Yaa satterr

Slim Riahi n’a pas manqué de critiquer les erreurs commises, selon lui, par le chef du gouvernement dans son discours face aux députés aujourd’hui. Il lui a ainsi intimé d’apprendre correctement le verset coranique qu’il a prononcé !
Dans son post publié sur sa page Facebook, qui d’ailleurs ne manque pas de fautes d’orthographe, Slim Riahi a accusé le chef du gouvernement d’utiliser le Parlement afin de tergiverser et d’éviter cette affaire aussi importante et dangereuse.
Il a, dans ce sens, appelé toutes les parties impliquées dans cette affaire « d’épargner leurs efforts » afin de donner des déclarations, par la suite, à la justice militaire qui n’est pas « affecté par les facteurs extérieures ».
Le chef du gouvernement, Youssef Chahed, le chargé de communication de la Kasbah, Mofdi Mseddi, l’ex directeur du cabinet présidentiel, Slim Azzabi, l’ancien dirigeant au sein de Nidaa Tounes, Lazhar Akremi ainsi que Raouf Mradaa sont, en effet, accusés par Slim Riahi de tenter de renverser le régime et d’orchestrer un coup d’Etat.
B.L
Commentaires (6)
CommenterCoup d'?tat
Yaa satterr
@J.trad | 25-11-2018 09:32
Dans votre commentaire vous écrivez: "soit que les utilisateurs s'en foutent pas mal des braves efforts du correcteur bénévole ,soit que le système qui publie defforme le texte corrigé". Le verbe "defformer" n'existe pas. Il faut utiliser le verbe " déformer".
Hata el far bneftou ?
La tortue Slim Riahi, qui se cachait de la Justice tunisienne, prend le même chemin de Borhèn Bsaïes.
Borhèn Bsaïes, passa les premières années post-révolutions du 14 janvier 2011, en fugitif qui craignait pour sa vie. A peine Chafik Jarraya l'appela aux gouvernes de Nidaa Tounes, qu'il eut repris sa langue et qu'il eut oublié tout son passé macabre et tous ses crimes contre le peuple tunisien, qu'il commit aux services du dictateur déchu Ben Ali. Son passé l'a poursuivi et le poursuivra le long de sa vie de serpent.
Idem pour ce Slim Riahi. Nous savons tous qu'il ne cherche que du pouvoir avec son argent mystérieux. Il n'a jamais levé sa tête plus qu'au niveau de sa poitrine. Il fut interdit de voyage. Ses biens étaient confisqués par l'Etat tunisien. Il a passé des nuits blanches et il se trouve encore dans le même chemin de l'Algérien Abdelmoumèn Rafik Khalifa. Ce dernier fut le symbole de la réussite individuelle en Algérie. Il n'est à présent qu'un pauvre prisonnier, qui écope de 18 ans de prison en Algérie.
Et encore, Rafik Khalifa est de loin gentil de caractère, ne miroitant aucun signe d'arrogance, comme notre Slim Riahi. Ce même Slim Riahi qui, à peine sauvé par Béji Caïd Essebsi, par sa nomination à la tête de Nidaa Tounes, qu'il s'est transformé en le coq de bruyère, partout où il va et partout où il se trouve. Même son visage, me rappelle d'inversement, celui de Mouammar Khaddhafi, dont ni sourire ni humilité, ni même le moindre abaissement ne furent possibles. Le Pharaon de l'époque. L'invincible. Le plus riche. Le plus influent. Celui qui corrompt même les chefs d'?tats, à la manière du prince "Scie Monchar" Mohamed Ben Salmane.
Un rêve dont il finira par se réveiller derrière les barreaux du peuple et de son '?tat d'Institutions.
'? propos des fautes d'orthographe ,
Nida doit limoger Slim Riahi
A l'issue de cette réunion, Nida devrait retirer sa confiance a Slim Riahi,pour les accusations portées aux institutions de l'état devant une TV étrangère.