
Le président de la République, Kaïs Saïed, a reçu, vendredi 3 mars 2023, le ministre des Affaires sociales, Malek Ezzahi au palais de Carthage.
À cette occasion, le président de la République a indiqué : « je vous rencontre, aujourd’hui, pour discuter de certaines questions en rapport avec la situation économique et sociale des Tunisiens, qui est désormais la question primordiale. Il y a plusieurs ennemis qui guettent le peuple. Aujourd’hui, c’est l’heure de rendre des comptes, et il n’y a aucun retour sur cette décision, parce que c'est une revendication légitime du peuple tunisien. Malheureusement, aujourd’hui, il y en a qui s’allient avec ceux qui tentent d’échapper à la reddition des comptes, mais nous nous sommes engagés à préserver le moindre sou des Tunisiens ».
Le président de la République ajoute : « D’autre part, certains invitent des étrangers à manifester sur notre territoire, or cela est inacceptable à tous les niveaux. Qu’ils traitent avec eux comme étant des institutions, mais la Tunisie n’est ni une ferme, ni un pré, ni une terre sans maître. Je saisis cette occasion pour rappeler les positions de l’UGTT en 1977 et 1978. Celui qui veut manifester est libre, mais il n’a pas à inviter les étrangers pour y participer ».
Le président de la République a rappelé les positions de la centrale syndicale exprimées en 1978, en reprenant le journal Echaâb, citant ses revendications à caractère social à l’époque. « Pourquoi protestent-ils aujourd’hui? Pour contester la reddition des comptes? Pour défendre les corrompus? Y a–il une répression des libertés? Y a t-il un État dans le monde qui accepte un plan d’assassinat du président de la République? ».
Le chef de l’État poursuit : « Notre objectif est de préserver la dignité humaine et de parvenir à une justice sociale. Pourquoi sommes-nous en conflit? ».
Pas moins de quatorze organisations syndicales étrangères ont planifié d’envoyer des représentants pour participer à la grande manifestation qu’organise demain, samedi 4 mars 2023, la centrale syndicale UGTT.
Les représentants de ces organisations risquent cependant de ne pas pouvoir fouler le sol tunisien, craignent plusieurs membres de l’UGTT.
D’ores et déjà, la police tunisienne des frontières a refoulé jeudi 2 mars Marco Perez Molina, chargé de la coopération avec l'Afrique et l'Asie au sein de la CEC UGT Espagne, venu assister à la manifestation de demain.
À noter que ces quatorze organisations ne sont même pas invitées par l’UGTT, elles ont annoncé leur participation de plein gré en solidarité avec l’UGTT et son militantisme contre le régime de Kaïs Saïed.
On rappellera que les autorités tunisiennes compétentes ont sommé la secrétaire générale de la Confédération européenne des syndicats, Esther Lynch, de quitter le territoire tunisien le 18 février dernier. Esther Lynch avait pris part, à Sfax, à une marche organisée par l’UGTT.
S.H
Ce serait plus simple de nous le dire, histoire de savoir dans quel nids de guêpes ne pas mettre les pieds.
J'ai jamais vu de ma vie une personne aussi complotiste et sous une telle psychose de l'autre.
C'est du domaine médical je crois.
Pas du tout mes compétences.
Cet individu est un vrai malade, mais il faut le comprendre ,ce petit retraité de l'enseignement n'a que des théories du complot à offrir à la populace. C'est l'effort maximum que le "j7aiiech" peut fournir, comme dit le proverbe. Avec Kaisollah Zammour il n'y aurait ni prospérité, ni dignité, le pays continuera sa chute libre exponentiellement accélérée.
logique despotique.
Paradoxal non ?
Dans ce cas précis, il est à un million pour cent hors contexte.
Parfois, l'ignorance est une bénédiction.....
Nous ferons avec, comme nous le faisons depuis le débarquement de la brouette.
y a pas eu de noirs assassinés en TN.
en isra-HELL, les palestinos tombent comme des mouches sous les balles de l'armée fasciste de isra-HELL, qui vous bourre le crane par son Shoah et ses 6 000 000 de mensonges ...
J'estime que les étrangers ne peuvent entrer sur le territoire national uniquement s'ils ont des objectifs pacifiques et qui n'ont aucune intention belliqueuse ni de troubles à l'ordre public.
Tout étranger sur le territoire national est un invité et se doit de respecter l'ordre établi, les us et coutumes et les valeurs du pays qui l'accueille.
Ils n'ont aucune légitimité ni absolument pas le droit de se positionner sur les affaires intérieures , ni de participer à quoi que ce soit de politique.
Tous ceux qui nous sont hostiles n'ont rien à faire chez nous et ne doivent ni être reçu etr sont de fait persona non grata
Traiter de machin.... et globaliser, incriminer les tunisiens qui "viennent illégalement en France", situe le machin.
Je vais te dire un truc, machin. J'étais gamin, les soldats français occupaient mon village, une société Franco-belge exploitait le sous-sol, et des colons tenaient toutes les terres, et l'ordre était français.
On ne disait pas à tous étrangers, rentrez chez vous. On était regardé par eux comme inférieurs.
Je ne te dis pas plus.
L'Histoire se répète, une fois en farce, parfois en tragédie.
Notre tragédie c'est de vous avoir comme amis, et de subir les islamistes vos agents et serviteurs bien connus.
En France, vous en prenez prétexte pour nous désigner en responsables de vos malheurs; en Tunisie, vous prenez prétexte de tout pour venir à leur secours.
Je vous suggère d'être aussi vaillants face à l'Oncle Sam qui vous déshabille, vous volé, vous espionne, vous commande et décide pour vous.
Si tu veux de plus amples détails, la suite t'attend.
Je connais toutes sortes de lâchons, ou trucs comme toi, ou un peu différents. Ils ont tous en commun cette suffisance de celui qui croit en son exceptionnelle race.
Je n'ai rien faire avec vos choix politiques, bien que je vive en France où j'ai travaillé 42 ans durant, et pas volé ni tué, ni pris sans y avoir droit quoi que ce soit.
Je me sens insulté par le premier quidam qui se lève pour nous mettre tous dans un paquet, telle une marchandise.
Nous sommes, je suis, vos égaux, ton égal.
Et, il se pourrait que par ma vie, mon ouvrage, ma conduite je sous meilleur que toi.
Il faut descendre de ton piédestal.
Arrêtez de nous faire la leçon.
Au mieux tu devrais demeurer modeste.
Je n'ai jamais attenté à la dignité d'autrui. Je me suis toujours défendu.
Je n'ai pas accepté les humiliations, hier, et pas davantage les saillies primaires, insultantes aujourd' hui.
Ton pays présumé, ton étrangeté affichée, ne sont pas des motifs justifiant ton apostrophe vulgaire.
Tu reçois ma colère.
Tente d'en saisir le motif, la visée.
Sur ce coup, un bon point marqué contre les leaders de L'UGTT!
La phrase qui résume sa vision du pouvoir et qui est la plus dangereuse : " une terre sans maître ". On n'est plus des citoyens, on est des RA3IYA. On est ses sujets qui doivent se soumettre de gré ou de force.
Son discours est décousu, comme d'habitude aucune cohérence et organisation dans la forme et le contenu de ses idées. Le côté pathologique devient patent.