
Le membre de l'Instance supérieure indépendante pour les élections (Isie), Sami Ben Slama a indiqué que des agents de police se sont attroupés autour de sa voiture alors qu'il était à l'intérieur du véhicule. Il a indiqué qu'un premier agent s'était présenté devant le véhicule. Quelques instants après, un deuxième agent à bord d'une moto de la police a rejoint son collègue. Par la suite, deux autres agents ont rejoint les lieux. Ben Slama a constaté que les policiers ont utilisé à plusieurs reprises, leurs téléphones portables et leurs talkie-walkies.
Sami Ben Slama a communiqué ses informations, dans une première publication Facebook du 30 septembre 2022 accompagnée d'une photo montrant la moto devant sa voiture. Quelques heures après et dans une deuxième publication, il a révélé que la police a bloqué son véhicule en usant de motos et d'une voiture et que les agents lui ont demandé de leur remettre la voiture de fonction sur ordre du ministère de l'Intérieur. Le véhicule ayant été intégré à la liste des véhicules recherchés.
Ben Slama a, dans un premier temps, refusé de se soumettre aux instructions des policiers et a rappelé qu'il bénéficiait d'une immunité en raison de sa qualité de membre de l'Isie. Il a, par la suite, appris que l'instance avait adressé un courrier au ministère de l'Intérieur afin de l'informer que le véhicule n'était plus à leur disposition et qu'il ne s'agissait plus d'une voiture de fonction. Il a critiqué le comportement et l'attitude des membres du conseil de l'Isie.
Ben Slama a, donc, décidé de remettre la voiture aux agents de police. Néanmoins, il a convoqué un huissier de justice avant de quitter le véhicule. Il a chargé ce dernier de dresser un PV faisant état de la voiture, de ce qui se trouvait à l'intérieur ainsi que de l'encerclement qu'il avait subi. « Je m'attendais à de telles pratiques illégales et immorales... Elles démontrent que nous nous trouvons dans un dangereux tournant... En compagnie de personnes ne craignant pas d'enfreindre toutes les lois... J'ai été traité par les agents de police avec respect... Néanmoins, j'ai été traité comme un criminel par le ministère de l'Intérieur », a-t-il écrit.
S.G

Alors que de tels titres et avant de parler et de revendiquer les avantages afférents, est un label à respecter qq soit les circonstances !!!
Dommage si Slama il fait savoir dire be Slama et quitter
Le pire qu'ils ne sont pas contents.
Vous êtes qu'un fonctionnaire rien de plus.
Bien sûr de quel droit un tel membre écarté et n'est plus en état d'exercice de sa fonction, il bénéficie d'une voiture de fonction ou même de service?
BN d'un côté essaye de défendre l'intérêt public et de l'autre côté défend implicitement les intérêts personnels de certains qui ne méritent pas d'être évoqués comme les nahdaouis'?'..
Le gratis est bon à sucer !
Vous n'êtes que des affamés sans scrupules, vous avez mis le pays à genoux et vos semblables,éxlipse-toi, et rase le mur, la seule solution qui te reste.
Qu'y a-t-il de plus normal de rendre à qui de droit, et sans délai, tout ce que votre ex-employeur avait mis à votre disposition, lors de votre prise de fonction.
él bhim yéfhim bi hémza wél hor yéfhim b'ghamza.
Le pays a drôlement régressé depuis ......................