
Dans une publication sur les réseaux sociaux, la page "Tounesna24" et "Tunimdia" ont partagé une information le jeudi 22 juin 2023, affirmant que la Tunisie avait adressé un communiqué ferme au Fonds monétaire international (FMI), accompagné d'un lien. Cette nouvelle a rapidement suscité un débat animé en ligne, étant donné que la Tunisie se trouve actuellement en pleine négociation avec le FMI pour obtenir un prêt.
Les réactions des internautes étaient diverses et reflétaient les préoccupations de la population tunisienne face à cette situation délicate. D'un côté, il y avait ceux qui applaudissaient cette position ferme du président de la République, Kaïs Saïed, envers le FMI. Ils considéraient que la Tunisie avait besoin de défendre ses intérêts et de prendre des mesures fortes pour sortir de sa crise économique. Ces personnes soutenaient l'idée que la Tunisie devait chercher des alternatives et ne pas dépendre entièrement du FMI pour résoudre ses problèmes financiers.
D'un autre côté, certains internautes exprimaient leurs inquiétudes quant à cette position adoptée par le président Saïed. Ils soulignaient que la Tunisie vivait déjà une crise économique et que l'obtention du prêt du FMI était cruciale pour relancer l'économie et améliorer les conditions de vie des Tunisiens. Ces individus craignaient que la décision du président Saïed de s'opposer au programme du FMI compromette les négociations en cours et retarde davantage les mesures économiques nécessaires.
Cependant, après vérification, il s'est avéré que la Tunisie n'avait envoyé aucune correspondance ferme au FMI, contrairement à ce qui avait été partagé sur les réseaux sociaux. Il s'agissait en réalité du communiqué relatif à la rencontre entre le président Kaïs Saïed et la directrice générale du FMI, Kristalina Georgieva. Lors de cette rencontre, le chef de l'État a réitéré son opposition au programme du FMI et a exprimé ses réserves quant aux propositions de l'institution financière. Selon un communiqué de la présidence de la République, il a affirmé que ces recettes étaient inacceptables et représentaient une menace pour la paix civile.
Le président Saïed a évoqué les événements tragiques de décembre 1983 et janvier 1984, connus sous le nom des « émeutes du pain », qui avaient été déclenchés par la décision de supprimer les subventions sur les céréales. Il a souligné que ceux qui parlaient de bases de données ne comprenaient pas la réalité tunisienne et a insisté sur le fait qu'il ne tolérerait aucune effusion de sang. En même temps, il a invité Kristalina Georgieva à visiter la Tunisie, une invitation chaleureusement saluée par la directrice générale du FMI, qui a affirmé qu'elle fixerait une date ultérieurement.
R.A
relis mon post en bas.
seul zawali doit bénéficier de subventions.
le riche doit payer pour soulager le zawali.
Cordialement assil iRRiF luid ETTABOUNA ahlou erroujoula ahlou ELWATTANiA ahlou elkaram
Bien sûr, se débarrasser des sous prefets de la France, les Sassou, Biya, Maky Sall, Embolo, Ouattata, le gamin Deby du Tchad et autres serait un atout pour sortir l'Afrique subsaherienne de la misère noire dans laquelle elle patauge depuis les semblants d'indépendances.