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Ghannouchi se rend à l'ambassade palestinienne pour exprimer sa solidarité
08/12/2017 | 12:29
1 min
Ghannouchi se rend à l'ambassade palestinienne pour exprimer sa solidarité

Une délégation d’Ennahdha conduite par son président Rached Ghannouchi s’est rendue, ce vendredi 8 décembre 2017, à l’ambassade palestinienne à Tunis.

 
A cette occasion, M. Ghannouchi a exprimé la solidarité du mouvement ainsi que l’ensemble du peuple tunisien avec la cause palestinienne, notamment après la décision du président américain, Donald Trump de reconnaitre officiellement Al-Quds comme capitale d‘Israël. Il a, également, exprimé le refus du mouvement de cette décision et sa vive condamnation.
 
 
 
Etaient présents le président du Conseil de la Choura Abdelkarim Harouni, le président du bloc parlementaire Noureddine Bhiri ainsi que les deux députés Latifa Habbachi et Oussema El Sghir.
 
I.N

 

08/12/2017 | 12:29
1 min
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Commentaires (28)

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veritas
| 09-12-2017 08:40
http://kapitalis.com/tunisie/2017/12/08/tunisie-les-islamistes-amis-des-etats-unis-manifestent-pour-al-qods/

antireligions
| 08-12-2017 21:31
celui qui ne baisse pas la tête ni devant guhannouchi ni autre , moi je ne tiens pas en tête la panoplie de ce qu'a fait ou ce qu'a réussi guhannouchi ou autre , moi je m'en fiche éperdument de ce type et de tous ceux qui sont comme lui , en plus j'ai horreur de ceux qui applaudissent et crient de joie au passage des hommes politiques c'est à dire les minables

Gabès-la-polluée
| 08-12-2017 20:41
D'une capitale à l'autre. L'information est passée relativement inaperçue, mais le New York Times s'en est fait l'écho au début de la semaine. Le mois dernier, le prince héritier d'Arabie saoudite, Mohammed ben Salmane (MBS), a rencontré le chef de l'autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, et lui a fait une proposition pour le moins inattendue : renoncer à faire de Jérusalem-Est la capitale du futur État palestinien au profit d'Abu Dis, localité située au sud-est de la ville sainte.
Hors contexte, la suggestion est proprement incompréhensible : comment MBS, futur roi d'Arabie saoudite, peut-il suggérer à l'allié palestinien d'abandonner ce principe fondateur et faire ainsi le jeu de leur ennemi commun, Israël ? L'explication se trouve dans la redistribution des cartes au niveau régional.
Contrer les offensives iraniennes
L'Arabie saoudite est aujourd'hui engagée dans un bras de fer contre l'Iran pour des raisons de prééminence à la fois religieuse (sunnites contre chiites) et géopolitique. En l'espace de quelques années, Téhéran a avancé ses pions en Irak, en Syrie, au Liban, plus récemment au Yémen, et Riyad voit dans ce voisin aux ambitions nucléaires affichées une menace bien plus préoccupante que celle théoriquement représentée par l'État hébreu.
De leur côté, les autorités israéliennes sont arrivées aux mêmes conclusions. D'autant que les forces iraniennes sont présentes massivement en Syrie et qu'elles continuent à armer le Hezbollah libanais. Il a suffi de ce commun dénominateur pour rapprocher l'Arabie saoudite d'Israël sans toutefois qu'une reconnaissance soit envisagée à ce stade.
La proposition ébouriffante de MBS s'inscrit dans ce contexte inédit. Lever l'obstacle représenté par Jérusalem-Est, c'est s'assurer une certaine reconnaissance de la part d'Israël mais aussi de Donald Trump, qui a décidé de faire de Jérusalem la capitale du seul État hébreu. Bref, c'est se ménager des alliés dans le grand jeu qui l'oppose à cette autre théocratie qu'est l'Iran.
Écarter Mahmoud Abbas
Il est peu probable que Mahmoud Abbas ait son mot à dire dans cette partie de billard alors qu'il est concerné au premier chef. MBS ne fait pas mystère de vouloir mettre à la retraite l'octogénaire président de l'autorité palestinienne pour lui substituer Mohammed Dahlan, autre compagnon de route de Yasser Arafat.
Reste à savoir si la méthode MBS, qui ignore les tabous et la diplomatie traditionnelle, fonctionnera. Car elle a déjà donné des résultats contrastés. Le ménage opéré dans la tentaculaire famille royale saoudienne a impressionné. En revanche, l'implication massive de l'armée saoudienne dans la guerre au Yémen n'a pas donné les résultats escomptés sur le plan militaire, et elle est partiellement responsable de la situation humanitaire catastrophique qui règne dans ce pays.

http://www.lepoint.fr/monde/jerusalem-le-spectaculaire-revirement-de-l-arabie-saoudite-06-12-2017-2177791_24.php#xtmc=arabie-saoudite&xtnp=1&xtcr=4

A4
| 08-12-2017 19:13
Tiens ! C'est pratique un gros ventre: ça fait des appuis-bras naturels !

HatemC
| 08-12-2017 18:10
Egypte, Irak, Jordanie, Palestine, Tunisie et Turquie ... Maroc et une centaine en Algérie ...

Or aucune manifestation dans les pays du golfe ... même pas au le Qatar le sponsor des merdolution zarabe .... HC

Letranger
| 08-12-2017 17:19
Tu oublies ses titres les plus importants:
1) classé comme terroriste
2) abonné à Rustica pendant plus d'un an

l'étrangère
| 08-12-2017 17:04
cher Monsieur, il ne faut jamais oublier de marquer une satire avec un smiley, si non les gens vous prennent au serieux!

A_Zut !
| 08-12-2017 17:01
C'est faute de pouvoir se rendre à l'ambassade des États-Unis pour exprimer sa dénonciation !

Carthage Libre
| 08-12-2017 16:34
La peste bubonique qui se pavane sur Tunis...Je me demande comment il se regarde dans une glace ce pestiféré ; certain que la glace explose quand il la regarde!

ew
| 08-12-2017 15:40
Je ne vois aucun article de la rédaction de BN parler de cette nouvelle qu'est la décision de Trump de délocaliser l'ambassade US à Jerusalem. On n'arrive même pas à relayer l'info sans commenter ni exprimer l'avis de quiconque du journal. Est ce une pure omission ou ...