
Le président de la République, Kaïs Saïed, a reçu, ce mercredi 5 janvier 2022, le bâtonnier des avocats, Brahim Bouderbala au palais de Carthage. Une rencontre qui se voulait apaisée et par laquelle le chef de l’Etat a souhaité exprimer son soutien aux avocats.
« Il n’y a pas lieu de toucher aux avocats et aux juges intègres », a-t-il dit, ajoutant que « personne n’est au-dessus de la loi et tous ceux qui ont commis des crimes à l’égard du peuple tunisien seront punis ».
Alors qu’il disait appeler à l’apaisement, le chef de l’Etat s’en est pris, cette fois encore, au conseil supérieur de la magistrature (CSM).
En abordant le texte de loi relatif au conseil supérieur de la magistrature, il a affirmé qu’il y a lieu de s’interroger, selon lui, sur « ce qui a fait qu’un ensemble de textes de lois ait été adopté alors qu’il sert une partie bien déterminée ». Il ajoute, sur la même lancée que « des membres du CSM n’ont pas été élus suivant des critères objectifs, mais en privilégiant les considérations personnelles, les intérêts financiers et les rapprochements politiques ».
« Nous savons tous que certains parmi ceux qui ont occupé les plus hautes fonctions dans les tribunaux, à un certain moment et encore aujourd’hui, suivaient des forces politiques et des mafias criminelles ».
Il ajoute : « le problème aujourd’hui n’est ni avec les avocats, ni avec les juges intègres, le problème est avec ceux qui ont commis des crimes à l’égard du peuple tunisien ». « Certains se croient au-dessus de l’Etat alors qu’ils le font exploser de l’intérieur. Le plus important c’est la justice ! »
Cette visite survient après celle tenue plus tôt dans la journée - mais publiée à quelques minutes d'intervalle sur la page officielle de la présidence - avec la cheffe du gouvernement et les ministres de la Défense, de l’Intérieur et de la Justice.
S.T


Ceci étant, il faut citer les soi-disant compensations qu'ils perçu au cours de 2011, 2012 et 2013 sans aucune raison ni justification, ainsi que les recrutements anarchiques de leurs concitoyens sudistes et ce dans les ministères et sociétés étatiques, sans avoir aucune compétence ni niveau d'instruction, et de surcroît que cela soit dans la capitale et ce afin f'dy habiter et de dénigrer définitivement le sud qu'ils renient et polluent en jetant volontairement le phosohogypse dans le golfe de Gabes ; et leurs arnaques sont nombreuses.
Comment
Ceci étant, il s'agit d'une déconvenue jamais connue durant toute l'histoire élogieuse de la Tunisie tant respectée par le monde e tuer depuis des siècles et surtout dès son indépendance en 1956 sous l'égide de Feu Bourguiba.
Avec mes respects pour M. Brahim Bouderbala, je dirai que cette association si importante
dans la vie politique Tunisienne brille par son absence pour défendre ses membres et la société tunisienne en se mettant du coté de la fausseté.
Ce que je reproche à MBouderbala son coté diplomatique pour ne pas dire la vérité comme s'il était candidat un poste politique. Il ne veut pas fâcher le pouvoir et il lui trouve des prétextes
pour ses exactions. Pour un bâtonnier lire faussement et honteusement l'article 80 de la constitution ,il faut le faire !!!.
Monsieur le bâtonnier démissionne ,ce poste exige un homme courageux et nous tunisiens on aimerait voir les avocats à leur place habituelles c'est a dire protecteurs ,tuteurs, bienfaiteurs, défenseurs de la société tunisienne.
A bon entendeur. Je m'excuse encore M.Bouderbala.