
Le président de la République, Kaïs Saïed, a reçu, lundi 26 juin 2023, la cheffe du gouvernement, Najla Bouden, au palais de Carthage. La réunion a porté, selon un communiqué présidentiel, sur les travaux du gouvernement au cours des derniers jours.
Le président de la République a, de nouveau, souligné "la nécessité pour tous ceux qui occupent des responsabilités au sein de l'État, de remplir leur devoir sacré envers la patrie et le peuple". Il a noté "qu'un certain nombre de personnes travaillent soit en craignant la prise de décision, soit en essayant d’entraver la mise en œuvre de toute décision".
Dans ce sens, il a assuré que cette situation ne peut pas durer, d'autant plus que les projets existent et les fonds sont alloués. Le président de la République a insisté sur le fait que chaque responsable de l'administration serve les intérêts publics qui lui sont confiés, ou laisse la responsabilité à ceux qui se sentent responsables envers la patrie et le peuple.
Par ailleurs, le président de la République a appelé les Tunisiennes et les Tunisiens à travailler, à créer de la richesse et à compter sur eux-mêmes. “Nos capacités sont grandes et notre volonté l’est encore plus pour relever tous les défis. Avec nos efforts et nos ressources humaines, nous pouvons construire un avenir sans que quiconque de l'étranger n'impose à notre peuple ce qu'il n'accepte pas et compromette notre volonté et notre indépendance”, indique le communiqué de la présidence de la République.
S.H
Il n'y a que l'éducation scolaire, lycéenne et universitaire de bon niveau, suivie assidûment qui peut nous débarrasser de cette mentalité qui colle à la peau de beaucoup d'entre nous, plus paresseux les uns que les autres.
Il n'a y a pas d'autre solution, qui couplée avec une médecine sociale qui peut nous maintenir en bonne santé, autant physique que mentale, puisse nous garantir une volonté de compter que sur nous-mêmes.
Nous devons, à mon humble avis, redonner le sourire et espoir à ce qui pourra assurer l'avenir de ce pays, c'est à dire sa jeunesse.
Or, cette même jeunesse, en grande partie, aujourd'hui, abandonne ses études en cours de route, veut "fuir" le pays pour un eldorado qui va vite s'avérer un "esclavage" et ces derniers temps, s'avère être le jouet d'un corps enseignant qui n'hésite pas à la sacrifier pour démonter le pays par la destruction de l'éducation.
C'est une éducation de haut niveau qui nous rendra meilleurs, plus entreprenants, plus performants.
Je tiens à l'esprit cette jeune "start up" tunisienne qui a été vendue à plusieurs millions de dollars, je tiens à l'esprit ce deux jeunes filles ingénieures qui ont monté une voiture, électrique, si mes souvenirs sont bons. Vous savez que les tunisiens accordent une importance primordiale à l'éducation et à la réussite de leurs enfants, misez sur cette carte et quelqu'un soit le prix...
Ecrit par A4 - Tunis, le 15 Novembre 2022
Promis, juré, craché
Je ne dirai plus rien
Je reste bien caché
Loin de ces batraciens
Juré, craché, promis
Je vais me la fermer
Je ferai la momie
Raide et chloroformée
Craché, promis, juré
Je serai sourd-muet
m'autocensurerai
Face à ces englués
Car il est infécond
De dire et déclarer
Ou traiter de faucons
Ceux qui le sont en vrai
La dette des USA est de 31 400 milliards de dollars (trente et un mille quatre cent milliards dollars). Malgré tout, et juste après la catastrophe du 11 septembre, leur président George Walker Bush jr, les a appelés à son premier discours après le sinistre, à plus de dépenses, à plus d'achats et à plus de consommation, afin de sauver l'économie américaine : «celui qui ne consomme pas et celui qui ne dépense pas en ces temps des plus difficiles pour les USA, n'est pas un bon patriote américain», leur dit ce bourreau d'Irak.
La dette de la France est de 3000 milliards d'euros (trois mille milliards euros).
La dette de l'Italie est de 2800 milliards d'euros.
Malgré tout, leurs politiciens et leurs économistes les exhortent à davantage de consommation afin de faire tourner l'économie de leur pays.
Chez nous en Tunisie, depuis le défunt dictateur déchu Bourguiba, ils nous exhortent au "Takachèff" ou à ne pas dépenser notre argent, pour le garder dans notre portemonnaie sous le matelat. Maintenant, ils veulent qu'on ne consomme rien du tout en Tunisie. Le sucre, l'huile, la semoule, le riz, etc., ils l'ont besoin pour les hôtels et pour les touristes étrangers. Le peuple tunisien, doit vivre comme le peuple roumain de l'avant Nicolae Ceausescu. Les arrivistes ignorent que le pays ne pourra en aucun cas être géré comme le magasin de leur père. L'économie du pays est un art, qui n'est pas donné à tout le monde. Un bon économiste ne laisse aucun seul dinar dans la caisse de l'Etat. Lorsqu'il dépense un dinar, il le transforme en dix ou en cent dinars de rentabilité pour la caisse de l'Etat. Ce dinar bouge de main en main et chaque main verse de la TVA, d'impôts, de taxes, etc., qui le transforment en centaines et en milliers de dinars. Le dinar qui reste dans la banque centrale, diminue par les frais de sa conservation.
La folie dictatoriale n'a ni logique, ni sciences, ni même de limites. Elle ne pourra être arrêtée, que par une révolte populaire.
Allah yostir Tounes.
A condition d'appliquer cette règle à tout les niveaux: du chaouch à celui qui occupe la "fonction" présidentielle !!!
Alors laisse le poste vacant, ainsi que les 30.000 dinars/mois (avec les avantages) et on se débrouillera tous seuls.
DEGAGE tu sers à RIEN.
Votre très chaleureuse coopération avec les ta*ettes qui régnaient en maitres absolus (2011-2021) avait implosé, comme le sous-marin Titan, dès le 25 juillet béni.
Ce que voulait dire Kaissoune, notre intègre et honnête président sans peur ni reproche, par ses sages et sincères propos, est qu'il est grand temps de retrousser vos manches et de gagner honnêtement votre vie, les filles !!!
Eh oui, l'ère du parasitage et de la loukma él bérre'da est révolue. Flouss él hram, mè tith'mirich.
Il n'y a pas de quoi être vexé ni offusqué.
Durant ces onze dernières années, vous aviez fait de la Nation, la capitale mondiale de la corruption, de l'escroquerie et du terrorisme.
Votre cheikh, comme les saumons, a désormais rejoint le lieu où il vit le jour.
3amlou 3la dhré3kom !!!
Votre avenir est entre vos mains.
C'est le coeur même du message de Kaissoune.
INUTILE de le déformer.
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Un de mes amis a eu besoin du livret de famille de ses parents. La fonctionnaire lui a demandé 2000 dinars de bakchich. Mon ami vivant en France, c'est un tunisois qui est allé négocier. Il a proposé 100 dinars. Elle lui a envoyé l'argent et le dossier à la figure. Il met en prison les corrompus.....KS est sans doutes honnête, mais il est maboul..
Il ne comprend probablement toujours pas qu'il est en train de mener ce pays a sa perte; Ce qu'ont compris les Européens depuis longtemps , lui il ne le comprend manifestement toujours pas
La plus grande erreur de Mr Saed a été de conclure une alliance particulièrement malsaine avec ce qu'il est convenu d'appeler l'Etat profond, et qui correspond en 2023 a une conlomération plus ou moins solidaure d'organisation criminelles;
Ni plus; ni moins.
M Saed commet une immense erreur en déléguant à des structures publiques complétement irrécupérables gangrénées a mort les missions d'assainissement de la fonction publique et de réformes de gouvernance;
C'est complètement débile.
Voila pourquoi il faut malheureusement s'appuyer sur l'Armée ( qui commence elle aussi à sentir mauvais depuis un certain temps)
La soi-disant lutte contre la migration clandestine est un exemple remarquable puisque grosso modo Mr Saed et son équipe demandent a la Camorra d'éradiquer le phénomène mafieux.
Il ne comprend certainement pas - et c'est grave- que toute la fonction publique, sécuritaires au premier chef- est impliquée directement dans le trafic d'être humain en Tunisie, et ce a un degré qui dépasse la faculté de compréhension du Tunisien lambda
Les Européens, eux ,sont au courant; ils savent parfaitement grâce a leurs systèmes de surveillance QUI ENCADRE le trafic d'êtres humains en Tunisie, ou bien le trafic de drogue; Ils utilisent leurs informations comme une arme contre les intérêts du peuple tunisien et , ce qui est légitime, pour leurs propres intérêts;
En outre le crime organisé est depuis longtemps un mode de création et de répartition de richesse "ordinaire" en Tunisie : des familles illustres de Sfax de Mahdia de Sousse etc, costard cravate réputation irréprochable sont, par exemple, directement complices du trafic d'être humain en Tunisie;
La résilience des réseaux de l'économie informelle en est une illustration concrète.
Cette incapacité de compréhension soulève des questions angoissantes sur la gouvernance de ce pays. l'aveuglement présidentiel ne peut avoir que des conséquences très nuisibles et affaiblir durablement le pays
Et ca va arriver comme ca du jour au lendemain ?...
Il rêve debout.....