
L’UGTT a exprimé sa surprise quant aux propos du chef du gouvernement lors d’une émission télévisée. La centrale syndicale a démenti, en effet, les déclarations de Habib Essid sur un accord entre le gouvernement et l’UGTT pour que les augmentations salariales et les promotions soient limitées au secteur de l’enseignement secondaires et que les autres secteurs en soient exclus.
« Ces déclarations attisent la tension sociale et ternissent la réputation du dialogue social qui a été instauré en Tunisie » peut-on lire dans un communiqué en date d’aujourd’hui, 20 juin 2015.
« Nous avons attiré l’attention du chef du gouvernement, dès le début, sur le fait que les professeurs du secondaire et leurs homologues dans les écoles primaires ainsi que dans d’autres secteurs en sont également concernés de part leurs fonctions », a précisé l’UGTT.
L’organisation ouvrière a, par ailleurs, considéré que les propos de Habib Essid, qualifiant ceux qui poussent à la grève de terroristes, sont « dangereux » et portent atteinte aussi bien aux employés qu’à l’action syndicale.
Au sujet des retraits sur les salaires des grévistes, l’UGTT considère que c’est une décision « unilatérale » à caractère « politique » et « punitif ». Comme elle enfreint également un accord déjà préétabli entre le gouvernement et l’organisation syndicale.
E.Z.

LE CHEF DU GOUVERNEMENT NE DOIT PAS CEDER LORS DE LA REUNION PREVUE AUJOURD'HUI AVEC ABASSI ET DOIT ETRE FERME SURTOUT QUE L'OPINION PUBLIQUE EST EN FAVEUR DE LA FERMETE FACE AUX MANOEUVRES DE CETTE UGTT
C'est une race d'individus des plus bêtes qu'on en voit plus partout ailleurs. Ils n'ont aucun sens de responsabilité ni du patriotisme parce qu'ils n'ont pas de jugeote pour saisir la portée de telles valeurs.
Le peuple tunisien à bien compris leurs magouilles à travers la prise d'otage de ses enfants par les enseignants ces derniers temps.
Ils sont rentrés dans les rangs des bandits que la révolution a enfanté et qu'il va falloir combattre pour sauver le pays de la faillite.
alors hatem faut changer d,attitude ok....
Si les syndicats ne prennent plus en compte la préservation de ces équilibres socio-économiques, c'est mettre le pays à plat et généraliser la misère en toute tranquillité de conscience.

