Le président de la République, Kaïs Saïed, a reçu aujourd'hui, lundi 20 février 2023, à Carthage, Nabil Ammar, ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l'étranger.
La réunion a porté sur le mouvement dans le corps diplomatique qui sera annoncé prochainement. Le président a souligné le rôle des diplomates à l'étranger à tous les niveaux, en particulier dans la recherche de moyens de coopération entre la Tunisie et des pays frères, ainsi que le rôle des consuls pour encadrer les Tunisiens à l'étranger et travailler dans la neutralité absolue pour faciliter la gestion des affaires des Tunisiens dans les meilleures conditions.
Le président de la République a également pris connaissance des résultats de la participation de la Tunisie au sommet africain et des réunions organisées avec un certain nombre de responsables africains.
Il a aussi été question de la réunion de haut niveau sur Al Qods récemment tenue au Caire. A cet égard, le président a souligné le droit légitime de la Palestine sur sa terre. Il a déclaré que la Palestine est dans le cœur de chaque Tunisien libre et doit être dans le cœur de chaque être humain libre dans le monde.
Le président de la République a souligné que « la souveraineté de la Tunisie est au-dessus de toute considération. Nous ne nous mêlons pas des affaires intérieures des autres pays et nous n'acceptons pas que d'autres pays s'immiscent dans nos affaires ».
S.H
Salutations de cheikha Mouza.
Quand on est dépendant économiquement, financièrement, industriellement,... la souveraineté nationale est forcément affaiblie voire nulle.
Ce que l'on enseigne à l'université n'a rien avoir avec la réalité politique d'un pays.
Je dis bien la réalité politique.
Le cas de la Tunisie est un cas d'école.
Le pays est au bord de la faillite, si ce n'est déjà le cas, alors que le pouvoir en place est en rade dan la mesure il masque voire fuit la situation catastrophique du pays en se concentrant sur des problèmes secondaires voire "parasites".
Je martèle, un pays qui quémande ne peut avoir une souveraineté intacte.
Cette dernière est un pouvoir de de séduction, depression indispensable pour se faire une place enviable sur la scène internationale.
Depuis juillet 2021, la Tunisie est complètement esseulée, marginalisée car les prises de positions de Saied erronées
Quant à sa diplomatie, elle n'a plus l'aura d'antan.
On n'a pas besoin d'être un génie pour essayer de comprendre !!!
Quand on parle de souveraineté on doit réfléchir soigneusement pour ne pas être victime de ses propres contradictions.
A titre d'exemple, si on veut être souverain, la Tunisie doit quitter la FRANCOPHONIE.
Autre exemple, la Tunisie doit compter sur elle même au lieu de quémander des aides, des emprunts et des prêts auprès d'organismes financiers notamment le FMI.
Entre souveraineté et dépendance, il y'a la politique des " braves ! ".
La Tunisie ne peut être un pays souverain alors que le tourisme est totalement dépendant des aléas diverses notamment la politique, l'économie, le respect des droits de l'homme,...
Tous ses termes politiciens, souveraineté, ( in)dépendance, ingérence,...sont des "machins creux" souvent avancés et utilisés en fonction des rapports de force des protagonistes.
Le reste n'est que blabla...
