
Le chef du bloc parlementaire de Qalb Tounes, Oussama Khlifi, a affirmé que les invitations adressées à l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) pour participer aux conférences internationales traduisaient une reconnaissance de l’existence de cette institution.
Intervenant le 29 novembre 2021 sur les ondes de la radio Diwan FM, Oussama Khelifi a réaffirmé son opposition au gel des activités parlementaires et au "coup d’Etat" du 25 juillet 2021.
« Nous avons été invités à participer aux travaux de la 143ème assemblée de l'Union Interparlementaire en tant que députés élus par le peuple. L’absence des députés à ce genre d’événement serait catastrophique », a-t-il déclaré.
Oussama Khlifi a affirmé que plusieurs parlementaires internationaux avaient exprimé leur affliction quant au gel de l'ARP. Le député a expliqué qu’il comptait trouver une solution à la situation actuelle.
« Une partie du peuple était irritée par ce qui se passait au sein de l’ARP. Nous devons comprendre cela. Néanmoins, nous ne devons pas renoncer aux acquis de la démocratie et entrer dans une ère sombre. En tant que représentant du peuple tunisien, nous restons attachés à la démocratie, à la primauté de la Constitution et à la légitimité des élus », a-t-il ajouté.
Oussama khlifi a tenu le président de la République responsable de la situation en Tunisie et de la monopolisation des pouvoirs. Il l’a appelé à mettre fin au conflit avec la présidence de la République. Il a considéré que ce conflit a conduit à l’isolation de la Tunisie.
« Personnellement, je regrette mon soutien à la nomination de Hichem Mechichi au poste de chef du gouvernement par le président de la République, Kaïs Saïed. Le président de la République avait nommé les membres des gouvernements de Mechichi et de Fakhfakh », a-t-il déclaré.
Oussama Khlifi n’a pas écarté la possibilité de tenir des élections générales anticipées. Il a expliqué que son parti comptait proposer l’introduction de l’obligation de vote aux électeurs.
Le député a appelé à ne pas confondre les personnes avec les institutions de l’Etat. Il a affirmé qu’il était opposé aux choix de la présidence de la République et non-pas à la personne de Kaïs Saïed.
Oussama Khelifi a, aussi, critiqué les campagnes visant les élus tunisiens et a estimé que la qualité de député était assimilée à un crime en Tunisie. Il a précisé qu’il retournera en Tunisie seulement en cas de réinstauration de la démocratie.
« Je ne suis pas en fuite à l’étranger ! Je retournerais en Tunisie ! Les opposants politiques sont la cible de campagnes organisées et de poursuites devant des tribunaux militaires », a-t-il ajouté.
Le député a souligné l’importance d’un retour au calme et à tenir un dialogue national afin de se pencher sur les véritables problématiques, à savoir la situation socio-économique.
Enfin, le député a précisé qu’il s’opposera à toute tentative de sanctions visant la Tunisie émanant de l'Union Interparlementaire.
S.G
Qu'avez-vous fait pendant toutes ces années passées en vous ralyons avec la mouvance nahdaouistes et ces satellites.
Pourquoi ne pas avoir le courage de le dire au pays, de quoi avez-vous peur....
Vous avez suivis l'exemple de votre chef politique, la fuite en avant.
Le mieux pour vous et les gens de votre espèce restez a l'étranger, la Tunisie n'a plus besoin de vous ni de près ni de loin.
Ce génie des alpages regrette avoir soutenu la nomination de mechichi et de fakhfakh en tant que 1ers ministres pas K.S. Bien fait pour lui, car s'il avait un gramme de jugeote, afin de s'assurer une pérennité politique, il aurait demander à KS de le nommer à la Kasbah...au lieu de Bouden, effacée et ne sachant même pas parler...
Et cerise sur le gâteau, khlifi "a précisé qu'il s'opposera à toute tentative de sanctions visant la Tunisie émanant de l'Union Interparlementaire." sic . Sans blague ! C'est quoi ces " sanctions visant la Tunisie" ? quelle Tunisie? son peuple? son président? son gouvernement ou son parlement ? Si l'Assemblée de l'Union Interparlementaire devait sermonner la Tunisie, elle ferait exclusivement envers l'ARP et tous ses blocs et élus confondus, car cette ARP, depuis 2014, n'est plus digne de s'appeler " parlement", tant elle s'est transformée en une véritable cour des miracles, brodée d'insultes et d'agressions physiques et gangrenée par la corruption et la contrebande...quand certains de ses membres ne sont pas soupçonnés de soutien aux terroristes. Mieux, il y a même le chef du parti qui détient la seconde place dans la majorité parlementaire traine de lourdes casseroles judiciaires au cul pour corruption, blanchiment d'argent, paiement d'un lobby étranger ( interdit par la loi tunisienne), évasion fiscale et propriétaire d'une chaine de tv hors la loi... Il est en fuite en Espagne. Je ne sais pas si oussama khlifi connait ce monsieur ou pas...
Enfin, à défaut de me faire rire, oussama khlifi arrive tout de même à me faire pitié et s'il continue sur cette lancée, il finira par me faire chialer... Le pôvre !
Non mettez vous ça dans votre petit crâne : votre ARP des magouilles et des complots de la secte le peuple n'en veut plus BAHHHH CLOSED FINITO ...
Allez vous trouver un vrai boulot pauvre type vous êtes ridicule !!!!
2 ) la légitimité électorale n'est pas mise en cause avec ces affaires de corruption ?
3 ) quel avenir politique pour votre chef en cavale et ainsi la situation de ce parti poubelle ?
4 ) même en cas d'élections anticipées, quelles chances réelles pour vous pour réussir ?
5 ) en cas d'élections, vous avez vraiment des cou**** pour revenir affronter la colère du peuple ?
6 ) cette question est posée par beaucoup de lecteurs, ce train de vie en France, c'est quoi le secret ?
7 ) ceci n'est pas une question mais une proposition raisonnable, êtes-vous prêts à nous lâcher, nous foutre la paix et vous occuper uniquement de votre famille et surtout votre cul ?
Dès que ta durée de séjour à l'étranger prend fin, tu seras renvoyé ici en Tunisie, et tu seras jugé aisément !
T'as rempli tes proches à l'instar de tes confrères députés, et le jour où vous sentez quelque chose ici, vous n'avez qu'à déguerpir !!!
Quels mafieux !
Ta place chez toi en France laisse la Tunisie pour les Tunisiens
Pauvre type
Espèces de voleurs et d arnaqueurs la plupart des députés ont la double nationalité pour servir leur intérêts et non du peuple rendez l'argent volé et arrêter de nous parler de la démocratie et de vos bla bla ça y est les masques sont tombés et vous êtes à nu...
D'abord un constat important s'impose : presque toute la classe politique est pourrie. Pourrie, entre autres, par le culte de la personne, les égos, la corruption, l'opportunisme, l'arrivisme, etc :
En commençant par les défunts : Bourguiba (fin de règne), Ben Ali et Béji Caied Essebsi BCE (le deuxième plus grand traitre de la révolution, il a pactisé avec le premier traitre Kherriji (Ghannouchi) en aout 2013, dans l'hôtel chic de Paris : le Bristol, dans la suite du milliardaire et ripoux Slim Riahi, rencontre organisée par Nabil Karoui, patron de Nesma, qui s'avèrera co-fondateur de Nidaa Tounes. BCE a permis le retour des RCDists$, dont Abir Moussi et a tout fait pour favoriser son fils Hafedh)
En passant par Ghannouchi (cheikh bac moins trois, inculte et profondément malhonnête) et Abir Moussi (comme tout RCDist, une opportuniste primaire, mais elle était admirable dans son combat contre les frérots) et Marzouki le tartour, oueld el harki,
En continuant par Nabil Karoui (monsieur makarouna), Makhlouf (un voyou de première) et Mechichi (un incompétent qui a pactisé depuis le début avec les frérots et les klebs), etc
Plus précisément, la classe politique et les partis politiques sont tels que :
'?' Leur nombre dépasse 100, dont 18 représentés à l'ancienne ARP,
'?' Aucun ne fonctionne, en interne, de façon démocratique
'?' A part 2 partis (poubelles) antagonistes, qui se distinguent un peu des autres et sont en chute libre, les autres sont :
'?' Soit des « zéros-virgule », des satellites, à la botte de '?' , des opportunistes primaires, une pourriture
'?' Soit des « zéros-pointé », leur place est ailleurs
Donc, on s'en fiche de cette classe politique, de cette racaille.
On s'en fiche aussi d'un régime présidentiel. Ou avez-vous vu un vrai pays démocratique avec un régime présidentiel ? A part peut-être le cas particulier de la France.
On ne veut pas, PLUS, de za'im. Arrêtons de tergiverser et de tourner en rond, c'est un cercle vicieux : le serpent qui se mord la queue. On veut un PEUPLE SOUVERAIN, bien représenté.
Pour cela, il faut absolument changer le code électoral :
Le régime en Tunisie est essentiellement parlementaire, avec des prérogatives limitées à la présidence de la république (défense nationale, diplomatie'?'). C'est un régime moderne et il n'est pas mauvais. Mais il est un peu fragile et pas très stable (voir la 4ème république en France). Il a besoin d'ajustements.
Autre constat : il y avait un gros problème au parlement : des partis plus ou moins représentatifs font ce qu'ils veulent'?' Et il devient nécessaire et urgent de limiter le rôle des partis dans le fonctionnement de cette assemblée.
Donc, en définitive : le scrutin législatif actuel (proportionnelle au plus fort reste) est inadapté.
Pour balayer cette racaille et la faire dégager par la petite porte, il suffit d'adopter un scrutin législatif plurinominal, majoritaire, à plusieurs tours.
De plus, ce mode de scrutin garantit, in fine, que les candidats élus soient tous élus par une majorité d'électeurs. Ce qui est un des buts ultimes de toute élection. Et cela permettra de vraiment renouveler la pourriture de l'ARP et la classe politique actuelle.
$ N'oublions pas les caciques (bien connus) du régime Ben Ali qui ont marchandé leur allégeance pour Ennahdha contre une certaine immunité.