
La militante et professeure de droit, Sana Ben Achour, a déclaré qu’elle ne s’attendait pas à une célébration officielle de la part de la présidence de la République de la journée nationale de la Femme. Elle a, également, critiqué la déclaration du président de la République, Kaïs Saïed à l’occasion de cette fête, l'année dernière, tout en considérant que la dissociation des droits politiques et civils de ceux économiques et sociaux est honteuse et représente une insulte à l’encontre des femmes tunisiennes. La professeure de droit a, également, estimé que ce discours s’oppose au concept d’égalité.
Concernant l’égalité dans l’héritage, Sana Ben Achour a souligné le rôle de cette loi dans l’amélioration de la situation économique des femmes. Le président de la République s’était contenté de refuser cette initiative en se basant sur le texte coranique rejetant la prééminence de la Constitution et des principes de l'État civil.
« Les acquis de la femme ne sont pas seulement menacés par les préceptes coraniques mais aussi par l’identité arabe », a-t-elle avancé lors d’une interview accordée au journal Acharaa Magharbi dans son édition du 17 août 2021. Citant l’exemple du Maroc et de l’Algérie où les oncles paternels et l’Etat ont une part de l’héritage avec la femme quand elle est fille unique, Sana Ben Achour a affirmé que ceci aurait pu causer des catastrophes sociales.
Sana Ben Achour a affirmé que le Code du Statut Personnel avait joué un rôle important à partir de 1956 mais était devenu caduc et dépassé par les événements car il se base sur plusieurs règles de la doctrine musulmane tel que la mention de la dot comme condition de validité d’un mariage. Même le terme ‘’Statut’’ en arabe vient du dialecte du proche orient, selon la professeure.
La militante a, lors de la même interview, considéré que le président de la République est un conservateur. « Il ne l’a d’ailleurs pas caché. Je me rappelle encore sa déclaration du 13 août 2020 où il a considéré que l’égalité et la citoyenneté sont des principes qui s'appliquent dans l’espace public et non-pas dans la vie privée… Ceci symbolise l’approche patriarcale sur laquelle s’est construite notre société et qui considère que la femme a seulement pour rôle de s’occuper des tâches ménagères et d’assurer une progéniture », a-t-elle déclaré.
Les déclarations du président de la République ne sont pas à l’image de sa femme, selon elle. « Il y a des contradictions… Le président pense de façon patriarcale… Le modèle de la femme du président de la République n’est pas le modèle de la femme selon Kaïs Saïed… La façon dont il célèbre la fête de la Femme démontre qu’il n’est pas attaché à cette cause… Il ne reconnaît pas sa symbolique et est en train de la détruire graduellement », a-t-elle ajouté.
Pour ce qui est de la visite du président de la République à Hay Hlel, Sana Ben Achour a estimé que ceci s’inscrit dans le cadre de la politique de pitié. « Même si cela permet de ressentir les souffrances des autres, le président fait partie de l’élite et ne fait pas partie des travailleurs… Ben Ali visitait, également, les femmes travailleuses et vivant dans les milieux ruraux… Kaïs Saïed utilise les souffrances des femmes pour se créer l’image du sauveur et accroître la légitimité de ses décisions… De même pour les composantes de la société civile… Il ne reconnaît pas les institutions et refuse les médiations. Il se veut guide et sauveur du peuple », a-t-elle poursuivi.
Évoquant les discours du président de la République, Sana Ben Achour a considéré que ces derniers comportent une violence verbale extrême. « Il est intègre et honnête, certes, mais il détient tous les pouvoirs et a rompu toutes les voix de dialogue… Il insulte et dénigre tel que bon lui semble… D’ailleurs, il n’est pas la seule personnalité publique intègre et honnête présente… Nous voulons le soutenir mais à condition qu’il y ait des institutions de l’Etat. Je ne peux pas, en tant que militante et professeure de droit, soutenir une personne qui monopolise les pouvoirs. Kaïs Saïed est un politicien méconnu qui parle des autres et non-pas de lui-même. Nous ne savons toujours pas grand-chose sur son projet et ses orientations », a-t-elle insisté.
Concernant les mesures exceptionnelles annoncées par la présidence de la République le 25 juillet 2021, Sana Ben Achour affirmé que Kaïs Saïed avait préparé son coup d’Etat depuis 2019. « Il était clair depuis le début. Il s’oppose à la démocratie représentative et appelle à un nouveau régime. Il détient une part de responsabilité dans la situation de blocage… C’est lui qui avait nommé Hichem Mechichi à la tête du gouvernement… Il est clair que le président se préparait à l’application de l’article 80 de la Constitution depuis son refus du remaniement ministériel », a-t-elle affirmé.
Pour ce qui est de la dissolution du parlement, Sana Ben Achour a estimé que ceci est possible par deux mécanismes. En premier lieu, la révocation de listes électorales et de députés, or, le parlement ne peut pas continuer à fonctionner en étant vide. En deuxième lieu, citant l’analyse de son collègue Slim Laghmani, Sana Ben Achour a mentionné la possibilité de la tenue d’une plénière de vote de confiance au gouvernement. Si ce dernier n’obtient pas la confiance, l’assemblée sera dissoute.
Sana Ben Achour a, également, considéré qu’on ne peut pas envisager une feuille de route sans réinstauration de la situation de légalité constitutionnelle et séparation des pouvoirs.
Par ailleurs, Sana Ben Achour a estimé que le 25 juillet 2021 marquait la fin de l’islam politique et de Rached Ghannouchi. « Rached Ghannouchi n’est pas politiquement intelligent… Il n’avait pas saisi l’ampleur des pertes du parti lors des élections… Le mouvement Ennahdha avait vécu des conflits internes… Les leaders du parti étaient aveuglés et avaient tenté de changer notre modèle sociétal par la force. Le début de la crise pour Ennahdha était le sit-in Errahil. Il ne faut pas adopter la même approche sécuritaire de Ben Ali afin de s’opposer à l’islam politique… Au contraire, cette politique répressive a fortifié leur présence dans notre société », a-t-elle déclaré.
« Il y a une rupture entre l’élite et le peuple… Nous devons rétablir l’ascenseur social… l’élite d’aujourd’hui n’est pas celle des années vingt… Nous n’avons pas suffisamment d’études à ce sujet… les chômeurs et les personnes marginalisées veulent participer et nous devons les inclure dans le contexte politique et économique », a-t-elle poursuivi
Enfin, Sana Ben Achour a affirmé que les sympathisants de Kaïs Saïed appellent à éloigner son frère de la sphère du pouvoir. « La jeunesse appelle à une véritable démocratie… Les jeunes ont le droit de faire partie de leur pays… Je soutiens cette jeunesse et je refuse toutes autres pratiques telles que le lynchage visant Jawhar Ben Mbarek… Il est clair que Riadh Jrad n’a rien avoir avec le journalisme et qu’il est là pour la propagande… nous devons respecter nos différences… Plusieurs personnes ont peur… Je suis prête à militer pour cela », a conclu la professeure de droit.
S.G


C'est risible et navrant de la part de quelqu'un supposé avoir appris à raisonner et à être humble et serein, pourtant l'entourage (des proches ayant des liens de parentés familiales décédés pour la plupart) était connaisseur, cultivé et surtout honnête et correct.
C'est incroyable comme déception de la part d'une supposée éduquée et instruite?! Malla tounis kifach wallat.
Je ne change pas un mot par rapport à mon commentaire du mardi 17 août à 13h.
Dans ce 2e commentaire (ce qui est plutôt rare), je voudrais ajouter un point important qui permet de comprendre pourquoi cette dame, qui n'a jamais piper mot devant les exactions des islamistes et des terroristes au parlement, intervient maintenant pour critiquer les mesures prises par le président de la République. Je pense qu'elle est en service commandée par les Khwanjias. Son but est d'alléguer que le président est un réactionnaire ; d'?uvrer pour la reprise des activités du parlement comme si rien ne s'était passé et de promouvoir une politique inclusive (chère aux américains) des islamistes dans le pouvoir, ce dont témoigne sa déclaration : « Il ne faut pas adopter la même approche sécuritaire de Ben Ali afin de s'opposer à l'islam politique'?' Au contraire, cette politique répressive a fortifié leur présence dans notre société ». Traduisez : il faut inclure les islamistes dans le pouvoir.
C'est là qu'on retrouve les Ben Achour comme suppos de l'islamisme, les idiots utiles des Khwanjias. Y. Ben Achour, son frère, a contribué à configurer la constitution de 2014 qui permet aux islamistes d'exercer le pouvoir alors qu'ils sont une toute petite minorité électorale et a confectionné une loi électorale proportionnelle qui a permis aux islamistes de régner au parlement et a rendu le pays ingouvernable. Mme Ben Achour, comme son frère Yadh qui s'agite au niveau international, '?uvre dans le même sens puisqu'elle nous dit qu'il faut composer avec les islamistes.
Il serait erroné de suivre les conseils très intéressés de Mme Ben Achour comme de son frère. Si le président décidait de ré-autoriser le parlement tel qu'il est, ce serait sa fin politique et le début du vrai désordre.
Il est donc urgent de dissoudre le parlement, de réformer la constitution avec une nouvelle loi électorale et d'en appeler au peuple par voie de référendum puis organiser de nouvelles élections qui nous débarrasseront des islamistes.
Et que d'autre part il croit que la démocratie est matérialisée par les élections et la réussite coûte que coûte des élections par tous les moyens les plus indécents indécents (tel que leurs méthodes de corruptions), est un semblable à un certificat de propriété nominatif et qui leur est délivré pour s'installer dans la gouvernance (ou à l'assemblée par exemple) et de se permettre à tout par la suite tel que bénéficier des faveurs ou des accords exceptionnels et d'être supérieur à n'importe quel citoyen.
Toutefois, et le plus inadmissible, c'est qu'ils n'ont (comme nahdha aucune compétence et ne savent relater que les antécédents et soi-disant les dérives de Ben Ali alors que Ben Ali, et comme tout le monde le sait, n'a été intransigeant suab'vec les oulemas et les imams du vendredi qui ne sont autres que des conservateurs originaires de la capitale et des grandes ville et jamais de la région de nahdha, et dont ce clan de nahdha n'a aucun rapport avec eux surtout concerant l'islam et les rites islamiques, car ce qui importe pour nahdha c'est de s'intégrer dans la politique pour devenir des milliardaires quoique chose faite depuis 2011 ( ou exactement lors de la mascarade pleine de corruptions celle du 23 octobre 2011), et depuis lors, les manigances senchainèrent et cette nahdha ne cherchait donc que de s'ancrer dans le pouvoir pour assouvir ces complexes de jeunesse et les carences du niveau d'instruction de ses menbres font plusieurs d'entre-eux se limitaient au cycle du secondaire, tel que l'agressif et l'un des bras droits de ghanouch, et ce à savoir l'energumè Ali Larayadh qui est à été même désigné chef de gouvernement par ghanouchi lors qu'il est impliqué directement dans plusieurs ssasdinats politiques commes en Tunisie surtout lors de sa période de gouvernance de 2011 jusqu'à 2015.
De plus et pour avoir plus d'électeurs amadoués, nahdha et ses députés se chargèrent de recruter anarchiquement et pèle-mêle leurs électeurs, et ce dans les ministères et les sociétés publiques sis à Tunis la capitale qu'ils n'ont jamais habités pour la plupart.
Et tout devint sous l'égide nahdha seul maître à bord et seul décideur alors que le chômage bat son plein et qu'il n'y a aucune stratégie ni ligne de conduite qu'ils feignent de vouloir immédiatement avec le sauveur (de leurs griffes) de la Tunisie, le patriote et nationaliste Kais Saied, ce fiasco et les duperies de nahdha, obligea la Tunisie de s'endetter colossallement et inerminablement aimupres des banques mondiales et du FMI,et les pays amis et frères depuis belle lurette avec Bourguiba et même avant, mirent leur contributions et' se chagrinèrent du sort de la Tunisie après le massacré de cette bande de massacreurs.
Tout devint contrôlé donc par nahdha, et ces devenus électeurs seront quant à eux contraints de rendre la monnaie donnant donnant pour les élire alors que presque tout le restant du peuple tunisien est en chômage et que les dits recrutements pour la forme et certains fictifs ( rien que par une prime de chômage royale) dans la fonction publique des partisans de nahdha.
Et la corruption s'amplifia pour devenir très néfaste pour l'économie tunisienne.
Tout cela et toutes ces données ont obligé cette nahdha à se cramponner au pouvoir.
Et moi je vous garde mon estime. Tous les deux nonobstant ou grâce à vos différences.
Content de vous voir échanger de façon plutôt apaisée.
@MPP, il ne s'agit pas d'un com., plutôt un édito, une tribune, que BN le mette en UNE, ce ne serait pas volé.
Même si vous le dites en filigrane dans votre réponse à @ Candide né, mon sentiment est que, que KS assouplisse sa position au sujet de l'égalité successorale et il entrera définitivement dans l'Histoire de ce pays sans laisser pour beaucoup un goût d'inachevé.
L'homme procède probablement par étapes, politique chère à Bourguiba, conscient qu'il est des lourdeurs de l'héritage religieux.
Rappelons-nous cependant, à sa promulgation le CSP était un grand chambardement inattendu. Il a fini par rentrer dans les moeurs. C'est juste une question de volontarisme et de courage politique. KS ne saurait être taxé d'en manquer. Il l'a irréfutablement prouvé. Le reste, l'assentiment populaire suivra immanquablement et les grincheux-fâcheux s'y feront.
L'accession d'une femme au pouvoir y aidera, tout comme elle aidera à apaiser nos moeurs politiques et sociales.
J'ai écouté Kathleen Ferrier, non pas dans Schubert, mais Brahms et Mahler, Decca Ovation, cd 10 de l'anthologie à elle consacrée par son éditeur. Ovation de ma part et regrets qu'elle fût pressée de partir avant l'expression de l'étendue de son immense talent.
Bien content que vous ayez apprécié A. Deller, même s'il n'y avait pas place au doute.
Vous l'apprécierez plus encore (vous aussi @ Candide né) dans "The Three Ravens, Elizabeth Folk & Minstrel Songs". Vanguard Classics.
Cela vous changera des corbeaux et autres oiseaux de mauvais augure qui polluent l'air et l'espace...sonore du pays.
Bien à vous deux.
Je dois dire que le sujet (KS bien sûr. . .) s'y prête et la personnalité est "inspirante". . .
Merci surtout pour "Les trois cordeaux" par A. Deller(*).
Je connaissais "The Raven" de E.A. Poe (du temps de mes études). . .
Et "l'attaque" du poème qui me trotte encore dans la tête. . .
Comme quoi, il n'y a que la poésie (et la musique !) qui ouvre de tels horizons insoupçonnés. . .
Merci encore et à bientôt !
MPP.
(*) The_Three_Ravens (avec traduc pour ceux que cela intéresse. . .)
https://fr.wikipedia.org/wiki/The_Three_Ravens
"Il n'y a aucune loi [...] qui empêche..".
Certes. En revanche, il y a une loi, une "mentalité" solidement ancrée qui autorisent un frère ni plus digne, ni plus méritant d'hériter du double de la part de sa soeur parfois plus dans le besoin. J'ai été témoin de ces injustices au sein de ma propre famille.
Rares, très rares sont les pères qui règlent équitablement leur succession de leur vivant.
Rares, très rares sont les frères qui renoncent à leur part indue, injustifiée et injustifiable.
Ces situations laissent souvent dans les fratries des traces indélébiles, rancoeurs et incompréhensions.
Les soeurs qui n'en disent mot n'en pensent pas moins.
Il s'agit rien de moins que de la moitié de la population.
Notre moitié.
Bien à vous.
Qu'elle honte ! Pour elle d'envie un homme illustre et patriote.
De lui dire que nahdha vous mentent et c'est des roublard qui veulent vous utiliser, tout comme M. Iadh,, en boucs émissaires et après ils nier ont même vous avoir connus et promis des postes de responsabilités.
C'est trop naïf, quoique maintenant que Si Iadh n'a pas été en connivence avec ces malfrats lors de la rédaction de la caricaturale constitution qui s'est révélée la cause de toutes les catastrophes de la Tunisie, mais Kais Saied à su vous prendre au dépourvu et annihiler vos plans sataniques.
Tout ça pour...
Elle se regarde dans les yeux de Chimène et en met plein le portrait à son alter aego de prof. parvenu au sommet.
Il n'est pas le seul honnête sonne comme une flèche tirée en plein c'?ur.
Il est conservateur, préparait son coup depuis 2019, et d'autres joyeusetés du genre.
Qu'est ce qu'elle vise par ses saillies perfides ?
Le ton mesuré dans la forme laisse l'espace des violences dites sur le ton tranquille de celle qui sait comment procéder pour faire passer le message.
Ce pays cultive ce travers avec un bonheur sans égal.
La réussite de l'autre est vécue comme atteinte à son image de soi, d'où des haines infinies qui minent les relations.
Quelqu'un dit juste ou développé une idée avec brio, il est assailli par des envieux, et entraîné contre sa volonté à se rouler dans la fange pour se défendre.
Quelqu'un réussit (avec tous les guillemets quant à cette notion tapageuse et attrape-mouches) et le cercle des envieux comme celui des courtisans, parfois les mêmes étant à la fois l'un et l'autre, grandit et recrute.
En ce pays, à bien des égards singulier même à yeux, les hommes ont un talent fou pour dysconvenir. Alors, je cherche à en identifier au moins le début d'un motif, d'une cause sachant que toute chose peut être affectée de tant de manières et affecter à son tour de tant d'autres.
Je renonce avant que de poursuivre, l'objet ne se laisse pas maîtriser, et mes moyens limités m'invitent à me résoudre à renoncer.
Il faudrait pour une telle tâche en appeler à plus éclairé et se rangeant à sa complexion entendre ce qu'il aurait à nous en dire.
Je reviens à K'Saied et à la dame qui est bien plus armée que moi pour cet exercice, puisqu'elle en esquisse un portrait peu charitable.
C'est vrai qu'elle a réduit le champ d'investigation à un seul cas. Et, il faut convenir que la méthode peut aisément garantir de meilleurs résultats à réduire ses prétentions.
Pauvre de nous !
Nous manquons de fraternité. Cela me paraît soutenable et somme toute facile à justifier.
C'est sans doute pour cela que certains ont inscrit ce beau nom sur les façades des édifices de leurs plus hautes institutions.
Je n'en disconviens pas (je suis d'accord).
Idem pour cette professeure de droit qui fait une excellente analyse du Président K.S: un homme honnête et intègre-ce qui est déjà beaucoup-mais conservateur et rétrograde dans ses idées. Et à côté de la plaque sur bien des sujets.N'est-ce pas lui qui voulait construire des "avions en acier"?Bonne chance pour les faire voler! Il ne connaît rien des problèmes économiques et sociaux et pense que les prix vont baisser d'un claquement de doigt.L'honnêteté ne suffit pas pour faire une bonne politique. Il faut de bonnes connaissances et savoir s'entourer de gens compétents à la fois réalistes et ambitieux pour leur pays et son développement sur tous les plans.Et surtout ne pas faire de démagogie en ayant l'air de s'intéresser au peuple sans faire grand chose pour le sortir de la misère.
Au trou, la racaille !!!!!!!!!!!!!!
"leur avis pèse scientifiquement beaucoup plus que les apprentis professeurs ou assistants."
La belle affaire. . . mais ils ne sont pas au pouvoir et encore moins à la Présidence de la République. . . là où tout se passe et tout se décide, et ce pour encore un laps de temps suffisant pour assainir la place et l'atmosphère et débarrasser le plancher de ces fascislamistes qui encombrent l'horizon et que vous regrettez déjà !
MPP.
Donc, soit tu es un menteur professionnel, soit tu es un ignare, et c'est ce que j'ai toujours pensé de toi: un pauvre raté.
Y' en mare de ces donneurs de leçons qui veulent par n'importe quel moyen faire valoir leurs droits de savoir aux autres.
Le Président K.S a décidé autrement et peu importe l'interprétation de cet article 80 de la constitution, qui d'autres part avait été rédiger par le frère de cette dame qu'il soit sous influence d'Ennahdha ou pas.
Aujourd'hui cet article existe belle et bien, à chacun sa pensée ou son interprétation.
L'essentiel c'est d'être débarrasser des partis islamistes et des députés pourris qui ont gongrenés cette assemblée.
Maintenant allé balayer devant votre porte, et laisser le Président faire son travail...
Quoi qu'il en soit, il faut soutenir KS contre la barbarie islamiste et la destruction du pays.
Pour ma part, Abir Moussi chef de gouvernement, KS président, ça serait le top.
Elle ne vaut pas mieux que son frère : pure jalousie de sidhom SAIED.
Yadh Ben Achour, un jaloux du Président, ne rate aucune occasion pour défigurer Kais Said.
La dernière en date, c'est sa déclaration honteuse aux médias italiens, qualifiant les décisions du Président de coup d'Etat.
Sana Ben Achour quant à elle, milite pour l'égalité dans l'héritage, c'est-à-dire pour passer outre le texte coranique. Toute la clique qui a présenté un projet dans ce sens a été huée par la majorité des tunisiens, une majorité bien ancrée dans sa confession musulmane.
Vôtre marionnette qui nous a donné le nouvel an musulman .
Croyez-vous que l'on soit dupe ?
Aux autres lecteurs .continuez a écouter les mpp takilas mirror et d'autres .
Et vous finirez comme l'Afghanistan !!!
Certaines personnes devraient méditer un peu mieux notre vieux dicton (bidderja) "loukène ira ejmal hedbtou tet'qtaa raqbtou". . .
MPP.
Une grande gueule pourrie comme les autres, quoi...
Malgré les commentaires que avez eu à l'encontre de Abir Moussi,.Je vous garde mon estime!!
Cette bonne femme,surement parente de l'imposteur Y.Ben Achour,!
Elle veut faire croire qu'elle est la. porte-parole des femmes.El quelles femmes?
Les héritières!Ha ha ha....!Les riches Tunisiennes,sont tellement nombreuses,qu'on n'arrive pas à les recenser!
@Mon MPP :Figurez-vous, je n'ai fait que survoler ce torchon.!
Résultat:Je me retrouve avec une Migraine atroce!!!
A moins que vous ne vouliez être coller à votre pseudo pour jouer au "Candide", je ne vois pas où il vous est arrivé de constater que j'ai eu des propos "à l'encontre de Abir Moussi" ;?
Bien au contraire. . .
Moi je l'ai toujours vue comme future cheffe du gouvernement, après les prochaines législatives. . . pour peu que le PDL les gagne et qu'il arrive à faire des alliances judicieuses pour porter AM à la tête du gouvernement.
Mais j'ai toujours dit également que AM ne sera jamais présidente(*) de la République pour la simple raison que la société tunisienne est encalminée dans son patriarcat machiste coranique, et que même la majorité des femmes tunisiennes ne sont pas (encore ?) prêtes à hisser une femme à la Présidence. . .
Je parle logique. . . jamais émotionnellement !
Cela dit. . . je vous garde mon estime également !
MPP.
(*) Notre génération n'est pas près de voir un évènement de ce genre en Tunisie, les "freins coraniques" pesant encore trop lourdement sur les libertés basiques. . .à tel point que je me sentais plus libre dans ma vie de tous les jours dans la Tunisie des années 70 que maintenant où le pays ne cesse de ce point de vue-là, à régresser inexorablement.
Enlever "être" et vous aurez une phrase plus juste :
"A moins que vous ne vouliez coller". . .
@ Candide : vous voulez toujours que AM devienne. . . Présidente ? J'attends votre réponse. . .
MPP.
Il est interminable et nous empêche d'avancer.
Mettons nous d'accord sur des objectifs clairs et partagés par les Tunisiens.
Par exemple :
1 - Un plan de relance pour remettre l'éducation national au niveau ;
2 - Structuration et modernisation des administrations ;
3 - Un plan de relance économique ;
4 - Un plan de lutte contre la corruption ;
De rebâtir sur de bonnes bases et non pas avec les médiocrites et les incultes à qui sont offerts des postes de connivence ou de régionalisme, comme ce qui a été caricaturalement accompli par nahdha
Désormais il n'est plus question de tergiverser ni de faire son examen de conscience, pas le moment, pas urgent !
Il faut maintenant aller de l'avant, garder le bon cap et tenir la barre d'une main ferme, déjà que la houle est là et qu'elle précède généralement le gros grain, mais il n'y a pas lieu de s'en faire plus que de mesure, ce ne sera que manne passagère et bénéfique, veiller seulement à mettre le ciré adéquat et garder un oeil sur la bôme qu'elle ne valdingue pas trop !
Finies les valses hésitations et la course à la lenteur, le bâton dans les roues et le retour de manivelle, le maître de ballet n'est plus disposé à exécuter les pauvres oeuvrettes des autres qui finissent en "four", ni les pièces insipides que l'on doit aux salonnards(*) qui préfèrent préserver mimines blanches et pognes manucurées, plus soucieux de qu'en dira-t-on que d'aller au charbon.
La mission de conduire tout un peuple « en demande » vers des rivages apaisés et prospères, avait échu d'abord en des mains indignes de la charge, celles d'un premier-mousse de second choix, sorti du rang et se prenant trop tôt pour un lieutenant de vaisseau. . . mais trop vite dépassé par les fâcheux, ceux-là mêmes auxquels il ne devait rien à priori mais qui ont réussi dans un premier temps à le circonscrire jusqu'à finir par le phagocyter !
Quand on veut on peut
Jusqu'au 25 Juillet tout était bloqué, les services de réanimation hospitaliers étaient saturés, on ne trouvait même plus assez d'oxygène pour sauver des vies pourtant faciles à sauver, n'était la mauvaise volonté de ceux qui étaient censés être aux commandes pour veiller à la santé et au bien-être des citoyens et de ceux parmi eux qui étaient dans l'urgence vitale.
Les premiers responsables sont ceux qui étaient au gouvernement et qui tergiversaient au lieu d'agir. . . entravés qu'ils étaient d'abord par leur propre inertie puis par ceux dont leur survie et leurs postes dépendaient. Ceux-là n'en avaient cure puisqu'ils se pensaient à l'abri du besoin et ne devaient donc rien à personne. . . qu'à leurs maîtres.
Les islamistes qui faisaient la pluie et la tempête à l'Assemblée des Bras-Cassés étaient plutôt satisfaits d'eux-mêmes et de leurs affidés qui leur obéissaient au doigt et à l'?il, puisqu'ils avaient les mêmes intérêts égoïstes et les mêmes buts cachés, rester au pouvoir coûte que coûte, même au prix de milliers de personnes, sacrifiés tels des moutons innocents pour apaiser on ne sait quelle divinité avide de voir les jardins de pierres accueillir encore plus d'infortunés et de laissés pour compte.
Et voilà qu'à la faveur de la décision du 25/7, survenue telle une ondée bénéfique sur un incendie galopant, tout semble se débloquer par miracle, et les Tunisiens sentent venir enfin le moment de la délivrance tant attendue.
Et l'on recommence ici à respirer librement. . . et là à recevoir ce que l'on ne trouvait pas une semaine auparavant.
Et l'on sent et l'on constate que la vie revient, que la Tunisie redevient elle-même, redevient celle que le monde connaît, un pays libre et travailleur, un pays fier de lui-même, un pays résilient et résistant aux mauvais génies qui le tourmentaient jusqu'alors. . .et à ceux qui gardent encore et toujours leurs maléfiques ambitions.
Quant aux esprits chagrins, on ne peut que leur promettre "une symphonie pour une autre fois".
"The times they are a-changin"
MPP.
(*) Entre-autres cette honorable dame, Professeure de Droit et donneuse de leçons gratuites au Président . . . alors que lui a les mains dans le cambouis !
Alors, le revoici le revoilà. . .
"entravés qu'ils étaient d'abord par leur propre inertie puis par ceux dont leur survie et leurs postes dépendaient."
. . .dont "la" survie et "les" postes dépendaient. . .
"ne devaient donc rien à personne. . . qu'à leurs maîtres."
. . . "sauf" à leurs maîtres. . .
Merci d'avoir corrigé ces petites inexactitudes. . .
MPP.
Bon tout le monde sait que nahdha et ses menbres se sont énormément enrichis avec l'argent, tant de l'état tunisien que celui du peuple tunisien, est-ce suffisant comme explication ?
C'est cela qui est intriguant et nécessite des analyses et des explications pour le futur ; à ne pas négliger. Que d'autres intrigues et questionnements !
Sans oublier Iadh le marionnette.
Ta remarque, tu aurais dû la faire l'année dernière ou plus tard.
Les Tunisiens veulent tout en même temps et avec ce comportement, ils risquent de finir sans rien avoir !!
Bichouwéya. Le monde ne s'est pas fait en jour.
Résolvons tout d'abord le problème des terroristes qui nous gouvernaient, et ensuite, inch'Allah, on passera à une autre étape.
On pourrait même demander à K.S d'homologuer le vernis à ongles de couleurs jaune, si ça vous chante !!!
Si vous vous ennuyez ces jours-ci,au lieu d'ecrire cet article,vous auriez mieux fait " oulet el coscsi fil dar".
Nous LE PEUPLE,sommes d'accord avec ce que Mr Le President fait,vous autres,c'est votre probleme.
Faites mieux que lui si vous etes capable,sinon c'est beaucoup mieux de se la fermer.
SAIED KAIS EST AVEC LE PEUPLE ET LE PEUPLE EST AVEC LUI.
Je suis navré de vous dire que vous nous faites chier. Je vous le dis en toute franchise, nous avons marre de vous et de votre Frère Yadh Ben Achour qui excelle comme vous-même dans l'hypocrisie et dans le double langage.
Vous l'ouvrez aujourd'hui pour critiquer le président de la République alors que vous l'avez fermée et vous n'avez rien dit devant les exactions des islamistes et des extrémistes religieux qui, au sein du parlement, ont insulté et frappé une femme, Mme Abir Moussi. A ce moment-là, vous vous êtes tu comme s'est tu votre frère Y. Ben Achour.
Nous avons assez des leçons des Ben Achour qui excellent dans la traîtrise, la duplicité et le double langage.
Nous avons assez de la famille Ben Achour qui use et abuse de la réputation de leurs ancêtres et se comportent de la pire manière y compris en soutenant les islamistes dont vous êtes les chiens de garde comme vous l'avez été en soutenant le Tartour.
Honte à vous Mme Ben Achour et honte à votre frère Yadh qui excelle dans l'ignominie et la traîtrise.
Honte à vous Mme d'instrumentaliser la cause des femmes et d'en faire votre commerce alors que vous vous êtes tu lorsqu'il fallait défendre la cause de Mme Abir Moussi, frappée au parlement par vos amis islamistes que vous avez servi en les aidant à écrire une constitution qui a mis la Tunisie à genoux et vous a permis à vous et à votre frère Yadh de tirer votre épingle du jeu.
Pas vous Mme, ni votre Frère. Vous avez trahi le peuple et sali la mémoire de vos ancêtres.
Qu'ils dégagent le plus tôt possible.
Fissa, Fissa. Errahil ; nahdha ne comprend que par rahil et coups de pieds au cul.
Or, la suite, et après s'être esseulé et acquis le pouvoir, on voit bien comment ces malfrats nahdha, ont saisi tout l'argent ainsi que les biens de l'état tunisien, sans oublier les innombrables prêts obtenus de la part des banques mondiales et du FMI, pour qu'ils deviennent des milliardaires et s'achètent (ou construisent) les meilleures demeurent luxueuses.
On ne peut pas de suit tout faire.
Effectivement l héritage aujourd hui peut être géré par la famille.
80 % ne sont pas prêt. Comment voulez-vous que 1 loi gère ça ?!
L héritage est vite lapide par les patriarches familiale ou les pères de toutes ces femmes.
La famille est le premier état.
Quand cet état fonction à 80%
Tout le reste d un état va evoluer.
Gourage 1 Suissese qui aime la Tunisie
C'est des gamineries.
Et elle se permet de donné des leçons non mais !!!
Encore une fois
LET THE DOGS BARK
THE LION IS STILL THE KING
QUINTE FLOCHE
PLUS RIEN NE VAS
Le président a toujours soutenu la femme d'ailleurs il a nommé pas mal de femme à des postes important .
Vous parlez d'héritage avec une égalité frère et s'?ur je suis d'accord mais on peut hériter des dettes .