Le président de la République, Kaïs Saïed, a supervisé, jeudi 28 octobre 2021, le Conseil des ministres. Il a, à l’occasion, exigé un audit minutieux de tous les prêts et dons accordés à la Tunisie durant les dernières années, lit-on dans un communiqué de Carthage.
Plusieurs autres questions ont été abordées lors de ce conseil notamment le projet de décret sur les délais d’examen des rapports de la Cour des comptes sur les élections. Le chef de l'Etat a également ordonné à la ministre de la Justice la préparation d’un projet de décret sur le Conseil supérieur de la magistrature (CSM). Il a, dans ce sens, déploré les lenteurs administratives jugeant insensé le fait de rendre des décisions sans effets juridiques et a sommé les juges d’appliquer la loi à tous et sur un même pied d'égalité.
Il a, dans ce même contexte, appelé les « patriotes honnêtes » à purger le pays en éliminant tous ceux qui ont porté atteinte à l’Etat et au peuple.
Le chef de l’Etat a, également, annoncé que deux projets de décret l’un portant sur la réconciliation pénale et l’autre en lien avec les familles des blessés et martyrs de la Révolution étaient fin prêts et seraient examinés lors d’un prochain Conseil des ministres, lit-on dans un communiqué de Carthage.
Kaïs Saïed est revenu sur la question des domaines de l’Etat affirmant qu’une nouvelle structure sera créée afin de permettre aux citoyens de profiter des terres domaniales au lieu de les céder à des prix dérisoires.
La catastrophe environnementale dans la ville de Sfax en particulier et la situation générale du pays ont, aussi, été à l’ordre du jour. Le chef de l’Etat a exhorté les autorités de tutelle à trouver une solution rapide qualifiant la situation d’intolérable.
Il a, par ailleurs, appelé, encore une fois, à renforcer les mécanismes de contrôle des circuits de distribution dans le cadre de la lutte contre toute forme de monopole et de spéculation.
Les équilibres financiers et la situation économique du pays ont, également, été abordés, selon le communiqué de la présidence de la République.
N.J.
La plupart des aides et surtout dons ont été accordes dans un cadre de soutien au développement socioéconomique lui même structure autour de projets précis :
Développement de l'employabilité
Préservation/optimisation de la répartition des ressources hydriques
Développement des cultures et nouvelles varietes
Développement e l'écotourisme
etc etc
Ces aides et dons ont ete formalisées au travers de contrats internationaux explicitant de manière détaillée l'usage des montants accordes
Or il y a eu détournement massif indécent de ces montants colossaux par toute une pègre politico administrative
des sommes colossales irriguent les comptes de banques luxembourgeoises turques maltaises britanniques etc
Il y a eu bel et bien depuis des dizaines d'années un système institutionnel sophistique- comme quoi l'administration tunisienne peut être efficace et proactive- de détournement des aides internationales
Ce système qui existait des l'époque benali a ete amélioré et démocratisé par les islamistes et leurs satellites
On n'arrete pas le progres
Il y'a bien sûr mal gouvernance et ca existe partout dans le monde. Je ne pense pas que grande chose sortira de ces audits mais il faut les faires et punir les fautifs. La menace que je vois est qu'on sera occupé a discuter tout le temps ses audits qu'on peut utiliser pour des objectifs politiques au lieu de travailler, faire les reformes et rendre le pays plus compétitif.
Ces audits ne vont pas donner du pain aux tunisiens démunis et ne vont pas créer de l'emploi.
Votre avis
Il faut commencer par auditer l UGTT
Rien que pour avoir la conscience tranquille
Taboubi croit qu il a un cheque en blanc pour semer le desordre
Le pays a besoin de l union de tous les Tunisiens
Les riches de l UGTT se croient au dessus de le monde et poussent les moins riches de faire leur sale boulot
Audit audit audit
Si l'on y ajoute l'audit ordonné concernant les dons, prêts et autres aides dont on a tout lieu de présumer qu'une bonne part à échoué dans l'escarcelle islamiste, je forme le v'?u que les saligots impliqués seront arrêtés et mis sous bonne garde.
Je veux adresser mes condoléances aux petites mains et autres serviles qui n'ont cessé de nous qualifier de tous les attributs infâmes.
Je me réjouis qu'en fin le Président rentre dans le dur.
'? ceux qui me parlent de haine, je leur dis que je raisonne politiquement.
Il ne faut pas tenter de réduire le débat à des considérations psy, car ce n'est qu'une autre tentative de le dépolitiser.
Certes, je m'imagine mal voisiner avec les terroristes, les haineux, les suffisants "frères" chez qui l'insulte fait office d'argument, mais j'affirme que nulle aversion personnelle ou inimitié ne guide mes positions.
En revanche, opposition ferme et définitive aux voleurs, ennemis du peuple et corrompus de tout acabit.
De l'autre côté, je ne pense pas qu'ils vont trouver grande chose. C'est simple les Tunisiens se demandent où sont allé les crédits ? dans leur consommation. Toutes ces augmentations astronomique, les primes doivent venir de quelques part. J'ai l'autre jour analysé les dépenses des ministères de l'intérieur et de la défense, ils ont explosé, l'argent est allé aussi pour recruter plus de policiers avec un résultat plus que décevant, la criminalité galope et les terroristes se baladent a Chaambi.
Toutes ces histoires entrent dans l'hypnose du peuple, en fin de compte ils ne trouveront rien qui améliorera la vie des plus démunis. Il faut travailler et reformer, le reste est du bla bla. Son initiative me rappelle sa phrase a propos de Kooli (has elkhasna wimchaa), c'est l'esprit qui l'anime mais bich ihil issoura, yalkaha khit wala fhargha, hata khit mafamech.
Il faut travailler.
Plus de 25 000 milliards de millimes ont été verses a la Tunisie depuis dix ans
On va mesurer le degré de corruption du système nahdhaoui avec le soutien de la communauté internationale