
En ce jour de commémoration de l’assassinat du leader de gauche Chokri Belaid, en ce jour de colère où partis politiques de gauche, société civile, jeunes et moins jeunes se sont mobilisés pour s’élever contre les dérives policières, tous les accès à l’avenue Habib Bourguiba sont fermés.
A trois/quatre kilomètres à la ronde tous les passages vers l’artère principale de la capitale sont bloqués, des barrages de police contrôlent énergiquement les Tunisiens et les refoulent les empêchant de participer à la manifestation. Les journalistes sont harcelés et on menace de saisir appareils photos et smartphones.
On nous signale également l’interpellation de plusieurs jeunes venus manifester.
En cette journée de colère, en cette journée de commémoration, dans cette Tunisie supposée être une démocratie, le chef du gouvernement Hichem Mechichi, également ministre de l’Intérieur, montre un visage despotique. Les images qui nous parviennent de l’avenue Habib Bourguiba et alentours nous rappellent des souvenirs pas très lointains de ce qui se passait sous Ben Ali.
I.L

Ce mouvement apatride est pret a tout maintenant on en est sur
la liberte la prosperite la dignire du peuple tunisien ils s'en foutent completement
Pas besoin de sigma conseil pour comprendre que tout le monde connait la vérité.
Wadhah kolla woudhuh.
Il n'y a aucune risque d'erreur ni de fuir la vérité et devenir "mercurien".
derriere ce visage de premier de la classe joufflu et timide se cache un affame de premier ordre
un apprenti dictateur qui apprend
car de par ses origines et sa carriete Mechichi a du apprendre tres tot l'art de la dissimulation et de la veulerie
quitte a laisser torturer des gosses originaires de Jendouba a Ksar Helal pour la seule raison qu'ils sont originaires de Jendouba
peut etre a t-il appris a baisser le pantalon tres jeune mais cette accoutumance ne forme pas un leader integre et loyal
comprend t-il seulement l'ampleur de la revolte qui s'annonce et les consequences de son pacte avec certains pourris et traitres a la Nation
Et il argue continuellement l'alibi qu'ils ne veulent pas que le pays se déstabilise.
Tozz, Malla sitti se déstabilise en quoi ? Pourquoi ? Et de quoi ?
La réponse est nettement connue. Ils ne veulent pas lâcher le pouvoir après tantvdarhent dépensé, et après d'être entnrichis indéfiniment avec l'argent arnaqué au peuple tunisien.
Des cartons comprenant plusieurs dossiers d'implications vérifiées ont eteété volatilisés et à partir des chambres secrètes et inaccessibles se trouvant dans le ministère de la justice même; de quelle démocratie et de quelle révolution ? parlez-vous ?
Vous prenez les gens pour des naifs ou des débiles ? Allons donc arrêtez votre cirque minable; ou bien retournez d'où est-ce que vous êtes bnveninus envoyés, cette fois-ci, par vos commanditaires qui vous considèrent comme leurs esclaves et leurs milices pour accéder au pétrole libyen.
Mais vous pouvez rincer maintenant, c'est la Suisse qui intervient ; et lacets est finie et le butin est fini...
l'horrible systeme de discrimination regionale et sociale mis en place depuis 40 annees va exploser
ca va etre sanglant
je repete que je suis homme de terrain et l'ampleur previsible de l'explosion me terrifie
Pas besoin de schéma c'est macroscopique.
Kallaba wa moujrmine jiaânine wa chirririne. Achrar
Tout, hélas, semble l'indiquer, les techniques et les moyens déployés sont là pour le prouver ! Dans le mouvement d'aujourd'hui, il n'y a guère de casseurs, mais en majorité des personnes venues commémorer un évènement, crier leur indignation, demander justice et dénoncer les abus d'un système qui mène le pays à sa ruine. Ils en ont été empêchés, malgré la présence de nombreuses figures politiques et de représentants du peuple. Ceci confirme la volonté de ceux qui trustent le pouvoir, de museler toute opposition et d'étouffer dans l'oeuf toute contestation populaire. Leur raidissement n'a d'égal que leur crainte d'en être chassés, comme l'ont été leurs prédécesseurs ! Leurs alliés objectifs sont ceux qui détiennent "la violence légitime" pour le maintien de l'ordre public, mais à trop en user, cela peut dégénérer en limitation des libertés individuelles et en "terrorisme d'Etat". Prions le Ciel que l'on n'en arrive pas là !
"La logique despotique" n'est pas l'apanage du seul Mechichi. Cette propension à tout imposer par la force se manifeste d'abord à l'assemblée, censée être le lieu privilégié, et le temple, de l'exercice démocratique, où la nature insidieuse de la dictature est en passe de prendre le dessus, par les comportements de son président, et les oukases d'une coalition de partis.
Mais la politique de la répression et la tyrannie des plus forts ne peuvent résister longtemps aux coups de boutoir d'un peuple résolu à préserver les acquis de SA révolution !
Vous avez la memoire courte c est vous que vous allez etre le bouc emissaire
On a cru avoir un chef de gouvernement pour tous les Tunisiens Mais il s avere que vous avez choisit votre camp
Le chef de gouvernement « kleneex « aux ordres des religieux et autres partis corrompus qui ont une peur terrible de la rue sachant qu'aux dernières élections législatives sur les sept millions d'électeurs inscrits les trois partis soutenant le chef de gouvernement et ministre de l'intérieur par intérim n'ont eu qu'un million de voix à eux trois cela il ne faut pas l'oublier.
Quand un gouvernement a peur des manifestations c'est qu'il est faible voir très faible.
On avait omis de noter qu'il occupait ce ministère, '?tat dans l'Etat, où rien n'avait varié. Les dossiers d'importance restaient introuvables ou bien à l'abri. Les pratiques institutionnelles aussi n'avaient pas varié.
Aujourd'hui, l'on peut mesurer bien plus clairement qu'il vaut toujours mieux pondérer son enthousiasme et attendre pour applaudir un nouveau presque semblable en tous points à l'ancien.
Monsieur Mchichi se cabre, et montre les muscles. Dans un mouvement irrésistible, il nous administre la preuve qu'en sa nature il n'est que représentatif de cette classe de fonctionnaires coutumiers du pouvoir dont ils ont vite appris les tours et les manies de se croire le Tout du pays. Il va créer une réalité conforme à ses fantasmes, endiguer l'expression démocratique en tentant de la bâillonner à défaut de l'annuler par l'interdiction ce qui aurait été plus voyant.
La prochaine étape ?
Voilà ce que les rats nahdhaouis appellent la démocratie !...
ENNAHDHA = DEGAGE

