Le leader démissionnaire d’Ennahdha, Abdellatif Mekki, a exprimé, dans un post Facebook du 29 novembre 2021, sa vision des préalables d’un dialogue salutaire pour la Tunisie.
Ainsi, il a écrit qu’il n’y aurait ni objectivité, ni sérieux pour un dialogue dans un climat de concentration des pouvoirs, d’éviction des institutions, de suspension de la constitution, de circonscription des libertés et en l’absence de toute autorité régulatrice.
« Le vrai dialogue se tient après le retour de la constitution et des institutions, soit au nom de la fin de la situation exceptionnelle ou de recul du putsch, ce n’est pas problème, chacun peut l’appeler de son point de vue, après cela, l’Histoire révélera ce qui s’est réellement passé », a-t-il écrit.
S.F
c est le passe a jamais revolu..