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Kaïs Saïed autorise l'élaboration d'un texte relatif à la création d'un fonds de protection des travailleuses agricoles
26/08/2024 | 19:32
1 min
Kaïs Saïed autorise l'élaboration d'un texte relatif à la création d'un fonds de protection des travailleuses agricoles

 

Le président de la République, Kaïs Saïed, a reçu, lundi 26 août 2024, à Carthage, le chef du gouvernement, Kamel Maddouri.

Le chef de l'État a souligné, à cette occasion, que chaque responsable doit être au service des citoyens et être un modèle de probité, d’abnégation et de don de soi.

Il a, en outre, autorisé l'élaboration d'un texte relatif à la création d'un fonds de protection sociale pour les travailleuses agricoles qui leur garantirait une couverture sanitaire et une assurance contre les accidents du travail et les maladies professionnelles, ainsi qu'une pension de retraite.

 

 Kaïs Saïed a enfin affirmé que l’État ne restera pas les bras croisés devant « ceux qui ont récemment mis à la porte des travailleurs en sous-traitance pour les remplacer par d’autres comme il s’est produit à Seliana où une entreprise a licencié 24 employés ».

 

M.B.Z

26/08/2024 | 19:32
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Commentaires
bbaya
licenciement sous traitance
a posté le 27-08-2024 à 10:29


Kaïs Saïed a enfin affirmé que l'?tat ne restera pas les bras croisés devant « ceux qui ont récemment mis à la porte des travailleurs en sous-traitance pour les remplacer par d'autres comme il s'est produit à Seliana où une entreprise a licencié 24 employés ».

D'un côté il interdit les contrats sous-traitance puis après il blâme celui qui applique sa décision!
Le patronat est libre de licencier ses employés! Il faut juste garantir ses droits selon les lois!
Houcine
Même que ça fera jaser..
a posté le 26-08-2024 à 21:58
Et comme de bien entendu, on dirait que c'est une mesure très opportune, sinon opportuniste, puisqu'électoraliste.
Et même si cela était, j'applaudis car c'est une mesure de justice que bien d'autres grands "leaders" très "démocrates" pouvaient décider.
Hélas! Rien, ni personne.
C'est monsieur "ndhif" qui l'aura osée.
Populiste, avez-vous dit!