Le président de Machrouû Tounes, Mohsen Marzouk a été l'invité de Khouloud Mabrouk, ce vendredi 24 janvier 2020, sur les ondes de IFM.
Lors de son passage à l'émission « Dkika 90 », réalisée en partenariat avec Business News et Leaders, M. Marzouk est revenu sur l'exclusion du chef du gouvernement désigné, Elyes Fakhfakh de Qalb Tounes et du Parti destourien libre (PDL) des concertations autour de la constitution du gouvernement.
En effet, le président de Machrouû Tounes a jugé qu'il était préférable que M. Fakhfakh n'écarte aucun parti politique de ces négociations et qu'il établisse un dialogue avec toutes les parties prenantes.
Dans ce sens, Mohsen Marzouk a relevé que l'exclusion des deux partis susnommés n'était pas l'idée d'Elyes Fakhfakh mais plutôt celle du chef de l'Etat, Kaïs Saïed et des partis qui l'entourent et qui prônent un gouvernement révolutionnaire.
Une orientation critiquée par M. Marzouk dans le sens où les désignations effectuées par M. Saïed à l'instar des conseillers n'avaient rien de révolutionnaire assurant que les véritables révolutionnaires étaient ceux capables de concrétiser les grandes réformes économiques.
Une exclusion qui serait commanditée par M. Saïed en contrepartie de sa désignation d'Elyes Fakhfakh, proposé uniquement par Tahya Tounes et Attayar, à la tête du gouvernement.
« Le projet réformateur de M. Fakhfakh ne correspond guère à ses alliances. Au niveau des programmes et de la vision, Elyes Fakhfakh est proche de Qalb Tounes notamment en rapport avec les réformes. Cela signifie que l'idée d'écarter ce parti émane du président de la République et j'appelle M. Fakhfakh à se libérer de ces directives », précise M. Marzouk.
Rappelons qu'Elyes Fakhfakh avait annoncé, lors d'une conférence de presse tenue aujourd'hui, que Qalb Tounes et le PDL seront écartés des concertations autour de la formation du gouvernement.
Il a, par ailleurs, assuré que les résultats de l'élection présidentielle ont démontré que les deux partis en question adoptaient des programmes qui ne sont pas en concordance avec les priorités des Tunisiens soulignant qu'il puise sa légitimité du président de la République bien qu'il n'ait pas obtenu la confiance des électeurs au premier tour de la présidentielle avec 0,34% des votes.
Interrogé sur un éventuel différend avec le secrétaire général de Machrouû Tounes, Hassouna Nasfi, Mohsen Marzouk a nié avoir un conflit personnel avec M. Nasfi relevant qu'il existe des différends au sein du parti ayant incité M. Nasfi à se retirer du secrétariat général de Machrouû Tounes.
D’autre part, Mohsen Marzouk s’est engagé à n’établir aucun accord à l’avenir avec Tahya Tounes précisant qu’il a été dupé par le chef du gouvernement sortant et président du parti, Youssef Chahed ainsi que de son secrétaire général, Selim Azzabi.
Une tromperie en rapport avec le soutien du bloc parlementaire Al Horra au gouvernement de Chahed conformément à un engagement préalable de constituer un grand parti politique, qui ne s’est pas concrétisé par la suite.
B.L
Il ne change pas de discours ni stratégie mais il veut un résultat différent.
Et s'il a perdu c'est la faute aux autres ...
Bref, c'est un futur Najib chebbi (post révolution).
Je ne comprends pas les idiots qui défendent kalb tounes, le parti de corrompus qui a mis Ghannouchi a la tête du parlement.
Je ne comprends pas non plus ceux qui imaginent un front commun qui réuni abbou moussi et maghzaoui.
Mais continuez de prendre les conseils d'un looser comme marzouk
1- l'emploi des jeunes
2- les projets d'infrastructure dans les zones de développement régional
3- la santé et la disponibilité des médicaments
4- la suppression de la pauvreté
5- le renforcement du développement des régions de l'arrière du pays
6- l'industrie et ses mécanismes d'appui
7- la politique des prix et le bien être des tunisiens
8- la souplesse de la fiscalité
9- la généralisation des TIC dans l'administration pour plus de transparence et combattre la corruption.
Qal tounes a été écarté de la consultation pour la formation du gouvernement pour des raison de corruption d'après Fakhfakh, ce dernier a omis d'écarter aussi Ennahdha et Tahya tounes pour les mêmes raisons. Ennahdha a appauvri les tunisiens, voler son argent, elle a investi dans le terrorisme par le recrutement de jeunes dan les zones de conflits et dans l'assassinat des responsables politiques, cette secte n'a pas été écartée. Y a-t-il quelqu'un qui pourra m'expliquer ? Le nettoyage doit être général si on veut avancer dans le bon sens. Où sont-ils les hommes honnêtes, sincères qui ne se mouillent pas dans des partis haineux qui n'aiment pas la Tunisie ? Le PDL est le seul parti clean qui reste et qui défend la patrie, il ne veut pas s'aligner aux islamistes qui ont trahi le pays en rencontrant Erdogan car il n'accepte pas d'être entraîné dans la corruption et dans le terrorisme.
Et dès sa première question, "son journalisme impartial" est tellement éblouissant et aveuglant qu'il n'a pas manqué de vous aveugler au point de vous faire dire n'importe quoi !
Croyez-moi, mon bon monsieur, n'écoutez pas trop NB car vous risquez sinon, non plus "un aveuglement". . . mais une vraie cécité !
Maxula.
C'est incroyable, mais c'est vrai.
Du cran. Faites front commun .
Sinon, vous disparaitrez définitivement cette fois.
Or ici il ne s'agit nullement de cela
Ici , Il s'agit de la formation d un gouvernement et donc le principe d'une démocratie est qu il y a une majorité et une opposition.
Aujourdhui Tahya tounes, Attayar, Ennahda et peut-être Alkarama estiment que leurs projets contiennent assez de points communs pour prétendre former un gouvernement viable capable d'obtenir la confiance du parlement sans pour autant recourir à Qalb Tounes avec qui ils estiment ne pas partager grand-chose alors même que des suspicions de frauder et de corruption pèsent sur certains de ses dirigeants et que la lutte contre la corruption est l une des grandes exigences des tunisiens.
Et ces partis sont dans leur droit.
Pourquoi Qualb tounes veut a tout prix participer au gouvernement de Fakhfakh ?
Est ce la peur de certains de ses dirigeants d'être sans couverture si des actions judiciaires seront lancées contre eux?
Donc parler d'exclusion est un pure mensonge, dans une démocratie si on n edt pas au gouvernement on est dans l l'opposition sans pour autant être exclus. C'est la règle.
Les dirigeants de Qualb Qualb tounes n'ont aucun respect pour la démocratie , ces opportunistes veulent que coute que coûte avoir un pieds au moins au pouvoir pour des intérêts personnels et le pays et les tunisiens est le dernier de leur souci.
Si non ils auraient accepter avec joie leur place au sein de l'opposition. C'est la démocratie. Eh oui.. .
A chacun sa mission et son rôle pour tenter de déstabiliser un climat politique déjà pourri.
Marzouk attaque de front le président de la république.
Moussi emmerde le président de l'assemblée.
Et tous les moyens et techniques sont bon à mettre en en-avant : intimidation, menaces plaintes, humeurs et mépris, critiques,...
Tous ces ingrédients sont nécessaires et utiles pour faire avancer la cause, leur cause, celle de faire échouer notre processus démocratique.
Et, tant que l'argent des commanditaires coule à flot tout espoir est permis.
Mais le plus grand bémol et pas du moindre, ils oublient le facteur déterminant de leur base besogne, LA POPULACE.
La populace, ce fabuleux trésor tant exploité par l'ancien régime, celui de la dictature.
Cette populace qui a fini par s'affranchir miraculeusement d'un despotisme primaire un certain 14 Javier 2011.
Heureusement, que maintenant nous avons un renard, un animal politique qui a le dont de flairer les combines et les coups bas en temps opportun.
Et, le moment fatidique arrivera coûte que coûte pour opérer cette purge tant attendue pour nous débarrasser de ces racailles et de ces melasses d'antan.
Certes, le temps de la guillotine est révolu mais celui des urnes est toujours vivace.
Ah, j'ai oublié...
Le rôle et la la sale besogne qu'occupent désormais les compères du jour l'ont hérité gratuitement dun certain H. H. car le front populaire a fini par jeter les armes.
Dur, dur, la politique quand elle nous torture.
N'oublions pas que c'est ce parti qui a manigancé avec Ennahdha la veille même, dans le dos des autres partis progressistes et modernistes, l'élection de Ghannouchi à la Présidence de l'ARP. Pourtant, son président avait été prévenu de ne pas s'approcher d'Ennahdha qui ne peut que porter malheur. Il n'a pas pris au sérieux ce qui était arrivé à d'autres partis avant lui. Il s'est fourré « le doigt dans l'?il ». La route est encore longue devant lui et doit apprendre des choses.
De plus, le parti Kalb Tunes est réputé parti mafieux, de la corruption et du blanchiment d'argent.
A chacun son tour !
C'est admirable de voir qu'il ne prend jamais parti en posant ses questions affirmatives et accusatrices.
Nous pouvons compter sur cette nouvelle élite journalistique.
Yassine Torjmane
