
Le chef du gouvernement, Hichem Mechichi, a provoqué un tollé sur les réseaux sociaux en établissant un lien direct entre l’émigration clandestine et le terrorisme, lors d’une interview donnée dans la soirée du mardi 15 décembre 2020, sur France 24.
Alors que le chef de son cabinet a assuré que le dossier de l’émigration clandestine doit être traité selon une nouvelle approche qui va au-delà du coté sécuritaire de manière à éviter de nouvelles tragédies, le chef du gouvernement vient affirmer que « qui dit immigration clandestine dit terrorisme ».
Notons que la question de l’expulsion de France des ressortissants en situation irrégulière a pris une tournure particulière après les dernières attaques terroristes perpétrées sur son sol, notamment celui de Nice fin octobre commis par un Tunisien, sans papiers, fraîchement arrivé en Europe.
La France persiste alors à renvoyer dans leurs pays d’origine les ressortissants sans papier notamment ceux suivis pour soupçons de radicalisation. Elle va jusqu’à avoir recours à la réduction du nombre de visas aux pays concernés.
Plusieurs internautes tunisiens ont déploré les déclarations « précipitées » et « non-étudiées » tenues par le chef du gouvernement, qui se doit de servir l’intérêt de la communauté tunisienne à l’étranger, en situation difficile déjà !
I.M.

aller quémander quelques euros ou prier pour des investissements de pacotille n'est pas la meilleure démarche à entreprendre vis à vis d'un pays qui ne voit pas d'un bon '?il une hypothétique réussite de notre balbutiante démocratie.il faut dire qu'il a beaucoup à perdre de sa mainmise séculaire sur notre pays.
BRULER (2)
Ecrit par A4 - Tunis, le 30 Octobre 2017
Ils s'en vont, ils s'enfuient, emportés par la houle
Emportés par les vagues, par les bateaux qui coulent
Ils s'en vont ça et là, emportés par les vents
Emportés bien au loin, vers des rêves mouvants
Et ils s'en vont ...
Ils s'en vont malgré tout, vers l'horizon qui glisse
Vers des terres inconnues sans index ou indice
Ils s'en vont malgré vous, vos prières hypocrites
Vos discours idiots et vos promesses sans suite
Et ils s'en vont ...
Ils s'en vont voir ailleurs, sous des cieux même noirs
Pour vous fuir, vos échecs, vos revers et déboires
Ils s'en vont les mains vides, n'emportant aucune miette
Vous laissant tout bouffer, affamés comme vous êtes
Et ils s'en vont ...
Ils s'en vont sans regret, sans même se retourner
En vous laissant le désert pour y gouverner
Ils s'en vont dégoûtés, ils en ont bien assez
De tous ces bons à rien, de tous ces bras cassés
Et ils s'en vont ...
Ils s'en vont obligés, tenter d'autres portes
Les votres sont fermées, leurs lettres sont mortes
Ils s'en vont et vous laissent dans un décor sordide
Obsédés comme vous êtes des rondeurs de vos bides
Et ils s'en vont ...
Ils s'en vont plein la tête d'images que rien n'efface
De votre bassesse et votre instinct de rapace
C'est bien à cause de vous qu'ils délaissent leurs amis
Qu'ils oublient leurs familles et haïssent leur pays
Et ils s'en vont !!!
Bien sur que j'attends 3arftou Abir Moussi (que je rappelle de très loin première dans les sondages en Tunisie, jamais cela n'a été le cas, même les khwenjias n'avaient pas ce score en octobre 2011) devienne notre Cheffe du gouvernement et trigel bladna.
Bien sur que je n'attends RIEN de lui...Mais...C'est une HONTE l'immigration clandestine, une HONTE pour nous tunisiens ici en Tunisie et tunisiens dans le monde.
Ce sont essenstiellement des réseaux islamistes de contrebandes qui font ça, on le sait.
De plus, ces "jeunes" ne sont ni dans un pays en guerre, comme en Afrique et pour la majorité avaient des perspectives et pouvaient travailler ou ouvrir un petit commerce avec l'argent de la clandestinité.
Un exemple : dans mon quartier, un type que je connais "7rag" : ce type avait un travail, un salaire et une maison familiale ; son patron est CHOQUE qu'il puisse "ya7rag", car il m'a dit "je le payait bien". VOILA la réalité les ami(e)s.
Même les voleurs ?
Même les violeurs ?
Même les criminels ?
Même les clandestins ?
Même les islamistes ?
Même les jilani ?