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Kaïs Saïed : la solution doit être radicale, ou elle ne sera pas !
17/01/2025 | 07:16
2 min
Kaïs Saïed : la solution doit être radicale, ou elle ne sera pas !

Le président de la République, Kaïs Saïed, a présidé, jeudi 16 janvier 2025, une réunion du Conseil des ministres au palais de Carthage, indique un communiqué publié au milieu de la nuit à 1h55. Lors de cette séance, il a mis l’accent sur la nécessité d’inscrire toutes les législations dans l’esprit et les objectifs de la Constitution, tout en appelant à un engagement accru des responsables pour répondre aux attentes du peuple tunisien.

Le chef de l’État a souligné l'importance de travailler avec une vision innovante et un esprit militant, plaçant l’intérêt supérieur de la nation au-dessus de tout. Selon lui, les approches traditionnelles, les solutions partielles ou les ajustements temporaires n'ont aucune utilité : « La solution doit être radicale, ou elle ne sera pas ! », a-t-il affirmé.

 

Révision du code du travail et fin de l'« esclavage déguisé »

Kaïs Saïed a longuement abordé le projet de révision du Code du travail ainsi que le projet de décret relatif à la sous-traitance, allant jusqu'à faire une comparaison avec l'esclavage. Dans ce contexte, il a rappelé que la Tunisie fut parmi les premiers pays à abolir l’esclavage. Il a estimé que cette responsabilité historique impose aujourd’hui de rompre avec toutes les formes contemporaines d’exploitation dissimulée sous des appellations qui devraient disparaître de la législation nationale.

Le président a également insisté sur la responsabilité des dirigeants,  les appelant à préserver l’indépendance des décisions nationales, qu’il qualifie de « l’une des plus sacrées des obligations et des charges les plus lourdes ».

 

R.B.H

17/01/2025 | 07:16
2 min
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Commentaires
Juan
Kais le radicaliste ................................
a posté le 17-01-2025 à 16:29
il veut supprimer les sous traitants .
il oublie que lui mème sous traite certaines taches à ses ministres ...
donc, il doit supprimer ses ministres ...
Bacchus
"Au choc des idées jaillit la lumière"
a posté le 17-01-2025 à 12:42
Sous couvert de l'article 37 de la Constitution qui stipule : Les libertés d'opinion, de pensée, d'expression, d'information et de publication sont garanties. Aucun contrôle préalable ne peut être exercé sur ces libertés. ». Et ayant une idée personnelle sur la portée de l'article 17 qui stipule : « L'Etat garantit la coexistence entre les secteurs public et privé et oeuvre à assurer la complémentarité entre eux sur la base de justice sociale. ». Et comme l'affirme Nicolas Boileau : «Au choc des idées jaillit la lumière ». Je pense et c'est mon opinion strictement personnelle que j'exprime librement : l'abolition pur et simple des sous- traitants ne serait pas une solution bénéfique aussi bien pour l'économie que pour le social. Certes le dossier des sous-traitants et des sociétés sous-traitantes devrait être abordé. Mais ceci doit être étudié au cas par cas. A titre d'exemple le service de pose et de remplacement des compteurs d'eau doit être retiré à la société sous-traitante et le rendre à la S.O.N.D.E, ainsi que pour l'électricité à la S.T.E.G. Par contre un syndic d'immeuble ou un cabinet libéral, s'il ne s'adresserait plus à une société pour le ménage hebdomadaire, il s'adresserait à une femme de ménage en noir ou le confierait à une secrétaire déjà employée. En conclusion : On doit résilier les contrats avec les sociétés sous-traitantes qui utilisent les entreprises publiques comme vaches laitières avec le plus souvent la complicité d'employés corrompus. Pour les autres sous traitants, il faut faire en sorte que les employés soient payés à hauteur de leurs efforts et bénéficient de la protection sociale. Ceci en appliquant les lois existantes sans avoir recours à de nouvelles lois. Sachant que le fait de ne pas payer les cotisations sociales d'un employé peut coûter des dizaines de milliers de dinars au profit de la CNSS. Et les délits fiscaux conséquents peuvent coûter de la prison, car quelqu'un qui n'a pas déclaré son employé à la CNSS ne va pas déclarer au fisc le gain généré par cet employé. Et les infractions du à cette acte sont: non versement dans les caisses de l'Etat de la tva payé par le client, et la retenue à la source sur le salaire de l'employé que l'employeur à prélever au profit de l'Etat et ceci est considéré comme vol de deniers publics.
riri
question surement bête
a posté le 17-01-2025 à 10:00
Y a t'il un seul ministre ou fonctionnaire qui a fait calculer le cout et les impacts de titulariser tout les intérimaires ou CDD dans les administrations? Si oui, peut on avoir ces mesures d'impact pour cette décision inédite au niveau mondial?

Who
3ème à gauche
a posté le 17-01-2025 à 08:16
C'est qui la personne en 3ème position à gauche ? J'espère que ce n'est pas N.S. Tout de même... Ils n'oseraient pas.
Youri Zayat
Allah ytwallak ya Who
a posté le à 11:32
Lol, non N.S. est sous la table pour souffler les mots à ks lorsqu'il beugue comme les souffleurs de théâtre à la belle époque. N.S est un homme d'ombre.

Je n'ai rien compris de ce charabia de la présidence de la République, ka3ba la. Tfachlim fi tfachlim.

Youri.
SALIM
ALLEZ VOIR UN OPHTALMO ET PROFITEZ DE LA SUSPENSION DES AUGMENTATIONS DES HONORAIRES DES MEDECINS
a posté le à 08:56
.........