
Le ministère de l’Intérieur a indiqué, mercredi 26 janvier 2022, à travers un communiqué, que deux suspects à bord d’un camion dans les environs d’une école à Tataouine ont été arrêtés à la suite d’une alerte lancée à propos d’une tentative d’injection d'une substance inconnue à une fille mineure.
Le ministère indique que la petite fille a été auditionnée en présence de sa mère et du délégué régional pour la protection de l’enfance à Tataouine ainsi que d’une psychiatre. La fillette a indiqué qu’elle avait pris la fuite lorsqu’elle s'était rendue compte que l’un des suspects était muni d’une seringue.
Le même communiqué ajoute qu’il suit de très près ce sujet, soulignant avoir informé le ministère public des détails.
Le ministère de la Famille, de la Femme, de l'Enfance et des Séniors a révélé que sept enfants mineurs, avaient reçu des injections par des personnes inconnues à proximité d'établissements d'enseignement par des inconnus.
Ces injections ont nécessité leur transfert à l'hôpital, toutefois, les résultats préliminaires des analyses ont révélé l’absence de toute substance suspecte ou dangereuse. Selon le délégué général de la protection de l’enfance, les derniers délais fixés pour les résultats définitifs des analyses varient entre quinze et vingt jours à partir de la date des prélèvements. Cependant, l’impact des injections inconnues sur la santé des élèves ne peut être déterminé qu’après le rapport définitif des expertises du médecin légiste.
S.H
ce sont des formes de terrorisme psychologique...faire ressentir à la population qu'elle vit dans l'insécurité,Qui aurait intérêt à faire cela, je me le demande..