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Noureddine Tabboubi, S.G. adjoint de l'UGTT, clashe Wided Bouchamaoui
09/11/2015 | 21:33
1 min
Noureddine Tabboubi, S.G. adjoint de l'UGTT, clashe Wided Bouchamaoui

 

Lors du passage de Wided Bouchamaoui, présidente de l’UTICA, ce soir du lundi 9 novembre 2015 à l’émission Ness Nesma avec Borhane Bsaïes, le secrétaire général adjoint de l’UGTT, Noureddine Tabboubi, est intervenu, en direct par téléphone, pour réagir aux propos de la présidente de la Centrale patronale qui avait déclaré que les menaces de grèves ne l’inquiétaient pas outre mesure.

 

M. Tabboubi a annoncé, sur un ton grave, que « la centrale syndicale ne sera pas présente à la réunion de négociations du secteur privé prévue pour mercredi 11 novembre et qu’il assume sa responsabilité pour cette décision ».

 

Noureddine Tabboubi estime que les paroles de Mme Bouchamaoui contenaient une sorte de dédain auquel les travailleurs sauront répondre avec fermeté pour la défense de leurs intérêts. Un boycott qui compliquera les négociations sur les augmentations salariales dans le secteur privé.

 

S.H

09/11/2015 | 21:33
1 min
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Commentaires (14)

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Watcher
| 10-11-2015 20:28
Comment peut-on réclamer des augmentations de salaires aussi importantes quand les entreprises sont au bord de la cessation de paiement ? Comment peut-on demander celà quand exporter devient de plus en plus difficile? Comment peut-on demander celà quand les banques manquent de liquidités pour prêter aux entreprises? Peut importe, l'important est de paraître à la télé, les cheveux noirs, bien teints, mais la moustache blanche (omission), l'allure d'un acteur de cinéma américain est de faire semblant de défendre les faibles, comme dans les westerns. Bravo les cow boys. Dommage il n'ont ni le cheval ni le chapeau pour mener à bien leur chevauchée et sauver ces faibles gens.

TOTO
| 10-11-2015 20:28
La Tunisie ne sortira pas de l'auberge tant que l'UGTT ne se montre pas plus réaliste et plus patriotique . Le chantage est l'atout des bandits

AMEN
| 10-11-2015 11:54
Ce n'est pas étonnant de la présidente de l'utica de ne pas se soucier du devenir des travailleurs dans le secteur privé.Elle représente les patrons et leurs intérêts personnels.Heureusement qu'il y'a ce contre-poids que joue l'ugtt et je la félicite.N'oublions pas le rôle de l'ugtt dans le dialogue national.Nous sommes entrain de diaboliser cette centrale syndicale pour servir les intérêts du patronat alors que plusieurs patrons tunisiens ont fui la Tunisie avec leurs capitaux après le 14 janvier ;je doute fort en leur patriotisme!

Coco
| 10-11-2015 09:10
On va finir par croire que ces gens sont autistes, vivent-ils en Tunisie ou ailleurs? Ont-ils connaissance réelle de la Tunisie? Si la situation du pays est meilleure que ce que prétend le gouvernement qu'ils le disent et qu'ils nous fassent part de sa situation réelle.

3ABROUD
| 10-11-2015 09:07
Après avoir harcelé le secteur public pendant des années, l'UGTT attaque le secteur privé, pour "inciter" les derniers établissements, déjà en difficulté, à la fermeture. Avec l'UTICA de Jilani, l'UGTT était en hibernation ! Elle n'a pas su organiser ce secteur, par manque de volonté et de compétences. Le secteur privé est resté sans normalisation ni affinage au niveau de l'organisation structurale et structurelle. L'enchevêtrement, dans ce secteur, entre le secteur organisé et l'informel laisse perplexe. Le salarié y est tenu à privilégier son "pain" avant de se plier aux appels d'une UGTT aux abois !

S'occupe
| 10-11-2015 09:00
Ces syndicalistes, chacun chante sa Leila. Prière de la coordination et ne pas croire que vous êtes au dessus des autres. Vous etes responsables des principaux maux de l administration y compris l enseignement. Et vous êtes conduire les entreprises à la faillite. L histoire ne vous le pardonnera pas. Pauvres syndicalistes dont le champ de vision n'est pas plus loin que le bout de leur nez.

Tuesday
| 10-11-2015 08:49
Est ce que c'est normal qu'un responsable syndical décide tout seul sur un coup de tète suite à une altercation, de la fermeture d'un dialogue mettant en jeu un intérêt national?
Le bonhomme a même le culot de dire que c'est lui qui a décidé et que cela engage sa responsabilité personnelle: je pense que sa responsabilité personnelle est de se retrouver en prison après sa prise de position.
Incroyable mais vrai! il parle pour lui, il décide tout seul de fermer la porte, on dirait "3amel 3arka fi batha", quel qualité de responsable et quel représentant de la centrale syndicale! ouf, à vous couper le souffle!...pauvre Tunisie, qu'a tu fait de tes enfants!

Sarra
| 10-11-2015 08:47
Au fond l'UGTT nourrissait en secret le rêve de décrocher le prix Nobel à elle toute seule mais voilà que Ouided Bouchammaoui, femme inclassable et à la tête de leur partenaire le plus puissant leur vole la vedette et brille de mille feux aussi bien en Tunisie qu'à l'étranger. Et comme ces gens là n'aiment pas la deuxième place ils vont se donner en spectacle quitte à tout détruire. Déjà Abassi n'a pas hésité à donner le ton alors qu'en le fêtait, pardon qu'en fêtait le Quartet.

TMT
| 10-11-2015 08:24
Vos exigences Mr Teboubi nous conduisent droit vers un cycle inflationniste infernal! Et qui va payer? Ce sont les pauvres chômeurs et les laissés pour comptes en premier lieu et les salariés qui tout compte fait vont se rendre compte que l' augmentation a été épongée par la hausse des prix etc etc
Le problème chez nous c'est qu'on réalise toujours pas que le pays s'appauvrit et on se comporte comme si on est en forte expansion
Vous allez peut être me dire que c'est le problème du gouvernement...
Et rebelote!

byrsa
| 10-11-2015 06:58
Le syndicat est dans un déni de la réalité. Les pme tunisennes sont à l agonie. La moindre augmentation portera un coup fatal.
Le gouvernement est responsable de ce blocage, car il a accepté des augmentations excessives dans le public. Ce qui a créé un déséquilibre.