
Après les hommes politiques et les médias, c’est au tour de la Banque centrale de Tunisie de tirer la sonnette d’alarme sur la situation économique désastreuse et les lendemains catastrophiques qui nous attendent. Les fans de Kaïs Saïed peuvent continuer à jouer à l’autruche, à donner un chèque en blanc au président, à dénigrer et injurier les médias et les opposants, les chiffres sont têtus et « leur » président n’a aucune baguette magique pour les embellir.
Le communiqué de la Banque centrale du mercredi 6 octobre 2021 est, de loin, le plus alarmant de ces dix dernières années. Jamais, la Tunisie n’a atteint ce seuil d’alerte et, jamais, elle n’a eu si peu de visibilité sur l’avenir.
Sur le plan économique, on pensait avoir atteint le fond sous la troïka. Il s’avère que c’est pire sous Kaïs Saïed.
Comme il est rébarbatif et probablement inaccessible au « peuple » de Kaïs Saïed, essayons de traduire ce communiqué en langage simple.
La Banque centrale fait part de sa préoccupation concernant le tarissement aigu des ressources financières extérieures. Cela veut dire que la Tunisie n’exporte plus suffisamment pour avoir des devises et n’a plus où emprunter de l’argent.
Détérioration de la notation souveraine du pays : la Tunisie est devenue un pays à risque, c'est-à-dire un pays qui risque de ne pas pouvoir payer ses crédits. Du coup, plus personne ne veut lui prêter d’argent et ceux qui acceptent ce risque de le lui prêter vont devoir imposer des taux d’intérêts usuriers.
Éviter le financement monétaire : il ne faut pas utiliser la planche à billets, c'est-à-dire qu’il ne faut pas imprimer de l’argent. Le risque est de voir une inflation galopante, c'est-à-dire une augmentation vertigineuse des prix. C'est-à-dire que l’on pourra voir le carburant vendu à sept dinars le litre, le lait à cinq dinars le litre et le plateau d’œufs à plus de dix dinars. Le président qui attaquait les dépôts de pommes de terre, soi-disant pour empêcher la spéculation, ne pourra plus rien quand celles-ci se vendront à cinq ou six dinars le kilo.
Les réserves en devises et la gestion du taux de change du dinar : la Banque centrale ne pourra plus garder le taux du dinar à son niveau actuel. Cela veut dire que l’euro pourrait valoir, dans peu de temps, six ou sept dinars. C'est-à-dire que toutes les matières premières que nous importons verront leur prix doubler, ce qui impactera systématiquement les prix des produits, y compris ceux fabriqués en Tunisie. La tablette de chocolat se vendra à six dinars, tout comme la boite d’Efferalgan ou de Panadol. Quant aux véhicules, la voiture populaire vaudra au moins soixante mille dinars.
Dégradation des finances publiques qui pâtissent de leur situation vulnérable, ainsi que la hausse des cours internationaux du pétrole : l’État tunisien risque de ne plus pouvoir payer ses dettes. Ses dépenses ont grimpé et ses recettes ont chuté. Quand il a calculé son budget, il a tablé sur un prix du baril autour de 45 dollars. Aujourd’hui, le baril vaut quelque 80 dollars.
Concrètement, quel impact aura cela sur l’Etat ? Il est obligé de réduire ses dépenses et toutes les hypothèses sont bonnes à étudier. Exemple, réduire les salaires des fonctionnaires de 25-30%, augmenter les impôts des privés, couper l’électricité un certain nombre d’heures par jour, rationner la consommation de carburant, interdire l’importation de certains produits non essentiels (cosmétiques, alimentaires, culturels, de loisirs…)
Effets négatifs de l’accroissement de l’endettement du secteur public auprès du système bancaire sur sa capacité à financer les opérateurs économiques : N’ayant pas trouvé des financements extérieurs pour financer son budget, l’Etat s’est tourné depuis un certain temps vers les banques tunisiennes pour boucler ses comptes. Le problème est que les capacités des banques sont limitées et elles ne vont plus pouvoir prêter de l’argent aux entreprises puisque cet argent est allé à l’État. C’est l’effet d’éviction. Concrètement, si les entreprises ne trouvent plus d’argent à emprunter auprès des banques, elles ne peuvent plus créer de la valeur ajoutée, elles ne peuvent plus employer du personnel, elles ne peuvent plus payer d’impôts. Cela va du petit taxi qui fait appel au leasing pour financer son véhicule aux grandes entreprises qui financent leurs investissements tout en passant par les milliers de PME qui représentent l’essentiel du tissu économique tunisien. Du coup, il n’y a plus de croissance et le chômage grimpera en pleine période d’inflation.
Le Conseil a souligné la nécessité d’accélérer la transmission des signaux clairs aux investisseurs locaux et étrangers quant au rétablissement du rythme de l’activité économique et des équilibres globaux et financiers, la consolidation de la gouvernance du secteur public, l’amélioration du climat des affaires et l’intensification des efforts d’investissement.
En termes simples, il faut un gouvernement, une feuille de route et un plan d’action pour savoir où l’on va et comment on y va. Combien on va dépenser et d’où ramener l’argent pour assurer ces dépenses. Donner des signaux clairs, apaisants et rassurants aux entreprises.
Par son communiqué du mercredi 6 octobre, la Banque centrale de Tunisie a fait ce qu’elle avait à faire. Elle a prévenu le pouvoir et le peuple de la situation fort inquiétante. C’est un véritable signal d’alarme qu’elle a tiré hier.
Certains médias, notamment Business News, Mosaïque et Express FM, crient au loup depuis des semaines et se trouvent injuriés et menacés par les fans de Kaïs Saïed. Idem pour quelques hommes politiques. Tous sont accusés de mettre les bâtons dans les roues du président, de l’empêcher de travailler et d’être à la solde des islamistes.
Pourront-ils dire de même de la Banque centrale, elle dont le communiqué est des plus techniques et des plus cartésiens ?
Kaïs Saïed pourra continuer à regarder à travers la fenêtre, réciter des poèmes et voir 1,8 million de fans lui manifester leur soutien, sa cheffe du gouvernement peut continuer à lui dire « ma chaa allah », ses fans pourront continuer à applaudir, les chiffres sont là et la grande catastrophe est à nos portes. Ils ne pourront pas dire qu’ils ne savaient pas, ils ne pourront pas dire qu’ils n’ont pas compris le contenu et la portée du communiqué de la Banque centrale.
Descendez encore ce week-end pour manifester dans toute la Tunisie pour montrer votre solidarité à Kaïs Saïed. Contre les américains et le reste
Leçon pour fêter à sa manière le septième 7 Novembre non célébré (excusez du peu, je parle de Moi à la troisième personne).
https://www.tunisie-secret.com/Le-septieme-7-Novembre-non-celebre_a1743.html
Bonne Lecture au Peuple de la trahison collective.
Léon, Min Joundi Tounis Al Awfiya;
Résistant.
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.
L'Allemagne à les moyens de racheter donc de sauver une banque EN FAILLITE !!!
Alors que là, c'est la Tunisie qui est au bord de la faillite !!
'?a n'est pas les banques tunisiennes qui sont en faillite !!!
Comparer l'industrie allemande et la tambouille tunisienne, n'a AUCUN sens !!!
L'Allemagne produit ,et elle a une monnaie convertible !!
Maintenant si le matheux pense pouvoir acheter son matériel agricole avec sa monnaie de singe !!!
Bon courage !!!
Il y'a tellement d'énormités chez les fanatiques du facho ,que ça en devient décourageant !!!
Deuxièmement, il faut comprendre qu'à une quantité donnée de marchandises et de services corresponde une masse monétaire donnée d'où un prix donné.
Si la BCT pratique pratique la planche à billets c'est à dire se met à fabriquer de la monnaie sans que la quantité de marchandises et services augmente dans les mêmes proportions, cela engendre une masse monétaire plus importante donc une hausse des prix.
C'est arithmétique. On n'a pas besoin d'un modèle mathématique pour comprendre cela.
L'article de BN explique bien de façon simple les conséquences d'une telle pratique.
Et dire que Hedi Nouira a fabriqué de la monnaie sans contre partie et l'a retirée ensuite sans les conséquences décrites dans l'article ( sauf pour le dinars où la Tunisie en fixait le taux injustement pour les détenteurs de devises, ce qui n'est plus le cas aujourd'hui) est une simple masturbation de l'esprit .
A quoi nous attendions-nous lorsque nous avons laissé les entreprises qui, habituellement contribuaient au budget national, devenir des demandeurs d'assistance.
Je ne parle pas du spectacle du bonhomme qui contrôlait, en toute liberyé, la vanne du pipeline
Quelle action corrective a été prise lorsqu'une étude a conclu que la moyenne du temps consacré au travail était de huit minute !
Quel bel héritage nous allons laisser à nos enfants !!!
Cette mentalité d assistés des tunisiens doit absolument cesser, il faut aussi faire des économies telles les voitures de fonction qui coûtent cher al état et qu il faut supprimer, faire des économies d énergie et éviter les gaspillages en tous genres.
S il y a des salaires à réduire, il faut le faire mais pas chez tous. rappelez vous les salaires des PDG des banques ! Ils sont passés brusquement du temps de caied essebsi de 5000 d par mois à 20000 d. Voilà où il faut agir, sans compter la bureaucratie et sa lourdeur qui fait fuir les investisseurs. Un sacré boulot nous attend.
j'ai dit plutôt une injection conditionnelle d'argent dans l'économie tunisienne, dans des projets à 100% gagnant (où la réussite / Succès est prévisible) afin de le retirer après la réussite.
je n'ai jamais dit qu'il faudrait imprimer de l'argent afin de payer les salaires....
je suis de votre avis ". Sans création de valeurs et d'investissements on ne peut pas faire fonctionner la planche à billets" --> par contre nous sommes aujourd'hui en une situation de deadlock:
a) on ne peut pas créer de valeurs et investir car il y a trop peu d'argent en circulation (l'argent n'a de valeur que si elle circule sans fin en boucle/loop, et ce n'est pas le cas en Tunisie).
b) on ne peut pas mettre encore plus d'argent en circulation car il n'y a pas de création de valeurs et d investissements
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La question qui se pose est évidente, comment sortir de ce deadlock sans endettement extérieur?
Je reviens à l'exemple des patates à 3euros les 10Kg (qui valent 15 minutes au maximum de travail aux allemands) --> oui, notre premier but est de garantir l'autosuffisance alimentaire de la Tunisie et ceci même au prix d'imprimer de l'argent afin d'éviter l'endettement. Le jour où le Tunisien pourrait acheter 10Kg de pommes de terre avec le gain de 15miniutes de travail, on pourrait dire que la Tunisie va vraiment extrêmement bien...
Très Cordialement
Jamel Tazarki
PS: je m'excuse pour les fautes d'inattention, je n'avais que 10 minutes de temps...
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Il est temps que notre BCT et son gouverneur se débarrassent de cette idée absurde qu'une injection d'argent induit automatiquement une inflation --> c'est une fausse idée, si nous faisons une injection conditionnelle d'argent dans l'économie tunisienne..
Je suis désolé de le dire, mais celui qui a écrit l'Article ci-dessus vit encore avec le savoir des années 60 de l'ancien millénaire... Il y a un changement de paradigme et la Tunisie est victime de ses soi-disant profs. d'économie qui refont depuis des décennies les mêmes cours dépassés par le temps....
Le génie de Mr. Hédi Nouira
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Oui Mr. Hédi Nouira a laissé imprimer de l'Argent par notre BCT afin d'accorder des crédits agricoles et permettre ainsi à nos agriculteurs et paysans de produire et nourrir les Tunisiens --> et au retour (remboursement) des crédits, il a retiré cet argent de la circulation. Je suis fils de paysan, j'étais enfant du temps de Mr. Hédi Nouira mais je peux me rappeler que mon père allait à la banque agricole à Korba afin d'avoir un crédit agricole que l'on remboursait après la récolte...
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oui, imprimer de l'Argent afin que nos agriculteurs / paysans puissent acheter les engrais, la semence et le matériel agricole et pourvoir ainsi cultiver la terre et nourrir les Tunisiens'?'
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Mr. Hédi Nouira n'a pas injecté de l'argent afin de fabriquer des voitures, des satellites et des drones à la con comme l'a fait Ennahdha (qui a attrapé la folie des grandeurs en gaspillant nos crédits)
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il faut imprimer de l'argent et l'injecter dans des projets à 100% gagnant (où la réussite / Succès est prévisible) afin de le retirer après la réussite.
Il est temps que notre BCT et son gouverneur se débarrassent de cette idée absurde qu'une injection d'argent induit automatiquement une inflation --> c'est une fausse idée, si nous faisons une injection conditionnelle d'argent dans l'économie tunisienne... --> la preuve est que l'Allemagne a injecté des centaines de milliards d'euros en l'économie Allemande alors que l'inflation est actuellement à zéro en Allemagne --> il faut seulement faire un suivi des dépenses (afin de récupérer cet argent après la crise/pandémie) et n'injecter l'argent du contribuable que dans des entreprises qui ne sont pas déjà en ruine --> Exemple: c'est complètement absurde d'injecter 80 millions de dinars en Syphax Airlines (à la suite d'une pseudo-décision juridique) alors que l'entreprise de Mr. Mohamed Frikha est / était déjà en ruine .
--> oui à une injection d'argent intelligente en l'économie tunisienne, oui à la baisse intelligente du taux d'intérêt directeur --> mais il faut d'abord a)clarifier où sont passés les 33 milliards d'euros d'aide et de dettes extérieures b)savoir où va et où se trouvera l'argent qui serait de nouveau injecté afin de le retirer au bon moment, et c) ne plus injecter de l'argent public en des sociétés déjà en ruine
-->
il faut se débarrasser d'un savoir socio-économique dépassé par le temps et qui ne s'applique pas à nos problèmes actuels --> il y a un changement de paradigme, réveillons nous avant qu'il ne serait trop tard.
C'est triste que tout le monde nous parle des problèmes de trésorerie de notre oligarchie entrepreneuse, mais personne en pense à nos paysan qui n'ont plus les moyens afin de cultiver la terre pour nourrir les Tunisiens
Dr. Jamel Tazarki, Mathématicien
- il faut impérativement réduire la consommation des carburants et ce par plusieurs mesures draconiennes.
- trouver des solutions pour remettre le transport public (à Tunis la surpeuplée) , en activité par plusieurs initiatives.
- repenser aux travaux du bénévolat pour les retraités et les assiciations ; le Canada et la Chine sont des exemples à prendre en considération.
'/.
je vous prie de lire mes commentaires sur les liens suivants:
a) Oui tout est possible
https://www.businessnews.com.tn/pourquoi-kais-saied-ne-verra-jamais-les-13500-milliards-dont-il-parle,519,110653,3
b) Plusieurs commentaires sous forme de propositions:
https://www.businessnews.com.tn/68-des-tunisiens-pensent-que-la-nomination-de-najla-bouden-est--une-bonne-ose,520,112649,3
c) Ne pas refaire les mêmes fautes de notre ex-troïka:
La plus grande faute du gouvernement de Mr. Essid est d'avoir injecté directement/indirectement autour de 10 milliards d'euros dans un système bancaire oligarque et en faillite. Il s'attendait qu'en injectant de l'argent dans notre système bancaire, cet argent allait circuler et créer de la richesse pour la Tunisie et tous les Tunisien et aboutir ainsi à une croissance économique de 4% à 7%", mais à sa grande surprise notre système bancaire était/est une jarre sans fond et l'argent injecté n'a jamais circulé. Certains de nos hommes d'affaires et de nos banquiers nous parlaient plutôt de la conquête économique de l'Afrique Subsaharienne et de l'exportation de nos capitaux!
Depuis 2011 les entreprises privées / oligarques tunisiennes exigent et obtiennent des baisses d'impôts et des dépenses publiques et privent ainsi l'Etat tunisien des moyens financiers de jouer son rôle d'entrepreneur dans des secteurs économiques indispensables pour la Tunisie où personne n'ose investir (infrastructure et logistique, etc.), elles assèchent ainsi les moyens de la source d'investissement de l'etat sans pour autant apporter de remèdes à notre économie. Notre ex-Premier Ministre, Mr. Essid, a fait baissé le taux directeur de 5% à 3.5% afin de motiver nos entrepreneurs d'investir, mais rien de cela! ===> Même un taux directeur négatif (ce qui est du non-sens, mais à limite faisable) ne pourrait pas motiver nos hommes d'affaires affairiste à investir.
On ne recapitalise pas des banques qui appartiennent en grande partie à l'oligarchie et à la bourgeoisie avec l'épargne de la masse pauvre sans les avoir nationalisées à 100% auparavant et ceci à zéro dinars/euros. L'Allemagne a eu le courage de nationaliser entièrement et à zéro euro l'une de ses plus grandes banques avant d'y injecter de l'argent, la Hypo Real Estate. Alors que notre ex-gouvernement de Mr. Essid (ex-troïka) a injecté inconditionnellement des milliards de dinars dans le système bancaire tunisien en grande partie oligarque. ==> La nationalisation à zéro dinars/euros et entière des banques tunisiennes en faillites aurait dû être faite déjà en 2011. Toute autre solution (sans la nationalisation à 100% et à zéro dinars/euros ou la fermeture) coûte plus chère aux Tunisiens! Voir le lien: http://www.businessnews.com.tn/oxford-business-group-presente-le-programme-de-reforme-du-systeme-bancaire-tunisien,520,66109,3
Bonne soirée
Très Cordialement
Dr. Jamel Tazarki, Mathématicien
Mais seulement ces destructeurs n'ont jamais été déféré devant la justice, et que leurs banditismes n'ont jamais été annihilés.
Reste à savoir pourquoi la poignée des menbres arnaqueurs qui dépendent de nahdha n'ont jamais été questionnés ni même invités à remettre les milliers de milliards escroqués à l'état tunisien.
Une question posée depuis 2012-2013 sur ce réseau social par plusieurs internautes, mais restée sans suite ni réponse.
Pourtant tout le monde sait que le président de la République est courant de tours les arnaques et même des assassinats commis par banditisme pareillement.
Et si la situation des caisses de la Banque Centrale sont déploçrables, la, faute incombe-t-elle a crédible à présent. Tous les autres qui maintenu leur mainmise sur notre sort grâce au Chocotom et au macaroni, on en a marre, marre, bon Dieu!
Et si la situation financière de la Banque Centrale est ce qu'elle est, la faute incombe-t-elle au Président kaïs Saied!, Soyons plus équilibrés dans nos attitudes quand même...! Le présent Président en est arrivé là (25 juillet et suite) juste à cause des déficits de cette Banque Centrale et des malversations de ceux qui avaient un lien direct ou de loin avec les finances publiques et
les institutions économiques de l'Etat tunisien...
Businessnews ne peut prétendre être un exemple type de l'objectivité et l'impartiualité. Excusez ma franchise. Je n'entends pas causer vexations, mais c'est simplement mon point de vue. Humblement vôtre!
Il est compréhensible qu'une fois le coup d'état réalisé et les islamistes chassés du pouvoir, pourquoi donner de l'argent aux putschistes (maintenant ils peuvent se moquer de nous !)?
Sobhènè Rabbi !
Le mur on se l'est deja pris plein la gueule on est tombe dans le faussé et on se dirigais deja dans les meandres d'un trou noir.
Apparement la situation dand laquelle on etait etait convenable pour vous.
Vous pouvez critiquer Saied pour sa vommunication par exemple mais vous etes juste de mauvaise fois.
Donc demandez à ces charlatans les racines de ce désastre et de rembourser tous les fonds détournés à tous ces traîtres au financement occulte qui ont détruit le pays avant de demander au président qui vient de siffler la fin de cette récréation ou plutôt de ce désastre et aveuglement qui ont détruit notre pays !!!
C'est la mauvaise gouvernance qui est le mal .
'?a commence par le choix des personnes ( compétences , expertise, expérience'?')
Saïd est la preuve du mauvais management
68 pour-cent des tunisiens pensent que la nomination de Najla Bouden est une bonne chose
@Madame Bouden, tenez bon. En effet, les faits cités par notre banque centrale sont un défi banal que l'on pourrait très facilement maîtrisé...
Vous aurez ma réponse ce soir, j'ai des obligations professionnelles durant la journée...
Dr. Jamel Tazarki, Mathématicien
PS: Je pourrais faire sortir la Tunisie de l'impasse socio-économique en moins de 6 mois, et je sais de quoi je parle. Au diable avec les paniques à la con de certains bornés qui partent de leur propre idiotie et incapacité afin de dramatiser notre situation
en particulier l'inculture economique qu'ils ont qualifie d'analphabetisme economique
Les consequences de cette debilite et immaturite collectives sont perceptibles a tous aujourd'hui
Et l'equipe Saed / Bouden n'y pourront pas grand chose car la degradation des fondamentaux de l'economie tunisienne date depuis plus de 30 annees consecutives
Pour celles et ceux qui veulent approfondir le sujet ; ce rapport presente la situation heritee de 20 ans de benalisme
https://www.ritimo.org/IMG/pdf/EuroMed-Rapport_Tunisie.pdf
Pour comprendre ou on en est ajoutez y 10 ans de banditisme islamiste
https://www.tresor.economie.gouv.fr/Pays/TN/indicateurs-et-conjoncture
Cette situation est la conséquence désastreuse de ces vingt dernières années. Je ne suis pas un partisan de Kaïs Saïd mais ce constat ne peut être imputé au président On ne coule pas un pays en deux mois. Par contre quand on voit le pays comment il a été géré les dix dernières années de Ben Ali et celles d'après la révolution , on récolte ce qu'on a semé.
Mon constat c'est qu'il n'y a plus d'Homme d'état.
Un homme d'état travaille pour la prochaine génération , un homme politique travaille pour les prochaines élections. Vive la Tunisie
Mais ce n'est, et ne sera jamais un programme politique et économique.
Plus la pauvreté avancera, plus vos ennemis crachés auront la possibilité de reprendre ce pouvoir qui leur a échappé. Ils aiment la pauvreté, c'est leur terreau...
La situation se dégrade fortement, en partie en raison de la tension sur les marché mondiaux des matières premières. Et la Tunisie va se retrouver hors jeu, car ne pouvant se fournir...
nous sommes à 2 mois et demi, et toujours pas de gouvernement pour mener le combat...
La Tunisie aujourd'hui, c'est comme le mec qui se jette du haut du WTC le 11 septembre, qui à chaque étage disait.. jusque là, ça va !!
Mais surtout ce qu'il faut souligner et même matraquer .
C'est que leur idole ,est à l'?uvre de destruction massive depuis son élection !!
Non pas depuis le 25 juillet .
Le 25 juillet est le résultat de sa destruction, commencé bien avant son élection !!!
Il suffit de revoir et de relire tous les épisodes kaiisiste depuis son élection !!!
Souvenez-vous de la carotte du dialogue !!!
Il a fait un cinéma monstre avec son dialogue, qui n'a jamais eu lieu.
Les anciens chefs de gouvernement qu'il avait convoqué.
La constitution de Bourguiba .
'?a n'a été que ça !!!
Tout au long de cette période, ça n'a été que ça !!!
Il se doit de le faire et en toute urgence. Tel un bon père de famille. Il ne doit pas laisser faire. Il ne doit pas laisser pourrir.
Depuis la mascarade de Sidi Bouzid et à ce jour, nous assistons à des scènes pathétiques qui nous rappellent les balades des protecteurs de la révolution dont l'ensauvagement est encore dans les esprits. Voilà où nous en sommes.
On ne peut pas rester insensible à cette mise en garde de la BCT. On n'a plus le droit de continuer à s'amuser étant donné la gravité de la situation.
Notre Président est appelé à changer son fusil d'épaule. Il n'a pas besoin de ces ouistitis. Les tunisiens attendent de lui un discours concret loin des idéaux inutiles. Et en langage tunisien si possible.
Je vous donne juste un exemple : les révélations de Karim Abdessalem aujourd'hui il est menacé de mort car il a dit la vérité sur les attentats à Tunis et ailleurs. Malgré les révélations de leur enfant, ils ont tous nié en disant que ce n'était pas vrai.
J'ai dit cela le 02.10.2021 et visiblement je ne me suis pas trompé
Ils savent aussi qu'on peut diffuser des informations plus ou moins vrais pour effrayer et donc faire peur.
Les choix du président sont bons et le pays lui sera gré des décisions courageuses qu'il a prises et qu'il prendra.
Une déception personnelle du gouverneur de la BCT qui après avoir "fait ses adieux au Conseil d'administration de la banque qui s'est réuni [hier] mardi 3 août au siège de la BCT" en prévision de sa nomination au poste de Chef de Gouvernement selon certaines sources (il-boursa) et des indiscrétions et, après laissé la vice-gouverveur se faire élire membre du Conseil d'administration de l'AFI poste qui traditionnellement lui revenait de droit en vue de sa nomination au poste de chef de gouvernement qu'il convoitait s'est vu supplanté par une dame suite aux choix faits par le Président.
Non, l'?tat de la Nation ne doit être lu et interprété qu'avec un seul prisme: celui de l'objectif et loin des intérêts personnels.
La réaction du gouverneur vient indirectement validé le non-choix du gouverneur de la BCT et conforté pour le moment, le choix du Président.
ROBOCOP doit leur lancer un missile!
Donc , les fans de KS (dont je fais partie) ont de la merde dans les yeux et n'ont plus qu'à se construire un abri anti- atomique ( si le prix du ciment et du fer n'ont pas flambé d'ici là ) !
Vous vous rappelez de la caméra cachée pendant laquelle on a essayé de piéger KS en simulant un tremblement de terre ?
Le Monsieur n'a pas bronché. Aucune réaction, aucun signe d'inquiétude ou de peur .
Voilà l'attitude de KS et sa réaction devant toutes ces tentatives de le démettre actuellement.
Droit dans ses bottes .
Inflexible.
Incorruptible.
Un "dictateur" comme je les aime !
Et ce que vous voyez ou entendez comme "dépassements" et injustice , sachez que c'est du pipeau et de la manipulation .
On est champions du monde pour ce genre d'exercice.
Quant à l'aspect économique je ne suis pas un expert ( mais le rédacteur -anonyme- de cet article semble avoir fait Harvard ) mais si on a réussi vivre ainsi pendant des années on continuera à le faire .
La fameuse réunion du congrès américain qui se tiendra le 14 octobre fait peur à tout le monde sauf à moi .
Je dois être très naïf mais j'assume.
Et pour conclure , imaginez un 26 juillet " normal" sans l'intervention que vous qualifiez de folle et dangereuse de KS ; où en serions-nous aujourd'hui ?
En train de gueuler à droite et à gauche contre les "génies" de l'assemblée ?
Contre Makhlouf , Ennahdha and Co ?
Contre la corruption ?
Contre tout , tout et tout !
Eh bien, maintenant concentrez-vous sur un seul homme et voyons si vos efforts vont payer pour un retour à la vie "normale" de merde que nous avions .
Et si vous réussissez à déloger mon "dictateur " préféré je m'inclinerai et respecterai votre force de conviction et votre détermination.
On ne construit pas ( ou on ne reconstruit pas ) un pays avec du Scotch , du Chatterton et du fil de fer .
On le (re) construit avec de bons matériaux, durables et solides .
Quant au style architectural, c'est une autre histoire.
Il peut plaire ou ne pas plaire .
L'avenir proche nous le dira .
Ils n'ont toujours pas compris !
Ils rêvent encore !
Le réveil sera terrible.
Le petit BN confirme définitivement son manque de respect, pour ne pas dire son mépris, à l'égard de tout un peuple qui persiste à mettre l'honnêteté en tête de liste des valeurs de justice !
Au(à la) courageux(euse) rédacteur(trice) de cette prose: BRAVO!...Ca vole haut, là! ...
On touche le fond!
BN, êtes-vous sûr d'avoir toujours un "Idéal de justice"?...Si oui, êtes-vous sûr de vouloir encore le défendre?
On pensait lire entre "vos" lignes, force est de constater qu'il n'y a carrément plus de lignes...juste esbroufe et démagogie!
Décidément!...BN, nous n'avons pas les mêmes valeurs (comme dit la pub)!
Signé: "Le club des 4" dit "Fatma" (Fans admirateur(trice)s tunisien(ne)s militant(e)s arabes
Mais, qui est capable dans ce pays de comprendre la gravité de la situation ?
Apparemment pas grand monde surtout du côté du Président, de son entourage et bien entendu de la quasitotalite du peuple tunisien encore sous hypnose.
YA NASS FIKOU RAHI BACH TAKHLAA ALA ROUSKOM..
Renseignez-vous...!
Y'a t'il un seul mot dans l'article qui dit que KS est responsable de la situation actuelle ?
En revanche, tout le monde sait que depuis qu'il a cumulé TOUS les pouvoirs il n'a strictement rien fait pour éviter la catastrophe. Le problème est qu'il est aussi aveugle que ses aficionados. Votre fin sera cruelle.
HEIL KAISER
Y a t-il quelqu'un ?
Pas de panique, Quid !


