
Dans le cadre de la visite de travail effectuée par la délégation gouvernementale tunisienne en Algérie, une réunion s’est tenue ce matin du dimanche 17 mai 2015 entre les deux parties présidée par les deux chefs de gouvernement, et ce dans la capitale, Alger.
A l’issue cette séance de travail, le Premier ministre algérien, Abdelmalek Sellal, a fait une déclaration, rapportée par la correspondante de Radio Shems Fm, dans laquelle il a estimé que cette visite de la délégation tunisienne constitue une étape importante afin d’examiner les stratégies de coopération d’avenir entre les deux pays et mettre au point les grandes orientations devant régir les relations bilatérales.
M. Sellal a, par ailleurs, lancé un appel aux hommes d’affaires tunisiens et algériens à participer d’une manière plus concrète et plus efficace aux grands projets mixtes de développement.
De son côté, Habib Essid a tenu à mentionner que cette visite entre dans le contexte de la poursuite des consultations et de la coordination entre les deux pays dans les différents domaines tout en précisant qu’elle représente une suite logique à la dernière visite effectuée par le président de la République, Béji Caïd Essebsi en Algérie.
S.H
Toute conflits dans la région le première
responsable les KOWMIYNES, Les nassiriyneS
leur tendances est de diviser les peuples
et créer les conflits non fondés et les peuple de la région payent chère le seul président de la région qui était vigilent de ce fléau c'est le défunt Le Président Bourguiba .
Les certitudes la relation économique entre les deux pays L'Algérie et La Tunisie qui pourra récupérer un manque à gagner en devis production localement des produits de première nécessité ( le blé , le lait et le viande ) .
Procédez un expérience dans ce domaine c'est mieux .
La bureaucratie et les blocages bloquent l'investissement.
Je suis de tout coeur pour un développement mutuel de l'investissement entre Tunisiens et Algériens, mais avant tout pour que cela fonctionne, il faut mettre fin à la corruption et à cette bureaucratie prédatrice qui tue l'économie et découragent les bonnes volontés.
SVP si nos dirigeants lisent ce journal : pas de paroles et de promesses des "actes concrets".
Cordialement.

