C'est bizarre,malgré et après avoir reçu des cous des mélliches d'Ennahda, Abbassi se met à genoux et coopère avec Gannouchi contre le pays.(Est ce qu'il n y a pas affaire de boukhoukhou la dedans.)
Le monde à l'envers!!!

Cela prouve bien que Ghannouchi et Abassi sont les gourous coordinateurs du desordre/gabegie dans notre pays avec l'aval des 3 présidents. C'est écrit noir sur blanc et flagrant. Jusqu'à quand ?

Tant que BCE n'a pas su que Gannouchi manoeuvre contre lui et l'instabilité du pays on ne sortira jamais de cette situation et ce qui nous dessus c'est que BCE chaque fois qu'il est dans le pétrin,il fais appel à ce Gourrou son sauveur suprême et comme on dit (dbaret elfar ala molla eddar).

Naïfs comme on est depuis maintenant des siècles, on n'a jamais compris le jeu de stratégie commence par l'affaiblissement d'abord, la marginalisation ensuite, l'anéantissement enfin de l'adversaire. Le reste est une question de méthode. Et tant mieux, si c'est par ses propres moyens. Ceux qui, au lieu de passer leurs journées à nous livrer leurs "expertises" à propos de ce qui se passe dans nos pays depuis plus de deux décennies au moins, en particulier à propos du terrorisme, feraient mieux de travailler un peu plus leur matière, de s'appuyer sur les vrais documents, de travailler sur les véritables sources. Ils auraient compris au moins une chose : dans nos pays, on a commencé d'abord par créer les problèmes en montant les uns contre les autres; en satanisant les uns et en évangélisant les autres. deuxième étape, en les laissant s'entretuer. L'arme utilisée? Elle est toute simple et, surtout, peu coûteuse et franchement porteuse pour eux:la guerre civile, le désordre économique, social et, politique par voie de conséquence. En Tunisie, après avoir satanisé l'ancien régime, et il l'était à vrai dire au moins pour une bonne partie, on a tout de suite enchaîné en polluant la paix sociale, aidé pour cela par leurs apôtres, devenus les nôtres par on ne sait quel hasard: les islamistes au pouvoir, les syndicalistes hissés jusqu'aux plus hautes distinctions et, pour clôturer le tout, les terroristes sans visage, armés jusqu'aux dents et toujours aussi prêts pour servir la cause divine; en fait celle de leurs pourvoyeurs

Les politiques trouillards doivent cesser de ridiculiser les forces armées .
Fuir ou se retirer, est l'action la plus humiliante pour un agent ou soldat armé . Il préfère mourir que d'abandonner son poste ou ses équipements pour être détruits par les voyous .
Malheureusement , c'est devenue conduite courante, pour les politiques qui commandent ces forces , de les ordonner de se retirer . Cette attitude lâche a eu un grand préjudice moral et matériel sur ces forces . Comme elle a eu un effet amplificateur de l'arrogance des voyous, qui deviennent de plus en plus certains de la passivité des forces armées .
Que ces politiques sachent qu'ils sont en train de bousiller les nobles valeurs de nos forces armées , par leur populisme et par leur trouille excessive .

' Lorsque le président de la République reçoit le Chef du mouvement Ennahdha Rached Ghanouchi, c'est uniquement pour lui donner des ordres. Ghanouchi doit ainsi parcourir le pays en long et en large, pour supplier les populations, déjà délabrées, de rester tranquille et surtout, de ne pas déranger Béji Caied Essebsi,
' Lorsque le président de la République reçoit le Secrétaire Général de la Centrale Syndicale, c'est uniquement pour prendre acte de ses ordres.

Pourquoi la présidence de la République en est arrivée là ?
L'aberration est pourtant claire : Béji Caied Essebsi n'a plus de majorité au Parlement, et il use de son influence sur Rached Ghanouchi pour calmer le jeu. Rached Ghanouchi est actuellement majoritaire au parlement puisque Ennahdha compte le plus grand nombre de députés. Comme Ennahdha ne veut plus gouverner parce qu'elle en est totalement incapable, et elle en a fait la preuve, alors, elle se cache derrière ceux qui gouvernent pour les faire chanter.
Je pense qu'il serait plus noble de la part du président de la République de mettre fin à cette mascarade, de dissoudre le Parlement, et d'appeler les tunisiens à de nouvelles élections parlementaires. Ce faisant, Béji Caied Essebsi serait à mon avis mieux apprécié par ses concitoyens, et il pourra faire avec n'importe quelle nouvelle majorité parlementaire.

Il a détruit le plus grand parti créé pour exprimer le choix du peuple à savoir Nidaa, maintenant il veut aider à faire échouer ce gouvernement pour faire oublier leur propre échec à eux. Pour finir , Nahdha reviendra à la charge puisque le chemin est complètement défraîchi.
Abbasssi, lui le petit surveillant arriviste, veut devenir déterminant en gagnant de taille par l'attribution des augmentations sans se soucier de leur provenance ou de leur mérite. On sait que les conseilleurs ne sont pas les payeurs
C'est l'image obscure du pays quand il est livré aux aveux des tout-venants.
Comme partout chez la sale race arabe divisée en groupuscules exclusives et racistes, qui acceptent de tout détruite pour s'approprier le pouvoir absolu

LA CLASSE POLITIQUE
Ecrit par A4 - Tunis, le 16 Avril 2016

Et voilà la classe politique
Elle est là tout à fait au fond
Ils sont malades et nostalgiques
Plongés dans un sommeil profond
Allez savoir ce qu'ils fabriquent
Moi je déteste ce qu'il font

Les nostalgiques en millénaires
Sont à droite, à l'extrême
Ils ont des rêves qui dégénèrent
En califat d'ordre sixième
En morbides instincts sanguinaires
Qui leur donnent ce vil teint blême

Ces nostalgiques du désert
N'ont qu'une seule vocation
Qui les ronge tel un cancer
Les poussant à la destruction
De toute oeuvre ou espace vert
Laissant ruine et désolation

Les nostalgiques en centenaires
Occupent la rangée de gauche
Ils radotent à bout de nerfs
Et ils trouvent que tout est moche
Tout leur monde est en binaire
Tous leurs beaux rêves s'effilochent

Ces nostalgiques des glaciers
Des murailles et des rocheuses
Ont des programmes populaciers
Pour fainéants et pleureuses
Qui veulent vider le couscoussier
Des bosseurs et des bosseuses

Les nostalgiques en décennies
Suffoquent et ont besoin d'air
Se chamaillent, sont à l'agonie
A la recherche d'un leader
Les guidant au chemin béni
Aboutissant au belvédère

Ces nostalgiques des tropiques
Des jeux et des enfantillages
Sont des modernes archaïques
Qui ont raté leur aiguillage
Ils ont l'allure méthodique
Mais la cervelle est d'un autre âge

Tout ce beau monde me dégoûte
Tous ces nostalgiques m'indiffèrent
Leur seul cri "en arrière toute"
Ne peut nous mener qu'en enfer
C'est bientôt la banqueroute
Pour ceux regardant en arrière

et écrivez plutôt,
Béji caid essibsi reçoit les deux destructeur de la TUNISIE ...

Un renard de la politique comme BCE devrait savoir qu'il n'existe aucune intéresse de calmer la Situation socio-économique de la Tunisie!
Ca sera totalement contraire à son but d'islamisation de la Tunisie -
mais pour y arriver il doit toujours faire d'être un homme d'état responsable.

Pourquoi il BCE ne peut admettre d'être trompé par Ghannouchi ?