
Le laboratoire de la rage à l’Institut Pasteur a procédé jusqu’au 26 septembre 2024, à l’analyse de 1280 échantillons dont 29% se sont avérés positifs.
Mariem Handous, cheffe du laboratoire de la rage, a souligné que les animaux les plus touchés sont les chiens, en tant que réservoir du virus, suivi des vaches, des chevaux, des moutons, des chèvres et les chats sont en bas de la liste en termes d'infection par la maladie.
Elle a expliqué, dans une déclaration à l'agence de presse Tap, que pour limiter le nombre d’infections il est nécessaire de vacciner 70% des animaux précités chaque année et sur une durée de cinq ans.
La médecin et coordinatrice du programme national de lutte contre la rage, Kaouther Harabech a indiqué, pour sa part, que ministère de la Santé s'apprête à mettre à jour la législation sur l'élevage des chiens dans le cadre d'un projet en partenariat avec plusieurs ministères, dont les ministères de l'Agriculture et de l'Intérieur.
Elle a précisé que les points examinés concernent notamment l’enregistrement des chiens ainsi que la vaccination obligatoire des animaux contre la rage. La proposition comprend également des mesures dissuasives assorties de sanctions pour les contrevenants.
On rappellera que neuf cas de décès par la rage ont été recensés en 2024, un chiffre record qui a provoqué l’indignation de nombreux professionnels du secteur de la santé.
M.B.Z
Laisser aller désolant, indolence affligeante ou insouciance criminelle ? Allez savoir...
Je vous rappelle que plusieurs nations déconseillent de voyager en Tunisie à cause de ce bordel sanitaire, en arrivant en Tunisie et si on échappe aux *** enragé véreux qui demande du bakchich, un *** enragé qui demande sa part, un *** enragé qui ce sucre au passage avant d'arriver à l'hôtel c'est un chien qui surgie de nulle part dans un parking mal éclairé qui vous envois vers une mort certaine.