
Le président de l’Ordre des Ingénieurs Tunisiens (OIT), Kamel Sahnoun a salué la récente étude publiée par l’Institut tunisien des études stratégiques au sujet des ingénieurs et de leur départ à l’étranger. Il a affirmé que depuis la révolution, en moyenne 3.000 ingénieurs quittaient annuellement le pays. Il a évoqué le nombre important des études analysant la situation et a appelé à appliquer des solutions et à passer à l'acte.
S’exprimant le 26 juillet 2024 durant « Expresso » sur Express Fm, Kamel Sahnoun a mis l’accent sur la gravité de la situation et sur les dangers résultant de la migration massive des ingénieurs tunisiens. Selon lui, la principale cause de ce phénomène serait les faibles salaires et les mauvaises conditions de travail. Il a indiqué que le salaire d’un ingénieur marocain représentait quatre fois le salaire d’un ingénieur tunisien. Ceci pousse l’ingénieur à saisir toute opportunité qui se présente à lui sur le plan professionnel.
Kamel Sahnoun a évoqué la nécessité de mettre en place une économie et un mode de développement basés sur le savoir. Il a proposé l’adoption d’un contrat d’embauche des ingénieurs sur objectifs afin de les encourager. Il a, aussi, expliqué que plusieurs ingénieurs tunisiens optaient pour une collaboration avec des clients et des entreprises étrangères. M. Sahnoun a insisté sur la révision du cursus académique afin de répondre aux besoins du marché national. Le président de l’OIT a appelé à la simplification des opérations administratives, à la lutte contre la bureaucratie et à la révision du système des autorisations.
S.G

Arrêtez un peu de vous masturber les neurones sur des sujets futiles, jetés régulièrement sur le tapis par les traitres à la NATION, pour semer la zizanie.
Rappelons que la majorité de ces derniers sont en train d'étouffer depuis le 25 juillet béni, qui coupa net, l'approvisionnement des pipelines par el flouss el hram !!!
Ouvrez un peu les yeux les demeurés et secouez-vous un peu.
Au-delà de cette idée, il faudrait que le cadre réglementaire change. Il faut que les ingénieurs et tous les aspirant créateurs de richesse aient toutes les facilités pour créer des entreprises. Le cadre screlosé n'aide pas à inciter les compétences à rester. Le règne de la médiocrité non plus. Tout un cadre à changer.
Lancez des projets, dans les énergies, les infrastructures, le numérique... en partenariat avec de grands groupes privés de niveau international. Sous traiter pour Airbus n'est pas un déshonneur, cent pays collaborent à Airbus, aucun ne peut le faire seul.
Cassez vos administrations anachroniques dépassées, tellement lentes et déconnectées du monde moderne. Songez que les ingénieurs qui bougent sont vos meilleurs ambassadeurs.
Ce ne sont pas les entreprises communautaires qui vont donner des buts aux ingénieurs et techniciens, simpliez leur la vie, laissez les entreprendre, aidez les au lieu de ressasser une souveraineté rassie et stérile!
Un ingénieur est une abeille dans un ensemble
Le savoir-faire et la maîtrise d'?uvre exige d'énormes moyens un retour d'expérience et des moyens que seul des grands groupes industriels ou des états possèdent
Le défi est de créer des structures qui développe ce savoir-faire et qui par l'expérience permet de devenir autonome
Mais pour cela il faut des gros moyens financiers ainsi qu'un transfert de compétences et d'expertise
Qu est ce qui il va le retenir dans ce pays a part sa famille.
Qu'il soit en Tunisie ou à l'étranger il est perdu...
Un ingénieur c'est un entrepreneur...
il crée son idée et gère sa ste c'est son milieux naturels
Augmentez les salaires ça doublera le nombre des ingénieurs perdus...
Peut être faut-il
Améliorer le climat des affaires, lancer des lignes de crédit pour les ingénieurs ...
Objectivement, les conditions de travail, les salaires et les carrières, pour ceux qui ont cette chance ou ce projet, ne sont pas comparables.
La concurrence est rude, et les pays nantis et dominants drainent vers eux les gens formés, directement productifs, et maniables au moins dans un premier temps. n'ayant rien coûté, en tirent bénéfice au détriment des pays d'origine qui auront investi à perte....
Le différentiel technologique, et ses effets économiques sont renforcés contre les pays fournisseurs de cette manne providentiel rg qu'on continuera à définir pays du Yuers-monde, en voie de développement, et même sous-developpés.
Ainsi, même directement l'ONJ en a alerte depuis des décennies.
A titre d'exemple, la NASA qui fait la guerre des USA, et l'admiration des conquis d'avance, gonctionne grâce aux allogènes, scientifiques venus de partout, des ex-nazis zyx ressortissants des divers pays de ce monde tiers réputé arriéré.
L'exploitation est le concept, le mode opératoire étant la captation, et le narratif vient enrober le dispositif de discours circulaires
L'ingénieur formé dans les institutions locales devrait dédommager son.pays ou bien y exercer un certain nombre sous conditions avant de partir où il veut ou peut.
De toute façon, une carrière en Europe pour un basané, est un.rêve.
Sans doute le Canada....
Quand on aime, il faut partir....
Blaise Cendrars.
C'est parce que beaucoup de tunisiens pensent qu'ils deviendront riches en étant salariés à l'étranger qu'ils cherchent à partir ailleurs.
Tant que cette fausse croyance restera ancré dans l'esprit des gens on sera condamné à l'as voir partir
Rien n'est plus faux.
Le salariat est juste une forme d'esclavage légal
On ne s'enrichit pas en se salariant mais on survit et ceci quelque soit la société
De mon point de vue le salariat ne doit être envisager que sur du cours terme voir même du très court terme
Il faut que les ingénieurs et scientifiques envisage leur futur en tant qu'entrepreneur investisseur et non pas un salarié d'une société ou un grand groupe étranger
Le salariat est un piège qui ne profite qu'aux rapaces qui dirigent les grands groupes.
Le travail y est taylorisé à l'infini afin d'empêcher le salarié d'avoir l'idée ou l'opportunité de piquer le savoir-faire de la société
Les ingénieurs des grandes entreprises on les infantilise et on leur demande juste d'appliquer des process pour developper des composants et des produits sur lesquels ils n'ont aucun droit
Leur seul droit c'est le salaire qui est hyper taxé et ils ne leur reste que le minimum pour vivre et s'offrir quelques bricoles et des vacances
La propriété de la valeur ajoutée revient aux dirigeants qui vendent pour des milliards le fruit du travail des salariés
Mon conseil aux jeunes ingénieurs : fuyez le salariat car vous y perdrez votre temps et votre santé
Apprenez à entreprendre à développer des business des réseaux de clients et mettez en place des systèmes où votre créativité votre talent ne vous soit pas volé par des sociétés sans aucune humanité
en informatique, ils sont codeurs ...
Elle emploie beaucoup d'ingénieurs.
Je vous assure qu'il n'y à quasiment aucun salarié qui soit d'origine maghrébine ou africaine dans les postes à responsabilité.
Il y a bien quelques ingénieurs d'origine maghrébine ou africaine dans les postes opérationnels d'exécution, mais j'ai passé à scruter absolument tout les services un par un et analyser l'origine ethnique des salariés, il n'y à quasiment aucun qui tient des positions stratégiques et de responsabilité, où ils auraient des pouvoirs de recrutement ou de direction sur des équipes et département.
Pourtant ceux d'origine maghrébine sont aussi diplômés des grandes écoles ( X, Mines, Centrale Supelec etc'?')
Cette hiérarchie est le choix des dirigeants : ils ne veulent pas voir d'arabes et de noirs dans les postes stratégiques peu importe leurs qualités et leurs compétences.
Derrière les grands discours humanistes et inclusive la réalité est malheureusement ségrégationniste maquillé par beaucoup d'hypocrisie.
Les salariés de toute façon sont à la merci de l'arbitraire de ceux à qui est délégué le pouvoir.
Ils peuvent être très compétent et rejeté et d'autres sont juste nullissime mais sont promus.
C'est le royaume du clientélisme et de l'arbitraire.
C'est une réalité et je suis prêt à parier que dans l'extrême majorité des grands groupes français cela est la même chose.
Ce sont les même réseau et groupe d'individus qui dirigent donc les résultats sont forcément similaires.
Avoir la nationalité française n'apporte rien, ceux d'origine étrangère sont considérés de la même façon et traités de manière identique.
Au lieu de perdre son temps et énergie à développer des sociétés qui vous considère comme des sous hommes, il faut plutôt s'investir pour épargner créer du capital pour lancer sa propre structure et la créer dans son véritable pays.
Le salariat ne doit être à mon avis qu'un passage obligé en début de carrière en vue de constituer du capital pour entreprendre et investir son propre business.
Pour bien gagner sa vie à l'étranger il faut les avoir bien accrochées. S'ouvrir les veines, jusqu'il faut et extraire les sentiments mediteranniens. Autrement dit, rentrer dans le monde de loups. Les titres, l'expérience ne suffisent pas. Croyez-moi.
un ingénieur en début de carrière dans le secteur public perçoit 1200 DT Lool
Il faut agir et vite; merci!