
Le président de la République, Béji Caïd Essebsi, a prononcé un discours, cet après-midi du mercredi 4 novembre 2015, devant le parlement suédois, et ce en marge de sa visite d’Etat au Royaume de Suède du 4 au 6 novembre courant.
Dans son discours, le président de la République s’est penché sur le processus transitionnel ainsi que les étapes importantes franchies par la Tunisie afin qu’elle réalise sa stabilité politique et les défis qu’il faudra relever pour achever la stabilité économique et sociale. Il a, également, mis l’accent sur la voie consensuelle adoptée par la Tunisie et qui lui a valu le prix Nobel pour la paix, faisant d’elle un exemple à suivre.
Par ailleurs, M. Caïd Essebsi a affirmé que la lutte contre le terrorisme fait partie des priorités de la Tunisie, appelant la Suède à inciter l’investissement étranger en Tunisie et à l’accompagner dans ses efforts en la réintégrant d’une manière exceptionnelle avec les pays profitant de l’aide pour le développement et en lui attribuant, de nouveau, des financements à des conditions préférentielles.
Commentaires (13)
Commenter..commencons par regler nos problemes
Aide toi le ciel t'aidera
Pays très développé et très équilibré,la Suède ne pourra rien faire pour un pays encore miné par la corruption,les passe droit et le manque de transparence.
L'argent n'existe pas, seules les idées, les propres idées existent
Qui aurait dit que le dénommé BCE (pour les amis) allait un jour, presque nonagénaire être reçu comme un roi au pays des rois, en l'occurrence la Suède ?
En même temps l'autre jeune homme, celui qui chapeaute le gouvernement lui est allé en Allemagne pour rencontrer un des grands rois de l'industrie allemande. Ni plus ni moins que le patron de Siemens!
Les deux personnages tunisiens seraient, sans aucun doute en train de cuisiner des magouilles qui vont coûter trop cher aux pauvres tunisiens ou, mieux dit, appauvris par la force. Il n'y a rien à apprendre ni des suédois ni des allemands ni d'aucun d'autre, et, encore moins à prendre.
Seules pourra changer la situation et la vie en Tunisie l'intelligence, la volonté politique et la loyauté des dirigeants envers ceux qui ceux qui les ont porté au pouvoir. Et ni ces deux piètres personnages ni tous les autres qui se sont fait connaître ces quatre ou cinq dernières années sur l'échiquier politique n'ont réellement l'envergure requise pour transformer le pays.
Ceux qui la détenaient ou ils ont été carrément écartés ou assassinés en plein jour ou bien ils se trouvent sous haute surveillance, y compris par les services secrets allemands mêmes, ou suédois, et, ce sans parler de tous les autres comme les services secrets français, usaméricains, anglais et même les services secrets des félons arabes comme ceux de EAU, du Qatar ou des Saoudiens.
On n'a aucun besoin d'argent de personne pour construire, on a besoin d'idées, de ses propres idées et non celles des autres même qu'ils acceptent de les donner, ce dont on doute bien fort. Quant à l'argent il n'a jamais rien construit. Mais a tout détruit.