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Depuis le balcon de l'UGTT, Ayari menace d'une grève générale dans le privé
31/10/2015 | 16:35
1 min
Depuis le balcon de l'UGTT, Ayari menace d'une grève générale dans le privé

 

Plusieurs dizaines de salariés se sont rassemblés ce samedi 31 octobre 2015 à la place Mohamed Ali devant le siège historique de l’UGTT. Chaque groupe d’ouvriers a brandi une pancarte sur laquelle on pouvait lire le nom de leur société avec un slogan en-dessous.

 

Au cours du rassemblement, les manifestants ont agité le drapeau national et celui de l’UGTT, en scandant des slogans tels que : « L’augmentation salariale n’est pas une aumône » et « Ayari, ne fais pas de marche arrière ! ».

 

Depuis le balcon du bâtiment, Belgacem Ayari, vice-secrétaire général de l’UGTT, a donné un discours devant la grande foule d’ouvriers qui occupait toute la place Mohamed Ali ainsi que les deux petites rues y menant. Le chef syndical a menacé d’une grève générale dans le secteur privé si les négociations avec l’UTICA n’apportent pas satisfaction aux revendications des salariés. Il a réitéré que les travailleurs du privé ne renonceront pas à leurs revendications et que l’UGTT est prête à aller jusqu’au bout pour défendre les intérêts des ouvriers dans ce secteur.

 

E.Z.

31/10/2015 | 16:35
1 min
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Commentaires (18)

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Najib
| 02-11-2015 11:28
Les tunisiens en ont marre de cette porcherie UGTT qui continue à polluer l'atmosphère en Tunisie .

Mohamed
| 02-11-2015 09:23
La première phrase de votre article a attiré mon attention "Plusieurs dizaines de salariés". La photo qui l'accompagne, pourtant d'un angle restreint le dément!
Venant de business news, ça ne m'a pas vraiment surpris.

les chevaux de l'apocalypse
| 02-11-2015 03:44
on importe une main d'oeuvre indienne qui n'exige pas beaucoup ou bien le pays va etre
ruine....je vis aux USA et la communaute indienne a grandit enormement ,merci aux entreprises americaines qui ont choisi de les embaucher parce qu'ils coutent moins cher que les americains et aussi ils sont bien en informatique ,il ne faut pas le nier

youcef
| 01-11-2015 19:36
L'UGTT a tort. C'est le moment et l'heure du travail. L'augmentation du salaire sans amélioration de la Productivité entraîne la diminution du pouvoir d'achat et non son augmentation. Que dire alors lorsque le rendement même du salarié est entrain de diminuer de plus en plus du fait qu'il n'a plus la volonté de faire son dû au travail (même pas le minimum)?! Cela ne peut engendrer que la dynamique d'échec et de déroute socio-économique. Il faut peut être distinguer la productivité et le rendement.

Zen
| 01-11-2015 19:04
Nous avons un probleme de communication entre investisseurs ( employeurs) et UGTT. Les syndicalistes sont illettrés, bornés,limités, et surtout inintelligents....La preuve : nous avons le chômage ...il faut des investissements privès....lesquels tardent â démarrer....â cause des grèves illimitées ...donc, il n'y aurait pas de création de jobs , au contraire, avec une conjoncture difficile ( fermeture des unités industrielles, baisse de la production nationale+ les déficits commerciaux et des capitaux, + dette qui s'amplifie,...etc )....où va t on ? Vers la faillite du pays....on va vendre le stade de Rades aujourd'hui....demain, c'est la vente des mines, de Tunis Air, des banques nationales.....que sais je ? Syndicalistes ,réveillez vous....vous etes entrain de faire couler votre pays.

palme
| 01-11-2015 15:26
les grèves en tunisie sont devenus un symbole , une spécialité du pays depuis la révolution , champions les tunisiens !!!!!!

TAW TCHOUFOU
| 01-11-2015 12:30
L'UGTT n'est plus ce qu'il était....ce n'est plus un syndicat pour la défense du travailleur et du travail pour tous , mais un semblant de parti politique qui détricote sans arrêt le tissu économique du pays !
Les exemples et les faits s'empilent les uns après les autres.
Ses leaders n'appellent plus " qu'à l'arrêt du travail et aux grèves à répétitions " , sans s'occuper de leurs impacts sur la situation économico-financière du pays , qui n'en peut plus !
Au lieu de préserver ce qui peut encore l'être ou aider à créer le moindre emploi , l'UGTT s'entête à faire....le contraire ! Bravo !
Encore un effort Mr Ayari , car la Tunisie n'est pas tout-à-fait à genoux et beaucoup ( vu le nombre de vos fans ) comptent sur vous pour l'achever une fois pour toutes !
Quand on voit , par exemple , Sousse et ses environs , sur la totalité des 120 hôtels que comptent la ville et la zone touristique du port El Kantaoui , seuls 4 fonctionnent encore à peine .
40 000 travailleurs ( plus leurs familles et les sous-traitants ) ont perdu leur gagne-pain !
Imaginez un peu la perte que cela entraine sur le plan économique de toute cette région et de tout le pays !
Et pendant ce temps que font les dirigeants de l'UGTT ?
Eh bien , comme Mr Ayadi.....ils n'ont que le mot " grève " à la bouche , histoire de créer plus de misère et de la faire partager à encore un peu plus de monde !
Mais qu'ils se rappellent d'une chose ; il est plus facile de couler une boite que d'en créer une , et un investisseur qui s'en va .....s'en va pour longtemps et souvent pour toujours !

Dr Chedly Mami
| 01-11-2015 11:57
En Allemagne,dans le prive ce sont les syndicats qui paient les journees de greves aux employers.Quand aux fonctionnaires de l Etat la loi leur interdit toute forme de greve.

REFLET - LOULOU
| 01-11-2015 11:50
Bien fait pour tous les investisseurs locaux et étrangers qui ne veulent pas comprendre et qui insistent pour lancer leurs projets, ainsi que leurs affaires en Tunisie.

Ces promoteurs continuent à faire la queue devant le siège de l'UGTT depuis des mois pour solliciter l'accord de son excellence Abassi et de son clan néfaste et ravageur.

Messieurs les investisseurs, allez ailleurs !, l'UGTT qui continue à faire sa loi en Tunisie n'a pas besoin de vous.

NATIONALISTE MAHDOIS
| 01-11-2015 09:17
Quand l'impunité devient loi, tous les AYARI
DE L'UGTT, j'en ai resencé Trois sur le balcon de la place MD.ALI, peuvent se permettre de menacer l'ordre public et par conséquent l'économie du pays. Tant qu'on les laisse faire..............