
Dans une déclaration accordée le 21 septembre 2024 à Mosaïque Fm, le président de l'Ordre national des avocats Hatem Mziou a considéré qu'il n'y avait pas lieu de parler de révision de la loi électorale à dix ou quinze jours de la présidentielle du 6 octobre 2024.
Hatem Mziou a qualifié cet amendement d'inacceptable. Il a critiqué le recours à une révision de cette loi et à un changement des règles du jeu en pleine campagne. Il a appelé les élus à reporter la révision de la loi électorale afin de veiller au respect des règles de la concurrence loyale et de la stabilité du processus électoral.
Le président de l'ordre des avocats a considéré qu'on devait respecter les décisions émises par la justice et ne pas tomber dans l'impulsivité.
Pour rappel, des élus ont déposé une proposition de loi excluant le tribunal administratif du processus électoral et le remplaçant par la justice judiciaire. Ce texte prévoit que les nouvelles dispositions soient appliquées à la présidentielle du 6 octobre dont la campagne a été entamé depuis une semaine.
Cette proposition est liée à la situation politique tendue du pays. Le tribunal administratif a donné gain de cause à trois candidats dont les dossiers ont été rejetés par l'Instance supérieure indépendante pour les élections : Mondher Zenaidi, Abdellatif Mekki et Imed Daïmi. Néanmoins, l'instance a choisi de ne pas appliquer cette décision prétextant un manque de clarté dans le jugement prononcé par la cour.
Notons qu'il y a sept mois, le candidat et chef de l’État, Kaïs Saïed assurait au président de l’instance électorale, Farouk Bouasker, qu’il n’y avait aucune raison justifiant un amendement de la loi électorale.
S.G
n a rien a accepter ou ne pas accepter car les deputes representent la volonte du peuple mais non Mr. Meziou, qui ne represente que les interets d une corporation professionnelle, ni plus ni moins..
Demandez à n'importe quel observateur politique de ce monde, s'il pouvait vous expliquer un tant soit peu, comment un retraité de l'enseignement supérieur Kaïs Saïed, sans la moindre éducation politique ni le moindre passé militant, a-t-il pu soumettre la Tunisie à la volonté des ennemis des révolutions et de la démocratie dans le monde arabe, les Egyptiens du Saffah Sissi, jusqu'à aller lui serrer la main à ce plus grand sanguinaire contre son propre peuple égyptien, ce fils de la Marocaine juive, le Saffah Sissi, en un jour sacré des Tunisien, le 9 avril 2021, trois mois avant son coup d'Etat du 25 juillet 2021.
Notre président Kaïs Saïed, qui nous parle toujours du fond profond de l'histoire humaine jusqu'à l'antiquité, ne pouvait ne pas avoir vu de ses propres yeux, comment ce Saffah judaïque Sissi d'Egypte, avait massacré des milliers de nos frères les Egyptiens musulmans, jusqu'à leur avoir mutilé leurs cadavres par des bulldozer, comme s'ils étaient des cadavres d'animaux contagieux. Des scènes impossible à oublier ou à pardonner par n'importe quel être humain de conscience sur ce globe terrestre. Que dire donc d'un Musulman pratiquant comme le président Kaïs Saïed!!!
Est-ce que le pouvoir aveugle à ce point?
Allah yostir Tounes.