et camp de Maater-Ben Amor...
C'est rigolo.
Le dernier communiqué estampillé CPR et signé par Imed Daïmi ressemble comme deux gouttes d’eau à la danse du coq égorgé, comme l’a qualifié son « camarade » Abdelwaheb Maâtar.
Suite au conseil national exceptionnel organisé ce week-end par le parti, il a été décidé de retirer la confiance à un certain nombre de dirigeants du CPR dont son secrétaire général Imed Daïmi (voir notre article à ce sujet). C’est Samir Ben Amor qui dirige désormais le CPR si l’on se base sur les décisions prises ce week-end et communiquées officiellement par les médias.
Il se trouve cependant que Imed Daïmi conteste les décisions de ce congrès et crie haut et fort à la supercherie. Exactement la même position que celle de Samir Ben Amor et Abdelwaheb Maâtar qui ont contesté le congrès exceptionnel organisé en février par Daïmi (voir notre article à ce sujet).
Dans un communiqué publié tard le soir du dimanche 27 mars, Imed Daïmi signe en sa qualité de secrétaire général du CPR et souligne que les décisions prises par le conseil exceptionnel sont nulles et non avenues puisque la réunion en question serait illégale à ses yeux.
Il épingle ceux qui diffusent les communiqués du CPR d’être (au choix) démissionnaires du parti, démissionnaires du bureau politique ou encore d’être minoritaires qui ont refusé la décision de la majorité. Imed Daïmi accuse in fine tout ce beau monde d’être des usurpateurs d’identité !
Il invite à la fin les médias à éviter la publication de tout communiqué portant le nom du CPR tant que ce communiqué ne porte pas sa propre signature ou celle du bureau politique.
Or, si l’on se base sur les décisions prises ce week-end, Imed Daïmi est déchu de son poste et n’a théoriquement plus le droit de parler au nom du CPR…
Un parti de zinzins, dites-vous ? Ils l’ont dit eux même déjà et, par cet épisode, ils ne font qu’apporter une nouvelle preuve.
R.B.H.
Le dernier communiqué estampillé CPR et signé par Imed Daïmi ressemble comme deux gouttes d’eau à la danse du coq égorgé, comme l’a qualifié son « camarade » Abdelwaheb Maâtar.
Suite au conseil national exceptionnel organisé ce week-end par le parti, il a été décidé de retirer la confiance à un certain nombre de dirigeants du CPR dont son secrétaire général Imed Daïmi (voir notre article à ce sujet). C’est Samir Ben Amor qui dirige désormais le CPR si l’on se base sur les décisions prises ce week-end et communiquées officiellement par les médias.
Il se trouve cependant que Imed Daïmi conteste les décisions de ce congrès et crie haut et fort à la supercherie. Exactement la même position que celle de Samir Ben Amor et Abdelwaheb Maâtar qui ont contesté le congrès exceptionnel organisé en février par Daïmi (voir notre article à ce sujet).
Dans un communiqué publié tard le soir du dimanche 27 mars, Imed Daïmi signe en sa qualité de secrétaire général du CPR et souligne que les décisions prises par le conseil exceptionnel sont nulles et non avenues puisque la réunion en question serait illégale à ses yeux.
Il épingle ceux qui diffusent les communiqués du CPR d’être (au choix) démissionnaires du parti, démissionnaires du bureau politique ou encore d’être minoritaires qui ont refusé la décision de la majorité. Imed Daïmi accuse in fine tout ce beau monde d’être des usurpateurs d’identité !
Il invite à la fin les médias à éviter la publication de tout communiqué portant le nom du CPR tant que ce communiqué ne porte pas sa propre signature ou celle du bureau politique.
Or, si l’on se base sur les décisions prises ce week-end, Imed Daïmi est déchu de son poste et n’a théoriquement plus le droit de parler au nom du CPR…
Un parti de zinzins, dites-vous ? Ils l’ont dit eux même déjà et, par cet épisode, ils ne font qu’apporter une nouvelle preuve.
R.B.H.