
Hechmi Louzir s’exprimait sur les ondes de Shems FM au sujet de l’efficacité d’un confinement en tant que mesure préventive pour limiter la propagation du virus SARS-Cov-2 responsable de la pandémie Covid-19.
Il a précisé, dans ce sens, qu’un confinement de deux à trois semaines pourrait être efficace uniquement s’il est suivi d’une campagne de vaccination.
Selon le ministre de la Santé, Faouzi Mehdi, la Tunisie recevra les premières doses du vaccin anti-Covid à partir de février. La première phase de la campagne de vaccination débutera dès la réception des vaccins et concernera tous les professionnels de la Santé, les équipes des centres Covid, de dépistage et de vaccination, notamment.
Le directeur de l’Institut Pasteur de Tunis a indiqué, par ailleurs, que le Comité scientifique en charge de la lutte contre le Covid-19 n’avait pas proposé de confinement généralisé de par l’impact négatif que cela pourrait avoir sur la santé mentale des individus en particulier les élèves et les étudiants notant que certains pays ont enregistré des cas de dépression parmi la population estudiantine.
Hechmi Louzir a ajouté que la situation épidémiologique aurait été moins grave si les mesures annoncées par le gouvernement avaient été respectées.
La Tunisie est, rappelons-le, entrée dans la phase 4 de la propagation de la pandémie Covid-19. Le dernier bilan du ministère de la Santé fait état de 197.373 cas cumulés de Coronavirus et 6.234 décès, depuis le début de la pandémie.
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N.J.


Ne voulant pas à Pasteur moisir
Se prend pour le grand vizir
Voyant avec déplaisir
Corona le laisser sur le tapis gésir
Le gouvernement il essaye de saisir
pour l'influencer dans ses désirs
Qu'il essaye de se ressaisir
Car Pasteur l'observe avec déplaisir
Sur son boulot,la politique choisir.
2. On ne peut pas empêcher les gens de travailler parce que le pays n'a pas les moyens pour subvenir à leurs besoins, on a juste à les accompagner pour réduire les dégâts sanitaires, sociaux, et économiques.
3. On a à faciliter les mouvements des citoyens dans leur quotidien, et à organiser les activités reliées à l'approvisionnement et au défoulement, en plus du matraquage positif pour rendre les gestes barrières des réflexes systématiques chez eux.
On n'a malheureusement pas de têtes patriotes au sommet de l'Etat, le savoir-réfléchir capable d'inventer ou de réinventer des techniques gratuites de lutte contre l'épidémie et ses ramifications sociales et économiques, est absent. En attendant la troisième république, inévitable vu l'échec cuisant de la république actuelle et de ses symboles, les tunisiens n'ont qu'à compter sur eux-mêmes pour survivre!
n'importe quelle mesure de confinement deviendra sous peu inefficace ; la nouvelle variante est en train de se propager rapidement en Tunisie et remplacera l'ancien modele d'ici mars 2012
https://www.youtube.com/watch?v=HdogWjPwrdc
confiner les politiques quelques semaines
confiner les journalistes(tous) idem (cnn n a plus le decompte covid sur sa chaine depuis l arrivée de bidon )
reprener une vie normale sans etre masqué car ca sert à rien sauf dans un bal masqué!!
ouverture des commerces comme d habitude et à fond sur le lablabi ca chauffe l hiver
ouverture des theatres cinemas etc
planifier les mariages suspendus vers le printemps et vive la fete
un peu de sport
un peu de soleil pour plus de vitamine D
un peu de zinc c bon !!! (dans la viande rouge foie de veau !!)
vitamine C
et s occuper de nos anciens passer plus de temps avec eux car etre seul et agé c est DUR
refuser tout confinement et tout couvre feu dans le calme car un peuple qui a peur va payer alors VACCINEZ VOUS CONTRE LA PEUR ET VIVE LA VIVE et si il y a la mort il y a la vie vivons pour l instant et mourrons plus tard
Il faut supposer que pendant un mois, ces trois variantes sont six à huit fois plus contagieuses.
J'espère qu'on n'en arrivera pas là, mais c'est tout à fait concevable. On ne saurait trop mettre en garde contre l'illusion de croire que l'été va largement arrêter la pandémie, comme cela a été le cas l'année dernière. Les trois variantes ne disparaîtront pas simplement parce que le temps s'améliore.
Il est probable que nous aurons besoin d'un confinement très dur et très efficace, car les nouvelles variantes sont d'un calibre très différent. Ils ont à nouveau un potentiel de menace très différent.
Il est particulièrement préoccupant de constater qu'une fois que les personnes se trouvant dans des établissements de soins et celles de plus de 80 ans sont vaccinées, leur volonté de prendre des précautions telles que garder leurs distances et porter des masques pourrait encore diminuer. Ensuite, les trois variantes se répandront si vite qu'on ne peut pas regarder aussi vite.
Le nombre de cas/nouvelles infections et le nombre de victimes ont considérablement diminué ces derniers jours.
Il semble que la vaccination fonctionne.
Si cette prise de conscience prévaut, il n'y a plus de justification pour une prolongation du couvre feu, sauf l'arbitraire politique.
Il ne nous reste plus qu'à voir si, dans l'essai humain actuel,
dans un délai de quelques semaines/mois présentera des effets secondaires nocifs du vaccin.
Le fait qu'Israël ait été approvisionné si abondamment en vaccins n'a bien sûr rien à voir avec le fait que le patron de Pfizer, Bourla, ait des racines juives. Et non pas avec le fait que l'Allemagne, où le vaccin Biontech a été développé et cofinancé avec plusieurs millions de fonds publics allemands, doit passer au second plan en ce qui concerne le nombre de doses de vaccin.
Si ces anticorps monoclonaux neutralisants étaient administrés dans la phase la plus précoce, c'est-à-dire au maximum trois jours après un test PCR positif ou au maximum dix jours après l'apparition des symptômes, ils sembleraient convenir pour réduire l'évolution grave de la maladie.
Les anticorps devraient être administrés de manière préventive, avant qu'une évolution grave de la maladie ne se produise. Les personnes infectées présentant un risque élevé d'évolution grave pourraient donc bénéficier davantage si on leur administrait ces préparations d'anticorps à un stade précoce. Ces médicaments pourraient convenir à des situations qui sont actuellement fréquentes en Allemagne, par exemple pour les poussées de corona dans les maisons de retraite. Dans de telles situations, il serait très bon que les médecins disposent de médicaments qui pourraient être utilisés pour atténuer l'évolution de la maladie chez les patients à haut risque rapidement après que l'infection a été diagnostiquée, réduisant ainsi également le risque de décès.
Je trouve criticable que de telles approches ne soient suivies que maintenant en Allemagne, que des investissements n'y aient pas été faits plus tôt et que pendant trop longtemps on ait fait une fixation unilatérale sur les vaccinations, laissant ainsi d'autres possibilités s'effacer.
Les médicaments destinés à réduire la charge virale sont importants car la maladie de Corona n'est pas toujours une question de vie ou de mort. C'est parce que les survivants pourraient être confrontés à de graves conséquences à long terme. On peut supposer que ces conséquences sont moins graves si l'évolution aiguë de la maladie est plus douce.
Ces médicaments semblent pouvoir y contribuer. C'est une autre raison pour laquelle le ministre aurait dû les inclure plus tôt.
Les médicaments monoclonaux sont un autre moyen de combattre le coronavirus. Ces médicaments, qui correspondent à deux produits des sociétés américaines Regeneron et Eli Lilly, n'ont jusqu'à présent reçu qu'une autorisation d'urgence aux '?tats-Unis et aucune autorisation dans l'UE.
Ils en sont encore au stade des études scientifiques et les hôpitaux universitaires en ont l'expérience. Il est maintenant nécessaire de savoir si l'utilisation de ces médicaments chez les patients à risque infectés à un stade précoce atténue l'évolution de la maladie et réduit le risque de décès.
Il doit toujours être clair que les patients "sont en fait des participants à l'étude".
Dans le cas des médicaments sans autorisation de mise sur le marché, il ne faudrait pas que, comme dans le cas de la vaccination russe "Spoutnik", on administre simplement quelque chose sans faire référence à l'issue ouverte du procès.
C'est une thérapie très couteuse. Le gouvernement allemand a payé 400 millions d'euro pour les 200000 doses donc 2000 euros par dose et il n'est pas clair combien de doses on administre à un seul patient. Le problème le plus grave est ce médicament ça n'aide pas dans les cas qui se compliquent donc ils doivent être administrés rapidement après détection de l'infection et a priori on ne sait pas l'évolution car ça dépend de la personne. Ca reste un des outils pour les personnes les plus vulnérables, personnes âgées, avec des antécédents etc.
1. Le CdG doit encadrer lui-même les tunisiens par des apparences médiatiques régulières, ou à travers un conseiller, compètent et honnête, pour atteindre la conscience des tunisiens.
2. Elargir le comité scientifique pour inclure des sociologues et des économistes.
3. Etudier les effets, positifs et négatifs, des divers vaccins utilisés, le retard de vaccination doit au moins servir a quelques chose.
Dommage, la deuxième république manque sévèrement de compétence et de patriotisme, ce qui a ruiné ce pauvre pays.

