Dans une publication sur Facebook, la journaliste Khaoula Boukrim, a annoncé, avoir été convoquée, de nouveau, devant la deuxième brigade criminelle de Ben Arous.
La journaliste a précisé qu’il s’agit, cette fois, d’une convocation pour « confrontation » dénonçant « le harcèlement » qu’elle subit pour avoir seulement couvert une manifestation devant le siège du ministère de l’Intérieur.
L’activite Asrar Ben Jouira, présidente de l'association Intersection pour les droits et les libertés, a également été convoquée par la même brigade.
Khaoula Boukrim et Asrar Ben Jouira ont été laissées en liberté, lundi 11 novembre 2024, après leur comparution devant la brigade criminelle de Ben Arous. Selon le SNJT, la journaliste est soupçonnée d'avoir agressé un agent de sécurité.
M.B.Z
Le jour où ces pseudo-activistes & Co, assimileront, une fois pour toutes, les bases de l'humilité, on pourra commencer à dire que la cécité des parvenus, est en passe de se dissiper.
Le "V" affiché narquoisement avant-hier, après leur RDV avec la brigade criminelle de Ben Arous, était, à mon avis, un peu déplacé.
L'insolence et l'effronterie, ne paient plus.
Au moindre faux pas, il faudra assumer.
L'ordre, le respect et la discipline, doivent reprendre du galon dans notre bled meurtri par onze années consécutives, d'anarchie, de loufoqueries et de gabegie.
Halte au désordre.
