Qu'est-ce que je vous disais ?
Vous voyez vous-même que ça n'a pas trop tardé, n'est-ce pas ?!
Je dirais même que je n'ai pour ces zigues-là qu'un "manque d'intérêt" !
Pour rester poli, bien sûr !
Maxula.
Une pétition signée par 111 membres du parti des Travailleurs annonce le boycott du cinquième congrès national de la formation de gauche, à leur tête le député à l’Assemblée des représentants du peuple et vice secrétaire général, Abdelmoumen Belânes.
Ce que contestent les signataires c’est l’exclusion des bases par les instances dirigeantes et la bureaucratie qui domine. « A maintes reprises, nous avons appelé à un débat sérieux afin de trouver des solutions à la détérioration de la situation au sein du parti. Un débat qui doit concerner tous les militants sans exclusion. Nous avons cherché à alerter sur la gravité de la situation, notamment la prévalence de la bureaucratie, le nombre élevé de démissions, le non-intérêt aux activités partisanes mais aussi l’incapacité du parti à s’ancrer dans le peuple ou à maintenir l’unité du Front populaire ».
Les 111 militants affirment que les dirigeants ont catégoriquement rejeté cette démarche, alors que les instances du parti sont paralysées. Selon eux, ces dirigeants refusent également de fournir un cadre approprié pour un débat démocratique au sein du parti.
Les opposants à cette approche de la direction ont dû tenir des réunions pour sensibiliser sur la situation du parti, sauf que les dirigeants, au lieu d’interagir positivement, ont considéré qu’il s’agissait de manœuvres visant à déstabiliser le parti. Ces derniers ont aussi pris des mesures afin de geler ou d’expulser certains membres.
« Ces actions sont injustes et illégales, fondées sur la volonté du bloc bureaucratique de se débarrasser de ces camarades et de ne pas les impliquer dans la préparation du congrès ».
Face à ce qu’ils qualifient d’entêtement de la bureaucratie et sa politique d’exclusion, les signataires ont appelé les militants du parti à boycotter un congrès factice et qui ne les représente pas.
I.L.
Une pétition signée par 111 membres du parti des Travailleurs annonce le boycott du cinquième congrès national de la formation de gauche, à leur tête le député à l’Assemblée des représentants du peuple et vice secrétaire général, Abdelmoumen Belânes.
Ce que contestent les signataires c’est l’exclusion des bases par les instances dirigeantes et la bureaucratie qui domine. « A maintes reprises, nous avons appelé à un débat sérieux afin de trouver des solutions à la détérioration de la situation au sein du parti. Un débat qui doit concerner tous les militants sans exclusion. Nous avons cherché à alerter sur la gravité de la situation, notamment la prévalence de la bureaucratie, le nombre élevé de démissions, le non-intérêt aux activités partisanes mais aussi l’incapacité du parti à s’ancrer dans le peuple ou à maintenir l’unité du Front populaire ».
Les 111 militants affirment que les dirigeants ont catégoriquement rejeté cette démarche, alors que les instances du parti sont paralysées. Selon eux, ces dirigeants refusent également de fournir un cadre approprié pour un débat démocratique au sein du parti.
Les opposants à cette approche de la direction ont dû tenir des réunions pour sensibiliser sur la situation du parti, sauf que les dirigeants, au lieu d’interagir positivement, ont considéré qu’il s’agissait de manœuvres visant à déstabiliser le parti. Ces derniers ont aussi pris des mesures afin de geler ou d’expulser certains membres.
« Ces actions sont injustes et illégales, fondées sur la volonté du bloc bureaucratique de se débarrasser de ces camarades et de ne pas les impliquer dans la préparation du congrès ».
Face à ce qu’ils qualifient d’entêtement de la bureaucratie et sa politique d’exclusion, les signataires ont appelé les militants du parti à boycotter un congrès factice et qui ne les représente pas.
I.L.