
La secrétaire d’État auprès du ministre de l’Emploi, chargée des entreprises communautaires, Hasna Jiballah, a dévoilé, mercredi 18 décembre 2024, lors d’un colloque scientifique international sur les sociétés communautaires, de nouvelles mesures et facilités en faveur de ces entreprises, qui entreront en vigueur en 2025.
Hasna Jiballah a déclaré que « l’exploitation des terres domaniales ne sera plus un monopole des sociétés communautaires après l’amendement de la Loi nº 95-21 relative aux immeubles domaniaux agricoles ». Elle a précisé que le texte juridique, qui maintient la priorité accordée aux sociétés communautaires pour l’exploitation des terres domaniales, prévoit également un ensemble d’avantages pour les coopératives, les entrepreneurs privés et les titulaires de diplômes supérieurs.
La secrétaire d’État a souligné qu’actuellement, 124 entreprises communautaires sont légalement constituées et que le nombre d’entreprises réellement actives devrait bientôt atteindre trente.
Elle a ajouté que « le chef du gouvernement a promis de présenter cet amendement au prochain Conseil ministériel, en vue de son adoption par décret présidentiel ou de sa soumission à l’Assemblée des représentants du peuple ». Elle a affirmé qu’une fois la loi adoptée et publiée, 120 sociétés communautaires locales et régionales entreront en activité.
Hasna Jiballah a également annoncé l’octroi d’une subvention de solidarité de 20 000 dinars pour chaque société communautaire afin de renforcer leur trésorerie, en plus d’une prime mensuelle de 800 dinars. Elle a expliqué que la création des entreprises communautaires repose sur des initiatives spontanées des habitants d’une région, adaptées aux spécificités locales.
Les sociétés communautaires interviennent dans divers secteurs, principalement l’agriculture et l’environnement, notamment à travers la valorisation et le recyclage, mais aussi dans l’artisanat, le transport terrestre et d’autres activités en fonction des particularités de chaque région.
I.N.

1 nous concocter tout un dossier sur ces sociétés civiles qui en fait ne seraient que des sociétés gérant les biens communautaires agricoles ou autres
2 demander aux spécialistes, face au silence des promoteurs politiques de cette affaire ou ces affaires, de nous expliquer les visées derrière tout cela
3 nous éclairer sur de telles sociétés existantes : celle de Beni Khiar dont le public connait l'existence et sûrement d'autres occultées
4 le rôle de certaines associations dans la promotion de ces sociétés
Y aurait-il une corrélation entre les dates de lancement de nouvelles telles sociétés et le début de l'exportation de l'huile
Beaucoup plus d'autres questions que le citoyen lambda se pose et dont il ne trouve pas de réponses officielles ou vulgarisées
Il est très fatiguant et malsain de deviner ces réponses
Si t aimes voir ta femme et tes filles en string c est tonchoix mais ici on juge les idees et les resultats de leur politique
On ne va pas entrer dans le détail de la haute couture ou la couleur de la cravate ou de la pochette aurait même une signification, le choix du tailleur, chemise ou autres accessoires, boutons de manchettes, tie bar, etc., faudrait impérativement montrer à ces individus la signification et les cas d'usage du business, formal, simple, casual, smart, etc. Ceci ressort du savoir vivre tout simplement, et est capital dans ce genre d'événement. Sinon notre cher président et ses ministres pourraient également s'habiller quotidiennement en Barnous et Jebba, comme les talibans avec leurs Perahan et Tunban. Rien de plus attirant et exotique, notamment pour composer et faire des affaires avec eux !
Quant il y a consensus, mieux vaut le respecter, que de s'afficher de la sorte, au risque de s'attirer les moqueries et d'être casé marginal et goujat.
'?duquez-vous, l'éducation vestimentaire existe bel et bien ! Ce n'est pas l'essentiel mais c'est très important.
On n'a jamais une deuxième chance de faire une première bonne impression. Et celle-ci débute visuellement !
Les terres domaniales sont la propriété temporaire de l'état, la confiscation de ces propriétés étaient illégales et accomplies sous la règle du plus fort et non pas en suivant un processus légal surtout dans la liquidation des Hbous.
Ces terres ne sont pas la propriété du Président. Les offrir a ses partisans, des amateurs, garantit l'échec.
L'Agriculture n'est pas un jeu, c'est un métier, une profession qui exige des connaissances et un savoir faire.
Ben Salah a crée des organisation qu'il appelait coopératives mais ces organisations ne l'étaient pas. Elles reproduisaient les structures soviétiques des kolkhoz. KS a recrée les kolkhoz et les appellent sociétés communautaires. Les coopératives sont des sociétés ou les partenaires s'organisent de leur propres grès et avec leurs propres moyens, pour fédérer leurs efforts. Les kolkhoz exploitent les terres appartenant a la collectivité/le peuple et sous la direction du gouvernement mais sans l'accord du peuple.
Ce qu'on appelle sociétés communautaires ne respectent pas ce concept tel que définit par les instituts qui étudient le sujet. Des éléments essentiels manquent dans le projet de KS tel que la micro-finance...

