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Décès des 12 nouveau-nés : Senda Bahri El Hichri ne fait plus partie de la commission d’enquête
12/03/2019 | 09:09
1 min
Décès des 12 nouveau-nés : Senda Bahri El Hichri ne fait plus partie de la commission d’enquête

 

La ministre de la Santé par intérim, Sonia Ben Cheikh, a décidé, le 12 mars 2019, de relever Senda Bahri El Hichri, directrice générale du laboratoire national de contrôle des médicaments, de ses fonctions au sein de la commission d’enquête sur le drame des 12 nouveau-nés décédés.

Mme Bahri El Hichri a été accusée de conflit d’intérêt sachant que sa mère est propriétaire d’une société de produits pharmaceutiques qui traite directement avec le ministère de la Santé. Ell s’en était défendue sur le plateau de Wataniya 1 hier.

 

M.A 

12/03/2019 | 09:09
1 min
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Commentaires (9)

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Citoyen_H
| 14-03-2019 00:14
"Avec cette façon, on va pousser toutes les compétences à quitter le pays".

C'est en cours de finalisation.
D'ici peu, il ne restera plus plus que "laawére ou khouh", si ce n'est pas déjà fait.
Salutations



lechef
| 12-03-2019 18:06
C'est une bonne décision suite au conflit d'intérêt .
D'ailleurs, qu'elle soit à la tête d'une structure publique et de l'autre côté , le fait d'avoir une entreprise familiale évoluant dans la même activité me semble un très mauvais choix et très mauvaise gouvernance - voire une fausse désignation !
Mais, est-ce que lae responsable qui a désigné cette équipe n'était pas en connaissance de cause de ce conflit d'intérêt ? Je doute fort !!!

Monia
| 12-03-2019 14:31
encore heureux!

Forza
| 12-03-2019 12:34
les attaques contre cette femme ne sont pas acceptables non plus. J'ai suivi l'émission sur TTN et Mme Bahri me parait très compétente et je ne pense pas qu'elle a quelque chose à cacher, sinon elle n'aurait pas accepté de venir sur le plateau. Il parait que quelqu'un a fuité au journaliste l'info concernant l'entreprise de sa même et c'est ok, c'est l'investigation mais la façon avec la quelle il posait ses questions avec un ton accusateur n'était pas ok. Avec cette façon, on va pousser toutes les compétences à quitter le pays et puis on cherchera des experts en chine pour bâtir de nouveau. Critiquer est bien mais il ne faut pas confondre critique et insultes personnelles.

el manchou
| 12-03-2019 11:52
Ces bobos sont à vomir, hier ils léchaient les bottes de Sakher el Materi et aujourd'hui ils fricotent avec les islamistes, ils s'en foutent complètement du petit peuple, tout ce qui les intéresse est leur petit confort et leurs petites magouilles entre gens bien informés.

Hier soir cette dame semblait répondre de cette manière : qui es-tu, toi petit gueu habillé en fripes, qui vient de derrière les plaques, pour venir me demander des comptes, moi madame Bahri machin, femme de xxx haut placé et directrice générale du médicament s'il vous plait ...

Elle était offusquée qu'on puisse remettre en question son rôle qui était clairement un conflit d'intérêt flagrant : elle testait et validait les produits vendus par sa maman.

Citoyen de Tunisie
| 12-03-2019 11:35
C'est à l'image de tout ce qui se trame au sein du gouvernement et qui nuit au pays, au peuple plutôt.

DHEJ
| 12-03-2019 11:10
C'est le trafic d'influences qui la placé dans ce poste le prenant à un autre plus compétent et honnête!

Cest vraiment l'esprit *** comme dans la justice...

Une société créée par une MOALLA en 1979...

Comme pour les STENTS une famille qui détient le monopole


Un '?tat dit civil où des familles légifèrent des lois pour servir leurs intérêts.

Bourguibiste nationaliste
| 12-03-2019 09:19
Il est temps de faire le nettoyage de fond.
Ce sont des gens comme elle, les éléments de la bourgeoisie, qui se sont fait à l'idée de s'enrichir à l'ombre de l'islamisme. Ils ont abandonné lâchement les valeurs qui ont fait la Tunisie.

Jilani
| 12-03-2019 09:19
Comment une personne peut être directrice du laboratoire de contrôle médical des médicaments et sa mère possède une société dans la distribution des madicaments. Ceci me rappelle un directeur des ressources humaines dans une première banque privée et qui possède une société qui vend les fournitures de bureau. Cette dame doit être dégagée de toute responsabilité du ministère.