
Le président de la République, Kaïs Saïed, a reçu dans l’après-midi du mercredi 14 mai 2025 au Palais de Carthage la cheffe du gouvernement, Sarra Zaâfrani Zenzri, annonce un communiqué présidentiel publié à 4h45. Cette rencontre a été l’occasion, pour le chef de l’État, d’adresser un message clair à l’ensemble des responsables de l’appareil étatique.
Kaïs Saïed a insisté sur la nécessité, pour plusieurs cadres de l’administration, de « s’élever à la hauteur des enjeux actuels ». Il les a appelés à se débarrasser des hésitations et des inerties héritées du passé, et à adopter l’attitude d’un « guerrier sur le front de guerre », animé par la volonté d’engager le pays vers une transition définitive.
Selon lui, les responsables doivent faire preuve de « courage, de célérité dans la prise de décision, et d’un engagement constant à appliquer les orientations retenues ».
Le président a également rappelé que « la responsabilité publique ne doit pas être perçue comme une fin en soi, ni comme un simple fauteuil à occuper passivement ». « Celui qui considère sa fonction comme une salle d’attente peut attendre hors des institutions de l’État », a-t-il lancé, affirmant qu’il cédera la place à ceux pour qui le pouvoir ne représente rien, sinon une charge au service du peuple.
Kaïs Saïed a enfin plaidé pour un renouvellement générationnel, affirmant que « la jeunesse assoiffée d’action et porteuse de l’esprit de combat devait pouvoir prendre le relais, en remplacement de ceux qui n’ont pas été à la hauteur des responsabilités qui leur ont été confiées ».
R.B.H

La question récurrente réside dans le pourquoi de ces rappels.
Ou comment la politique, l'art de choisir et décider, doit primer sur tous les pouvoirs, corporations et groupe d'intérêts.
Visiblement, des acteurs agissent dans le but de gêner, empêcher les gouvernfments successifs dans leur action......bénéficient d'alliances et de soutiens de gens aux intentions pour le moins intéressées.
Il se pourrait que des projets obscurs soient en acte, et ce serait facile de taxer de "complotisme" l'évocation de cette hypothèse.
Mais, .....
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