
L'ancien ministre et ancien dirigeant nahdhaoui, Imed Hammami, a exprimé sa satisfaction quant à l'avancement de la situation politique en Tunisie. Il a considéré que le processus entamé par le chef de l'Etat, Kaïs Saïed, avait cumulé les succès et les preuves de patriotisme. Il a expliqué que l'entrée en vigueur de la nouvelle constitution à la date du 25 août 2022 allait faciliter la situation et mettre fin à l'état d'exception.
Invité le 15 août 2022 par Malek Khaldi sur les ondes de la radio Shems FM, Imed Hammami a considéré que la fin de l'état d'exception pouvait conduire au limogeage de la cheffe du gouvernement, Najla Bouden. Il a estimé qu'un remaniement ministériel dépendait de la prestation du gouvernement et que ceci était devenu nécessaire en raison de la défaillance de certains ministres. Il a considéré que le rendement de Najla Bouden s'était amélioré durant les derniers mois. Il a, aussi, salué la prestation des ministres de l'Intérieur, de la Justice, de la Santé, des Affaires sociales et de l'emploi et de la Formation professionnelle. Il a évoqué une absence d'efficacité au sujet des négociations avec le Fonds monétaire international. Il a salué la performance du gouverneur de la Banque centrale de Tunisie, Marouen Abassi et n'a pas évoqué la ministre des Finances, Sihem Nemsia.
Imed Hammami a appelé à un changement profond au sein du gouvernement dans le but de former un gouvernement de lutte contre la corruption et capable d'apporter un changement au niveau de la situation économique et sociale. « Il nous faut un gouvernement capable de changer le quotidien difficile des Tunisiens, un gouvernement capable de créer des emplois, capable de répondre aux attentes des Tunisiens et de barrer la route aux tentatives d'atteinte au processus du 25 juillet » a-t-il poursuivi.
Au sujet du sursis d'exécution de la révocation des magistrats promulgué par le tribunal administratif, Imed Hammami a estimé que ceci était une preuve de l'indépendance de la justice tunisienne en temps du conseil provisoire de la magistrature. Il a, aussi, estimé que le ministère de la Justice ne faisait qu'exercer ses prérogatives. Le ministère avait émis un communiqué affirmant que les magistrats en question faisaient l'objet de poursuites judiciaires. Il a affirmé qu'il préférait éviter de se prononcer sur les enquêtes et les affaires judiciaires. Il a exprimé son étonnement quant à l'affaire concernant la société Instalingo. Il a expliqué qu'il n'avait pas eu de relation avec l'association Namaa. Il a assuré que les dirigeants politiques d'Ennahdha n'avaient pas accès à ce genre de données et que le président du mouvement, Rached Ghannouchi, s'assurait de garder un flou à ce sujet.
Imed Hammemi a considéré que le discours de la première dame, Ichraf Chabil à l'occasion de la Fête de la Femme, à la date du 13 août 2022, était satisfaisant et que les critiqués adressés à ce sujet étaient infondés. Il a estimé que des féministes cherchaient à monopoliser le combat pour les droits de la femme.
L'ancien ministre a, aussi, insisté sur l'impact positif de l'entame d'un dialogue tripartite entre le gouvernement, l'UGTT et l'Utica. Il a considéré que cette rencontre était la première étape d'un dialogue social permettant de procéder à des réformes.
Imed Hammami a affirmé que la constitution de 2022 était meilleure que celle de 2014 et qu'il n'y avait pas de raison de craindre un éventuel régime autoritaire. Il a estimé que la révision de la constitution était possible en cas de déviation de la trajectoire. Il a assuré qu'il y avait suffisamment de garde-fous dans ce texte pour prévenir d'un retour vers la dictature.
S.G
Tout le monde sait qu il faut un nouveau gouvernement de competences et surtout d experience politique sauf notre President ou il fait la politique de l autruche
De toute les facons le President sera gagnant simon il va le regreter au prochaines elections
Aujourd hui les Tunisiens ne savent plus sur quel pied dancer surtout de ce qui se passe au ministere de la justice
Aucune dignité, aucun honneur !
La règle est simple comme bonjour. On peut démissionner, quitter ou même concurrencer son parti dans les normes de l'honnêteté humaine. Mais néanmoins, on ne peut pas le trahir au profit de ses ennemis. C'est une lâcheté impardonnable et impossible à guérir.
Celui qui trahit une fois, il trahira toute sa vie.
Ce Hammami pense qu'après avoir trahi son parti d'Ennahdha, il pourra encore trouver quiconque pourrait lui faire confiance. Il prend le président Kaïs Saïed qui a déjoué tout le monde, pour un débile qui va lui faire confiance.
Parce que ce chauve-souris Hammami est natif de Menzel Bouzelfa, à deux pas de Béni Khallèd, région dont le président Kaïs Saïed renie circulairement, il pense pouvoir y profiter d'un quelconque régionalisme des débiles.
Ce lèche-bottes de Kaïs Saïed, ne finira que dans la poubelle de l'avenir de la Tunisie.
Allah yomhil wèlè yohmil.
Donc ce sujet n'est pas de l'apanage des mediocres et de surcroît escrocs nahdha des destructeurs.