Le responsable de l'unité d'information et de communication et substitut du procureur de la République près du Tribunal de première instance de Tunis, Mohsen Dali, a affirmé, dans une déclaration accordée ce samedi 17 octobre 2020, à la TAP, que le parquet du pôle judiciaire chargé de la lutte contre le terrorisme a ouvert une enquête suite aux propos postés ce matin par le député Rached Khiari, sur les réseaux sociaux.
L'élu indépendant (anciennement Coalition Al Karama), Rached Khiari, s’est exprimé sur le drame survenu hier dans les Yvelines en France, où un enseignant a été décapité pour avoir montré en classe des caricatures du prophète Mohamed.
« Porter atteinte au prophète est l’un des plus grands crimes et celui qui l’ose doit assumer ses conséquences, qu’il soit Etat, individu ou groupe» a écrit l’ « élu » du peuple, dans un post sur les réseaux sociaux.
Ses propos ont suscité une vague de réactions sur la toile et, selon la loi, Rached Khiari, malgré son statut de député, pourrait être passible de sanctions.
M.B.Z
Appel au djihad et au terrorisme intellectuelle
Doit être poursuivie et doit être écarté de la scène politique
La justice doit faire son travail
il n'y a plus de liberté d'expression en France, depuis que les sionistes l'ont confisquée , par leurs lois qu'ils ont imposées à la France, comme loi Gayssot, loi de la honte.
en France, on ne peut plus critiquer isra-hell, le juif, sa shoahhhh ....
le pro sioniste Micron, veut mème interdire le mot : sioniste !!
quelle honte !!!
Son passé haineux , violent et sympathisant du terrorisme devait être condamnable déjà par l'arp et la justice depuis bien longtemps .
Qu'est que on attend pour l'arrêter et le mettre en prison .
Quoi encore un enquête pour crime commis.
il est vrai que l'arrivée d'ENNAHDHA et ses satellites sur la scène politique a modifié les codes de communication dans le pays : l'insulte, la haine , le mépris, la corruption, la délinquance , le crime ont miné une société déjà fragilisée, le nivellement par le bas a pris le dessus
Les valeurs élémentaires de la vie commune ont disparu pour laisser la place à l'invective, au mensonge et à la mauvaise foi ostentatoire
Nous vivons, la crise au quotidien, elle est économique , sociale , sanitaire, religieuse, culturelle , judiciaire, morale, en somme une crise d'identité'?'. bref plus rien ne tient, le bateau chavire, sauve qui peu
Un Etat vidé de son autorité , une classe politique qui n'a rien de politique si ce n'est de pavoiser dans les TV et les radios en paroles creuses et délirantes sans aucune perspective, sans projets et sans consistance
Une administration corrompue bourrée de fonctionnaires incompétents souvent nommés du simple fait d'appartenance politique ou à une oligarchie dominante
La justice soumise aux ordres de lobby de tous horizons n'exerce plus son rôle, absente du débat dont elle est pourtant le pivot; loin d'apaiser et d'apporter la sérénité aux plus faibles et aux justiciers elle est devenue objet de méfiance
la gouvernance est réduite à des frasques , des apparences et des déclarations énigmatiques dont le sens échappe au commun des mortels; accusée et mise à l'index par les gouvernés elle est la risée de tous
une population déboussolée, abandonnée à son sort victime d'une psychose collective qui s'est emparée des esprits de tout un chacun et dont les symptômes se font sentir à tous les niveaux de la hiérarchie sociale
( mythe, délire, et déraison) un paradigme effrayant
Un fossé entre les gouvernants et les gouvernés se creuse de jour en jour et on s'enfonce inexorablement dans une fosse commune nauséabonde celle des islamistes sans foi ni lois
Quand on voit ce cocktail explosif rien d'étonnant de voir des énergumènes et des ignares islamistes de la pire espèce sous prétexte de la liberté d'expression se permettent l'innommable allant jusqu'à l'apologie du crime et qui plus est au nom de l'islam
honte sur vous minables dénués de toute humanité.
Un professeur d'Histoire et de Géographie a été égorgé, EN FRANCE, et sa tête a même été coupée pour le seul fait d'avoir fait un cours sur LA LIBERTE D'EXPRESSION.
Il ne faut pas oublier que la LIBERTE D'EXPRESSION est le seul acquis de la Révolution tunisienne de 2011.
Les islamistes mettront fin à la LIBERTE D'EXPRESSION sous couvert de lutte contre le blasphème.
Ces mêmes islamistes tuent pour un DESSIN qui franchement ne gène pas mes convictions.
IL FAUT ETRE UN FOU POUR TUER UN ETRE HUMAIN POUR UN SIMPLE DESSIN.Et le tuer de cette manière !!! Un professeur qui enseignait aux enfants.
La LIBERTE D'EXPRESSION est en danger mortel en Tunisie. En tout cas, ces KHOUENJIS PUANTS ne gagneront JAMAIS contre un pays comme la France.
JAMAIS.
Et c'est déjà fait.
Laissez vos souhaits de côtes, et faite face à la réalité de la chose : RACHED KHIARI est une personne qui appartient à "OULED HILLARY", donc intouchable.
La justice n'a même pas appelé Makhlouf pour une audience lorsqu'il a traité le "Procureur de la république" de "MOUCH RAJEL", vous voulez que cette justice appelle Rached Khiari pour ça ? Vous rêvez ou quoi ?
Cette déclaration est l'une des expressions les plus immondes de leur ignominie, de leur bassesse, de leur nature véritable et de leur esprit vicié. Elle méritait d'être prise au sérieux et examinée par la justice.
Mais d'autres prises de position fanatiques et extrémistes, qui auraient également mérité un traitement judiciaire, en particulier à l'occasion de l'affaire du "koutab" d'El Regueb, et notamment la dernière publication de leur chef de gang, et ses attaques contre Belloumi, ont été passées sous silence.
Espérons que les sanctions vont tomber et que Bhiri n'intervienne pas encore une fois pour faire pression et étouffer l'affaire !
On doit noter que ces propos sont tenus quelques jours après d'autres venus du camp d' El Karama pour nous intimer l'ordre de nous tenir sur nos gardes s'agissant de tout ce qui touche à la religion telle que revue et corrigée par leurs soins. Khiari enfonce le clou sans se démonter, et prend fait et cause pour celui qui vient de décapiter un enseignant.
La forme du crime est située. Elle porte la marque des daechiens. Le sens du message de Khiari est autant à usage interne pour avertir et menacer. Pour, sans doute, doubler sur leur droite, ses ex-amis qui ne cessent de surenchérir dans le sordide et le crasseux. Il s'ajoute à tout ce qui nous est offert au jour le jour en saillies fascistes et aux illégalismes de toutes sortes au point que beaucoup en viennent à écrire que le pays n'a plus de justice.
Le parquet ouvre une enquête, est-il écrit, ici. On croit rêver.
C'est un cauchemar. Pour bien moins que cela, de jeunes femmes, pas des hommes en pays d'islam, sont incarcérées bien avant enquête.
Je songe à ce qui nous attend si l'on persiste à laisser faire. Et, là j'y vois une tragédie en gestation.
Wait and see.