HARO A L'ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR GOUVERNE PAR DES BOURRIQUES ADEPTE DE LA PLANÉITÉ DE LA TERRE . QUI DIT QUE LA TERRE EST COMME UN BAIGNE DIT LA TUNISIE DE 14 JANVIER ET VIVENT LES BOURRIQUES .
Khalil Amiri, secrétaire d’Etat à la Recherche scientifique a été l’invité de Face à face de Sofiène Ben Hamida sur Nessma tv vendredi le 8 décembre 2017.
Lors de son passage à l’émission, Khalil Amiri est revenu sur la grève générale des enseignants universitaires dans tous les établissements de l’enseignement supérieur, observée hier jeudi le 7 décembre 2017. Il a également rappelé que ces enseignants n’ont pas pris part aux Assises nationales pour l’instauration de la réforme de l’enseignement supérieur tenu les 2 et 3 décembre 2017, malgré leur participation à toutes les réunions de travail et même celle du 23 novembre dernier.
Le secrétaire d’Etat a en premier lieu, évoqué la question d’encadrement des étudiants. En effet, il a expliqué que pour les 240 mille étudiants que l’université tunisienne compte en 2017, on trouve 22 mille enseignants et 2600 postes vacants de professeurs universitaires.
« La situation n’est pas catastrophique mais il faut tout de même trouver des solutions pour y remédier en améliorant le climat éducatif et la situation de l’enseignant. » précise t-il.
Toutefois, M. Amiri a proposé un nombre de mesures afin de combler ce vide notamment en recrutant plus d’enseignants, en formant des docteurs pour enseigner dans les universités et en limitant le nombre d’années où un poste vacant serait à la disposition de l’enseignant qui quitte la Tunisie pour enseigner à l’étranger.
Khalil Amiri est revenu, par ailleurs sur les questions débattues lors du congrès de la réforme de l’enseignement. Il a relevé 3 problèmes majeurs causant la crise dans le secteur de l’enseignement supérieur, notamment la disparité entre les activités de recherche et les besoins du pays au niveau du développement et de la promotion du secteur économique, social et éducatif. A cela s’ajoute, la restriction du dispositif de l’enseignement et enfin le problème de la valorisation des recherches faites par les compétences tunisiennes.
L’invité de Nessma Tv, a affirmé qu’en réponse à ces problèmes, toutes les parties concernées du secteur de l’enseignement supérieur ont œuvré afin de déceler les priorités de ce secteur et se sont concertées autour de la transition d’un financement normal à un financement compétitif en relation avec ces priorités.
En outre, il a ajouté qu’il faut assurer l’autonomie aux universités tout en respectant le principe de la gratuité de l’éducation, car « il est impossible pour le ministère de gérer 22 mille enseignants et 240 mille étudiants. »
A cela s’ajoute la nécessité de libérer les pôles technologiques et de financer les recherches scientifiques. Dans ce sens, l’Etat a alloué 8MD dans le cadre d’un programme instauré pour appuyer la recherche scientifique.
« On compte 6000 compétences qui quittent la Tunisie pour s’installer à l’étranger, on peut les garder par la réforme des universités notamment le financement des jeunes chercheurs, l’encouragement des initiatives privées, et l’augmentation des salaires des universitaires. » précise le secrétaire d’Etat à la recherche scientifique. »
Il a également ajouté que le budget de la recherche scientifique a augmenté de 30%, ainsi que le budget des laboratoires et des unités qui augmentera de 50% en 2018.
Au final, Il a été également question de l’enseignement privé face à l’enseignement public, où Khalil Amiri a souligné que «l’enseignement privé, ne nuira pas à l’enseignement étatique tant qu’on veille sur l’amélioration de sa qualité, il constitue également une source de devises et promeut la diplomatie économique quand il s’agit des étudiants étrangers dans les universités privées ».
B.L
Commentaires (5)
Commenterréveillez vous monsieur le ministre !!!!!
HARO A L'ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR GOUVERNE PAR DES BOURRIQUES ADEPTE DE LA PLANÉITÉ DE LA TERRE . QUI DIT QUE LA TERRE EST COMME UN BAIGNE DIT LA TUNISIE DE 14 JANVIER ET VIVENT LES BOURRIQUES .
N'importe quoi !!!
La qualité pas la quantité
ils se foutent de notre gueule
Et comment former ceux qui veulent etre membres du gouvernement comme ce AMIRI
Je crois que se sont les lois taillées en mesure qui sont l'obstacle!