Cela est inadmissible de bloquer un pays et le mèner à une guerre civile!
tu sembles oublier que la Tunisie est descendue aux enfers depuis un certain octobre 2011, date à laquelle une bande d'affamés revanchards ont accédé au pouvoir avec de surcroît un tartour à Carthage.
C'est minable de prétendre que les khwenjias & Co '?uvrent pour la construction de la Tunisie; c'est les pires filous qu'a connus le pays, et ces bâtards risquent bientôt de payer cher la facture de leurs crimes.
smallah ala ton rendement.
la guerre civile, si ça arrive, rasera toutes les mauvaises graines sur sa route, les khwenjias et leurs milices. A bon entendeur, je ne dis pas salut
La Banque centrale a critiqué le déficit jugé excessif pour 2020 (14% du PIB) et 2021 risque d'être pire.
Le plan de financement du FMI a pris fin au printemps, sans perspective pour la suite. Le FMI ne veut pas perdre sa crédibilité en continuant a financer un pays qui refuse a suivre ses recommandations et reformer son économie.
L'épargne en Tunisie ne dépasse pas les 8% du PIB, donc ce déficit sera difficile a financer.
La banque centrale ne peut pas faire du quantitative easing puisque ceci n'est possible que si l'inflation est maîtrisée.
L'année 2021 va être le début d'un retour a la réalité, on ne peut pas consommer plus que l'on produit et on ne peut pas payer des gens qui ne font rien.
On doit choisir les entreprises publiques qui doivent être sauvées (STEG, SONEDE, ONAS ...) et les aider et laisser le reste se débrouiller.